L'antre de Baxter

                      Coup de folie     

 
 


 

                                     Cette histoire se déroule aux États-Unis d’Amérique, dans une petite ville appelée Trenton, dans l’état du New-Jersey, où la famille Bradford y demeure. Le père Alphonse, surnommé Al par sa famille et ses amis. Le bon père par excellence, y vis, avec Jane, sa femme depuis trois ans, ils ont un enfant, Al junior, né, il n’y a même pas deux ans. Ils sont heureux, tout ce passe pour le mieux, pour cette famille, le père est complice avec sa femme et son fils est le rayon de soleil de sa vie. Al travaille dans la ville de New York, il doit faire près d’une heure et demis de route pour joindre son bureau, Al travaille dans une compagnie d’assurance, en plein Manhattan, Jane, elle ne travaille pas, elle s’occupe du petit bout, dans leur jolie maison, dans un quartier résidentiel dans la ville de Trenton. Al travaille dur, il aimerait faire déménager sa famille, pour les rapprochés de New York. Il part de bonheur le matin, il rentre tard le soir, pour sa femme, Al est l’Américain typique, travailleur acharné, il fait tous pour se donner les moyens de ses rêves et de ça, elle en est fière. Un soir Al rentre du travaille, il est sept heures passer, il demande à sa femme

_ « Ca a été ta journée, ma chérie ? »

En l’embrassant. Sa femme lui repond

_ « Oui, très bien, dommage que tu ne sois pas là, le petit a fait ses premiers pas. »

_ « Ce n’est pas vrai, Je manque toujours ses choses là, j’ai manquer son premier papa, j’ai manquer la première fois qu’il a marcher à quatre pattes, c’est énervant. »

Al demande

_ « Il est ou ? »

_ « Il est dans sa chaise, il boit son biberon. »

Al part dans la cuisine, suivit de Jane, il vois son petit entrain de boire un biberon et il lui dit

_ « Alors comme ça, tu marches, tu vas faire voir ça, a papa après. »

Le petit junior, regarde son père, tout en toutouyant son biberon. Al se retourne vers sa femme et lui demande

_ « Qu’est ce qu’on mange ? Ca sent très bon, j’ai très faim. »

_ « Tu verras, c’est une surprise. »

Lui repond sa femme. La soirée continue, ils se mettent à table et commencent à dîner. Jane a fait le plat préfère d’Al, des hamburgers maison, ce dernier mange, en compagnie de sa femme, qu’il tient par la main et après le dîner, il joue un peu avec son fils.

_ « Vas-y junior, montre à papa, comment tu marche. »

Lui dit Al, le petit bout de choux est debout, il se tien au canapé, ses jambes tremblent, il hésite, mais contre toutes attentes, junior enchaîne un pied devant l’autre, pour rejoindre son père qui n'est à même pas un mètre de lui. Al est tout heureux, il prend son fils dans ses bras et lui dit

_ « Oh ! je suis fière de toi, mon petit junior, tu es un grand garçon. »

Et il l’embrasse dans le cou. Jane enchaîne tous de suite

_ « Bon, Al, faut qu’il aille se coucher, il est tard, il est fatiguer. »

Al lui donne l’enfant et il enchaîne

_ « Bon, moi, je vais prendre une douche et je vais me coucher, je suis mort de fatigue, j’ai une rude journée demain, qui m’attend. »

_ « Comme tous les jours ! »

Lui rétorque Jane, avec un peu de rancœur

_ « Oui, mais dit toi, que c’est pour nous que je fais tous ça, pour que l'on aille une vie meilleure, une vraie vie de famille. »

_ « Je sais Al, je le sais tous ça, mais moi, je commence à en avoir marre, de passer mes journées toute seul. »

_ « J’en suis conscient, Jane, mais je t’assure, que j’ai bientôt réuni tous les fonds nécessaires pour pouvoir déménager et habiter près de New York. Et là, tu ne m’auras rien que pour toi, le matin, le midi et le soir. Je t’assure. »

Al, s’approche de Jane et l’embrasse. Il embrasse Junior au passage et continu

_ « Bon, je vais prendre ma douche. »

Il part dans la salle de bain et elle part coucher le petit. Peu de temps après, Al rejoint Jane dans le lit, qui est sous les draps, cette dernière porte des dessous sexy, elle s’approche de son homme et lui glisse dans l’oreille

_ « Tu viens, mon beau prince charmant, ta belle princesse est prête a recevoir ton baisé, qui allumera la flamme, d’un amour des plus torride. »

_ « Oh ! non, pas ce soir, je suis crever. »

Lui repond Al, Jane vexer lui fait rappeler

_ « Tous les soirs, tu es crever, moi, je passe quand moi, dans ta vie. »

_ « La semaine, je me tape entre onze heures et treize heures de boulot par jour, je suis désolé d’être fatigué le soir. »

_ « Excuse-moi, mais parfois j’aimerais, enfin j’ai des envies Al. »

_ « Je sais bien, on a les week-ends pour ça ? »

_ « Oui, mais là, ça fait deux semaine, qu’il ne se passe plus rien entre nous, la semaine dernière tu avais ton tournoi de squash, avec tes potes de travailles, j’en peux plus. »

_ « Attend ce week-end, je te promets qu’on fera quelque chose ce week-end, ma chérie, aller bonne nuit. »

Et il lui tourne le dos, pour s’endormir. Jane sort du lit et part ce changer, sans que Al, ne l’aperçoive dans ses dessous.

Les jours passent, Al continu de travailler d’arrache pied et Jane a passer ses journées seul, avec le petit junior. Le statu quo est de mise, un jour, Al rentre chez lui plus de bonheur que d’habitude, sa femme surprise lui demande

_ « Qu’est ce qu’il se passe ? Comment ça se fait que rentre à cette heure là ? »

Il est six heures, Al lui repond

_ « Mais, je te l’avais dit, que c’était bientôt finis, ça commence à tous juste s’arranger pour nous ma chérie. »

Jane saut dans les bras de Al et elle lui demande

_ « Ca veux dire que tu rentreras plus de bonheur, comme ça, tous les jours maintenant ? »

_ « Normalement oui et même des fois, plus de bonheur, je t’en donne ma parole. »

Elle est comme folle, elle l’embrasse et lui dit

_ « J’ai envie de toi, tous de suite. »

_ « Et le petit ? »

Demande Al, Jane lui rétorque

_ « Il est couché, il en a encore au moins pour une heure, vas-y viens ? »

Al, ce laisse emmener dans leurs chambre et ils y passent plus d’une heures, est se faire des câlins et des mamours. Jane est heureuse de retrouver son mari, dans les jours qui suivent, la parole d’Al, est tenus, il rentre de bonheur, la complicité des deux amoureux est de retour, comme au premier jour. Un soir, Al rentre du travaille, il est à peu près seize heures trente, sa femme lui fait constater

_ « Al, tu as reçut du courrier, il est sur le guéridon, dans l’entrée. »

Depuis sa cuisine, Al pose son attachés-cases, prend le courrier, le regarde, il se dit

_ « Qui ça peut bien être ? »

Il l’ouvre, lis le courrier et dès qu’il finit de le lire. Il le chiffonne et le met dans sa poche. Il rejoint sa femme dans la cuisine et celle-ci lui demande

_ « Qui c’était ? »

En parlant de la lettre, Al enchaîne

_ « Ce n’est rien, c’est de la pub, pour un autre tournois de squash, la semaine prochaine, ça ne m’intéresse pas. »

D’un coup, le petit Al junior se met à pleuré, Jane demande à Al

_ « Tu peux aller chercher Junior, il est dans son parc, je crois, qu’il aimerait être changer, papa. »

_ « Pas de soucis, papa s’en occupe. »

Et en parlant à son fils a distance

_ « Papa arrive junior.”

Et il part changer son bébé, pendant qu’il est entrain de le changer à l’étage, dans la chambre du petit, il reçoit un coup de téléphone, sur son portable, il décroche

_ « Allos. »

On lui repond dans le combiner, lui enchaîne à voix basse

_ « Ca ne vas pas, qu’est ce qu’il te prend de m’envoyer des courriers chez moi et comment as-tu trouver mon adresse ? »

Dans bas, Jane lui demande

_ « C’est qui ? »

Al lui repond

_ « C’est un collègue de bureau. »

Et enchaîne au téléphone, toujours a voix basse

_ « Arrête de m’appeler ici, où de m’envoyer des courriers, c’est bon, je t’ai dit que c’était finis entre nous, on en as bien profité, pendant un temps, mais là, c’est finis. »

La voix lui repond et il rétorque

_ « Tu m’appelle encore une fois, sa ce passeras mal pour toi, tu es prévenu, oublis moi. »

Et il raccroche, il vois son fils lui sourire, les fesses a l’air, Al continu donc de le changer et descend, une fois terminer. Arriver en bas, il a l’aire préoccuper, sa femme lui demande

_ « Ca vas mon chérie, quelque chose ne vas pas ? »

_ « Non, tous vas bien, c’est juste au boulot, ils ont des soucis. »

_ « Vas-y, si ça peux te faire du bien. »

_ « Non. »

Il se reprend et enchaîne

_ « Je suis avec ma petite femme et mon fils, je ne vais pas me taper une heures et demis de route, qu’il se débrouille. »

La fin d’après midi passe, Al reçoit un SMS, sur son portable, il le lit, il est inscrit

Tu m’a fait miroiter des tas de choses, que tu ne tiens pas, maintenant, je vais te le faire payer

Mary

Al l’efface aussitôt de son portable, qu’il range dans sa poche. Mais dès qu’il le met, un nouveau message, il le lis et c’est la même message. Il fait de même que pour le premier, mais un nouveau message arrive, il ne le lis même pas et l’efface direct. Il met son portable sur vibreur, mais sa femme a bien entendu le portable sonner trois fois, alors elle demande

_ « C’est encore eux, il doit y avoir un gros bordel la bas ? »

Al gêner lui repond, avec son portable qui vibre dans sa poche tous les dix secondes

_ « Je m’en fou, qu’ils se débrouillent sans moi, pour une fois. »

Apres cinq minutes de vibration dans sa poche, celui-ci s’arrête, Al prétexte une excuse pour aller dehors

_ « Je vais au garage cinq minutes. »

Jane lui repond

_ « On mange dans dix minutes. »

Al sort, vas dans son garage, regarde sa messagerie, cet dernière est remplit de ce messages, il efface tous les messages, mais dès que c’est fait, d’autre afflux par dizaines, Al en a marre de ses messages, lance son portable contre le mur, qui le fait exploser en plusieurs morceaux. Il est sur les nerfs, il passe ses mains dans ses cheveux et dit

_ « Putain, qu’est ce que j’ai fait ?

Qu’est ce que j’ai fait d’aller la voir ? »

Il se reprend, ramasse les morceaux du portable et les jettent dans la poubelle, qui se trouve sur le bord de la route. Il rentre dans la maison, la table est dressée, junior a un biberon dans les mains et Jane lui dit

_ « Tu arrive bien, on mange, mon chéri. »

Al se met à table, Junior ne veux pas de son biberon, Jane lui prépare une assiette, qu’elle lui donne à manger. Al mange, mais n’ayant plus d’appétit, il mange à contre cœur. D’un coup le téléphone familiale sonne, Jane 

Se lève, Al a un coup au cœur, il se dit

_ « Et si c’était elle ? »

Il enchaîne à Jane

_ « Non, vas-y, continue de donner à manger au petit, je vais répondre.

Al se lève, la peur au ventre, décroche et dit

_ « Allos. »

Au l’autre bout du file, c’est Mary

_ « Dommage que je ne sois pas tombée, sur ta femme, j’ai des tas de choses a lui raconté. »

Al lui repond

_ « Désolez Mme, je crois que c’est une erreur. »

Et il raccroche, vu que Jane ne le vois pas, il en profite pour débrancher le téléphone. Il retourne à table, il est livide, Jane lui demande

_ « Qu’est ce que tu as et qui c’était ? »

_ « Je ne suis pas bien, j’ai du manger quelque choses qui ne passe pas, j’ai mal au ventre. »

_ « Veux-tu que j’appelle un médecin ? »

_ « Non, non, surtout pas, ça devrais passer tout seul. »

Jane insiste

_ « Qui c’était ? »

_ « un faux numéro. »

Lui repond-il. Le repas continu, Al ne touche à rien, l’appelle ne l’a pas aider à retrouver l’appétit, ils se couchent et le lendemain, Al est toujours dans le même état, il a eut du mal a trouver le sommeille et la nuit fut courte. Jane et junior dorment encore, avant de partir, il vérifie que le téléphone est toujours débrancher, c’est le cas, donc, il peut aller au travaille. Sur la route qui le sépare de son bureau, il repense à tous ce qu’il sait passer la veille, il se demande dans sa tête

_ « Pourquoi, j’ai fais ça ? Pourquoi ? Elle est folle, elle est complètement folle, je ne peux pas la laisser flinguer mon couple, je n’ai pas le droit. »

Il décide donc d’aller la voir à son travaille, pour avoir une dernière explication et qu’elle comprenne sa situation. Arriver devant son travaille, elle travaille comme infirmière, dans une petite clinique privé, dans le quartier du New rochelle, dans le Bronx à New York. Il descend de sa voiture, rentre dans la clinique et demande Mme Crush, La dames de l’accueil lui donne son service, il s’y rend, il la vois dans sa petite blouse blanche. Dès qu’elle le vois, elle a un grand sourire aux lèvres, il lui dit, en s’approchant d’elle

_ « Ca ne me fait pas rire, tu vas venir avec moi. »

Il la prend par le bras et l’emmène dehors de la clinique, en continuant

_ « On as des petites choses a mettrent aux points tous les deux. »

_ « Moi, je ne demande pas mieux. »

Lui répond-elle, toujours le sourire aux lèvres. Une fois dehors Al lui rétorque

_ « Qu’est ce qui te prend de m’envoyer des courriers, de m’appeler sur mon portable et surtout sur mon fixe ? T’imagine, que ma femme aurais pu tomber dessus ? »

_ « C’est ce que je voulais, a l’origine. »

_ « Je te préviens tous de suite, tu arrête ton cirque, je t’es dit que c’était fini entre nous deux, pourquoi tu insiste comme ça ? »

_ « Parce que, tu m’a promis trop de choses, tu m’a promis de quitter ta femme, que tu me ferais un enfant, que l’on vivras ensemble. »

_ « Mais je t’es dit tous ça, c’était un plan drague. »

_ « Non, pour moi, ce n’était pas un plan drague, tu m’as promis un enfant, tu vas me faire un enfant, tu m’as promis de quitter ta femme, tu vas quitter ta femme et après, tu viendras vivre avec moi. »

_ « Je ne peux pas. »

_ « Et pourquoi ? »

_ « Mais, j’aime ma femme, j’ai un enfant avec elle, je les aime, je ne pourrais pas les quitter, impossible. »

_ « Et moi, je suis quoi ? J’ai été ton vide couille, pendant près d’un an, j’ai accepter la présence de ta femme dans notre couple, pendant un an, tu m’as promis des tas de choses pendant un an et tu voudrais, que j’oublis toute notre relation, en un claquement de doigt, je ne peux pas, je suis désolée. »

_ « Je sait que j’ai fait des erreurs, je n’aurais jamais du te promettre toutes ces choses, je le savais, que je ne pourrais pas les tenir, mais je t’en supplie, laisse nous tranquille, s’il te plait. »

_ « Je ne peux pas Al, je suis désolez pour toi et pour ta femme, mais tu vas la quitter et tu vas me le faire cette enfant. »

_ « Mary, écoute, j’ai déjà sacrifier un an de ma vie de couple avec ma femme pour toi, c’est pour toi que je rentrais tard chez moi le soir, pour rester à tes cotés, pour que l’on vivent quelque chose de fort, mais maintenant c’est fini, fais toi une raison. »

Al commence à partir vers sa voiture et Mary enchaîne

_ « Al, n’oublis pas que j’ai ton adresse, ton numéro de téléphone, je pourrais bien passer chez toi un de ces jours, de toute façon, d’une manière ou d’une autre, tu me reviendras Al. »

_ « N’y compte pas. »

Al remonte dans sa voiture et part pour son boulot, sans avoir un regard pour Mary, qui elle, le regarde partir dans la rue. Le soir Al, après sa journée de boulot accomplit, retourne à sa voiture, une lettre l’y attend, sur son pare-brise. Il la prend et il peut-y lire

Al, tu ne peux pas briser, un an de relation entre nous, comme ça, pour elle. De ce pas, je part pour chez toi, pour tous lui raconter, on vas ce retrouver, je te le promet.

Mary

Al est comme fou, il se précipite dans sa voiture et démarre à toute vitesse, les règlements de vitesses, a ce moment là, ils s’en fiche, un parcourt, qui normalement, il le fait en une heure et demis, là, il le fait en même pas une heures. Il arrive dans son quartier, aperçoit la voiture de Mary non loin de son foyer, prit de panique, il se dit

_ « Mon dieu, elle l’a fait, elle est folle. »

Il se gare un peu en retrait et attend, il ne sait pas quoi faire, puis après dix minutes d’attente, il s’accorde le droit d’avancer. Il se gare devant sa maison, la peur au ventre, il entre dans la maison, personne n’est là, il est surpris. Il pose son attaché-case, fouille toute la maison, mais ne trouve personne, il se dit

_ « Mais qu’est ce qu’elle a fait de ma famille, c’est folle ? »

Al a très peur, il ne sait pas quoi faire, la seul chose qu’il peux faire, c’est d’attendre, ce qu’il fait. Apres une heures d’attente, sa femme entre et dit

_ « Tu es rentrer de bonne heure, chérie ? »

Al qui est dans le canapé, ne les a pas entendus entrer et quelle fut sa surprise en entendant la voix de sa femme, il se lève et part à leur rencontre en disant

_ « Vous étiez ou ? Je m’inquiétais. »

Jane lui repond

_ « J’étais partie aux courses, je ne me suis pas envoler, par contre toi, qu’est ce que tu as, tu as l’aire bizarre ? »

_ « Pour une fois que je finis de bonne heure, je rentre et je ne trouve personne, je n’ai pas l’habitude, c’est tous. »

Répond Al en prenant junior dans ses bras. Jane part dans la cuisine, rangée les courses, Al de son coté, retourne sur le canapé, où il a une vue sur la voiture de Mary. A ce moment là, elle sort de derrière un arbre qui était non loin de sa voiture, monte dedans et regarde Al qui la voyait, lui fait un sourire. Suivit d’un au revoir de la main, Al pousse un soupir de soulagement. Jane fait constater à ce moment là a Al

_ « Au faites, le téléphone était débranché, ce n’est pas toi, qui l’aurais débrancher par hasard ? »

_ « Non, ce n’est pas moi. »

Lui repond Al gêné. Jane enchaîne

_ « Ca doit être junior, quand il jouait c’est après midi. »

Al s’en tire bien, mais cette folle peut encore lui faire du tord, alors, il décide de re-débrancher le téléphone pour plus de sécurité. Le soir dans la chambre, Jane demande à Al

_ « La semaine prochaine, c’est l’anniversaire du petit, qu’est ce que tu veux lui prendre ? »

_ « J’aurais bien voulut lui prendre, une vraie panoplie de Base Ball. »

_ « Très bien, j’irais en acheter une. »

_ « Mais tu me laisse, lui donner, tu n’as cas lui acheter quelque chose d’autre, de ta part. »

_ « Ok, faisons comme cela. »

Et ils se couchent. Le lendemain, Al part pour le boulot, sur la route une voiture le suit, c’est Mary, a un feu rouge, il descend de sa voiture, pour la rencontré, il lui demande

_ « Qu’est ce que tu veux ? Qu’est ce qui ta prit de faire ça, hier ? »

_ « Tu sais très bien, ce que je veux et je l’aurais. »

_ « Pauvre malade, arrête de me harceler, où je porte plainte. »

_ « Tu serais obliger, de le dire a ta femme ? »

_ « Qu’est ce que ça peux te faire ? Si c’est le seul moins  pour que tu arrête tes menaces, je pense qu’elle comprendrait. »

_ « Moi, je pense que non au contraire, je pense qu’elle te quittera et tu te retrouveras tout seul, tu seras à moi, a ce moment là. »

_ « Je ne crois pas, même, si elle me quittait, je ne retournerais jamais avec toi, tu es trop perfide, tu es très malade, ma chère Mary, faut te soigner, Salut. »

Et Al retourne à sa voiture, elle lui enchaîne

_ « Tu n’as pas le droit de m’effacer de ta vie, comme ça,  pas après tous ce que tu m’as promis. »

Lui repond Mary très énerver, derrière a par terre de Klaxonne. Le feu est passer au vert, Al remonte dans sa voiture et s’en va. Mary et Al retournent à leur travaille respectif. Apres sa journée, Al part s’acheter un nouveau téléphone portable, une fois fait, il rentre à son domicile. Il dit à sa femme

_ « Tiens mon nouveau numéro. »

Et il lui tend une feuille avec le numéro dessus. Elle lui fait constater

_ « Ca fait deux jours que j’essais de t’avoir la journée, mais je tombe sur ta messagerie a chaque fois. »

_ « Bas oui, c’est pour ça, que je change de portable, il déconnait de trop l’autre. »

Le temps passe, il joue avec son fils, discute avec sa femme, tout a coup, son téléphone portable sonne, surpris, car il n’y a que sa femme, qui a son nouveau numéro, il repond

_ « Allos. »

Une voix féminine et très familière lui repond

_ « Tu ne te débarrasseras pas de moi, aussi facilement, Al. Tu es à moi, tu m’appartiens, tu va me revenir, je veux te voir demain matin a six heures, dans l’hôtel que tu avais l’habitude de m’emmener et je te jure que je te laisse tranquille après, tu me dois bien ça, une dernière sauterie. »

Et elle raccroche, Al réfléchit et répond

_ « D’accord, ok, demain, ok, je passerais de bonne heure au bureau, salut a demain. »

Al fait mine de raccrocher et dit à sa femme

_ « Chérie, demain, je dois aller au bureau de bonne heure, il y a eut une connerie de faite, dans l’un de mes dossiers et on en a besoin absolument pour demain après midi, je suis désolez. »

_ « Je ne t’en veux pas, c’est ton boulot, ils ont besoin, tu y vas, c’est normal. »

Et elle l’embrasse. Al se dit dans sa tête

_ « Je couche une dernière fois avec et après mon cauchemar s’arrête, je ne peux pas laisser passer l’occasion. »

Il y pense toute la soirée, il se couche de bonne heure, vu qu’il doit partir tôt, le lendemain matin. Al se réveille à quatre heures, tout le monde dort encore, il part rejoindre une dernière fois Mary dans l’hôtel. Elle y a passer la nuit, pour être sur d’y avoir une chambre. Quand elle voit Al entrer dans leur chambre, la chambre qu’ils avaient l’habitude de se retrouver, il n’y a pas encore longtemps. Elle se ressent vivre, Al lui dit

_ « Comment as-tu eut mon numéro ? »

_ « Je t’ai suivit, puis contre un petit billet, la dame du magasin de téléphonie, m’a donner ton numéro, c’est aussi simple. »

Al n’y crois pas, elle est prête à tous pour obtenir, ce qu’elle veut, il ajoute

_ « Aller, faisons ça vite fait, qu’on en finisse. »

Mary ne demande pas mieux, elle et Al se déshabillent et passent sous les draps. Une demi-heure plus tard, Al ressort du lit et lui dit

_ « C’est bon, tu a eut ce que tu voulait, maintenant, tu me laisse tranquille, moi et ma famille. »

_ « C’est bon, j’ai eut ce que je voulais, je ne t’embêterais plus, je te le jure. »

Al en se rhabillant, lui dit

_ « Merci, Mary. »

Une fois habiller, il allais sortir, Mary lui dit à ce moment là

_ « Ne t’en fait pas, je vais te laisser maintenant, maintenant que je porte ton enfant. »

Al qui a ouvert la porte de la chambre, la referme et lui dit

_ « Mais qu’est ce que tu as été inventé encore ? »

_ « Je n’est rien inventé, normalement je suis dans ma période d’ovulation, il est en moi, maintenant. »

_ « Arrête ton délire, tu sait que ça ne prend pas du premier coup, pour moi et ma femme, ils nous a fallut un ans pour avoir junior. »

_ « Je ne te parle pas de toi et de ta femme. »

Lui repond Mary, énerver, elle continue plus sagement

_ « Je te parle de nous, moi je le sent, je le sent déjà en moi, part, je ne t’embêterais plus, va t-en. »

Al sort et part dans un café, attendant l’heure de sa prise de travaille. Et puis en y réfléchissant bien, il se dit dans sa tête

_ «  Si elle avait raison, si elle est vraiment enceinte, putain, j’ai déconner encore plus. »

Avec sa prise de conscience, il part du café sans payer, il monte dans sa voiture et retourne a l’hôtel. Il demande à l’accueil

_ « La chambre deux cent huit, il y a encore du monde ? »

L’homme lui repond

_ « Non, M., la dame vient de partir, il n’y a même pas cinq minutes. »

_ « Merci. »

Lui repond Al, il se précipite dans sa voiture et part a la clinique où elle travaille. La bas, Il demande à l’accueil

_ « Elle n’est pas là, Mme Crush ? »

_ « Non, jeune homme, elle a quitter la maison, hier. » 

_ « Vous ne seriez pas ou elle habite par hasard ? »

_ « Du tous, et même si je le savait, je ne vous le divulguerais sûrement pas, désolez. »

_ « Je vous remercie, quand même. »

Al ressort, il est dans l’embarras, pour lui, il est venu l’heure d’aller au boulot. Il vas donc travailler, il ressasse cette erreur, qu’il a commis pendant toute la journée, a savoir, avoir eut une relation extra conjugal. Elle tiens sa promesse, pendant plusieurs jours, elle le laisse tranquille, plus de coup de téléphone, plus de lettre, plus de nouvelle. Al peux rebrancher le téléphone familiale et espère au fond de lui, que ce dernier rapport sexuel, n’apporteras pas de demi-frère a junior. Jusqu’au jour, où, Mary fait son retour, Al va à son bureau, il viens de garer sa voiture, lorsqu’il se retrouve devant Mary, cette dernière lui demande

_ « Tu es content de me revoir ? »

_ « Non, pas vraiment. »

Mary enchaîne

_ « Al, tu vas être papa, pour la deuxième fois. »

Et elle lui tend quelque chose, Al le prend en lui disant

_ « Qu’est ce que tu raconte ? »

Il regarde ce que viens de lui donner Mary, Il a dans les mains un teste de grossesse, Mary semble bon de lui rappeler

_ « C’est un teste de grossesse. »

Al la coupe et enchaîne

_ « Je sais ce que sait. »

_ « Et tu vois, je suis enceinte, j’attend un enfant de toi. »

_ « Ce n’est pas possible, ce n’est pas possible. »

Répète Al en jetant le teste par terre, il continu

_ « Tu vas me pourrir la vie longtemps, comme ça ? »

_ « Jusqu'à ce que tu me revienne et que tu tienne ta parole. »

Lui repond tendrement Mary, Al rétorque

_ « Tu ne vas pas me pourrir la vie plus longtemps, je vais porter plainte. »

Al retourne à sa voiture et part pour le commissariat le plus proche. Mary, a un très large sourire, qui lui prend tout le visage. Al arrivé au commissariat demande a un officier de police qui se trouve là

_ « Je peux voir quelqu’un, c’est pour déposez une plainte ? »

_ « Allez voir, l’homme qui se trouve au bureau, lui prendra votre plainte. »

Lui repond l’officier. Al part donc voir l’autre policier, lui explique toute l’histoire et le policier lui repond

_ « Mais pourquoi avoir attendu, vu que votre femme, vas être au courrant, maintenant, vous auriez du y dire avant d’être retourner la voir dans l’hôtel, tous ça n’aurais jamais eut lieu et elle ne serais pas enceinte ? »

_ « Je sais, je sais, j’ai dérailler. »

Il réfléchit et le policier lui dit

_ « Tenez signer votre plainte, pour que l’on puisse faire quelque chose. »

Al lui répond

_ « Non, je ne la signe pas, il ne faut pas que ma femme soit au courrant, elle vas me quitter, je peux peut-être encore faire quelque chose, elle peut encore avorter, si j’insiste, elle peut avorter. »

Le policier lui demande

_ « Vous êtes sur ? »

_ « Oui, oui, je ne porte plus plainte, je suis désolez de vous faire perdre votre temps, mais je ne peux pas. »

Le policier déchire les feuilles en deux et rétorque

_ « Ce n’est rien, ça nous arrive souvent, c’est votre décision. »

Al se lève et part du commissariat en remerciant encore le policier. De ce faites, il arrive en retard au travaille, il reçoit une remontrance de la par de son patron. La journée se passe, il rentre chez lui, sa femme est là, son fils joue, mais il est perturbé, sa femme lui demande

_ « Ca vas chérie ? »

_ « Oui, pourquoi ? »

_ « Tu n’as pas oubliez que c’est l’anniversaire de notre fils demain ? »

_ « Oh, je l’avais complètement oubliez, tu as achetez mon cadeau ? »

_ « Oui, je l’ai mis dans le placard de la chambre. »

Al lui repond

_ « Je lui donnerais demain soir en rentrant du boulot, tu imagine, il a déjà deux ans, je n’est rien vu passé. »

_ « Ce n’est pas étonnant, tu passais ton temps toujours le nez dans ton travaille, mais grâce à dieu, tu es de retour avec nous, a présent. »

Al la fixe dans les yeux et lui dit

_ « Oui, maintenant, je suis là et pour toujours. »

Et ils s’embrassent, la nuit se déroule bien, il se lève, il part embrasser son fils, chose qu’il ne fait jamais, en lui disant

_ « Bonne anniversaire, mon bébé. »

Et il part au boulot, il fait un temps superbe, une heure et demie plu tard. Il se gare pratiquement comme la veille et reçoit un coup de téléphone sur son portable, il repond

_ « Allos. »

_ « Oui, chérie, c’est moi. »

_ « Oui. »

_ « Je viens de me réveiller et je ne trouve plus ton cadeau pour junior. »

_ « C’est normal, je l’ai cacher, comme ça, tu ne lui donneras pas avant que j’arrive. »

_ « Tu es trop bête, je n’avais pas l’intention de lui donner. »

_ « On n'est jamais trop prudent. »

_ « Bon a ce soir mon chérie, bonne journée. »

Lui dit Jane, Al lui repond

_ « A ce soir, je t’aime. »

Et il raccroche. En face de lui Mary, elle lui dit

_ « Alors, tu as porter plainte, ta femme est au courante, je ne crois pas, tu es trop, lâche, pour faire une chose pareille. »

Al continu son chemin pour son bureau, Mary le suit en lui disant

_ « Mais moi aussi, je t’aime, même toi tu me le disait que tu m’aimais, pourquoi tous ça a changer ? »

_ « Parce que je suis marié avec ma femme et pas avec toi, voilà pourquoi, ça a changer. »

Les voilà maintenant devant les Bureaux, ou travaille Al, Mary l’arrête net, en le tenant par le bras, part un geste désespère, elle lui dit

_ « Al, aime moi, autant que moi je t’aime, j’attend un bébé de toi, tu fais partis de moi. »

A ce moment là, un bruit d’avion se fait entendre, Al et Mary n’y prêtent pas attention et il lui repond

_ « Tiens en parlant de ta grossesse, je ne veux pas que tu le garde, est ce que tu peux avor……. »

Il n’a pas le temps de finir sa phrase, que le bruit d’avions est juste au-dessus d’eux. Intriguer, ils regardent tous les deux vers le ciel, un avion percute de plein fouet la tour numéro une, du world Trade Center, il est huit heures quarante six. Al et Mary hallucinent, des hurlements se font dans le foule présente, des gens cours pour évités les débris qui ressortent d’une tel collision, Al dit à Mary qui reste prostrée devant ce spectacle affreux

_ « Mary, viens. »

Et il la prend par le bras pour l’emmener, dans la bousculade, Al se fait percuter par un autre homme, qui le fait tomber au sol. Ce dernier se cogne la tête violemment contre le parterre, Al s’effondre, Mary qui continue de courir, ne c’est pas aperçut, que Al n’est plus avec elle. Lorsqu’elle s’en rend compte, elle se retourne et vois Al allonger au sol, du sang lui coule du crane. Elle demande à un passant

_ « Excusez moi, mais pourriez vous m’aidez à transporter mon amis dans ma voiture, il ne vas pas bien. »

Beaucoup de personne font la sourde oreille, des débris afflux du haut du gratte ciel, après deux minutes de sollicitude, une âme charitable accepte bien lui donner un coup de main. Un homme l’aide a le transporter dans sa voiture, qui n’est pas très loin, l’homme lui dit

_ « Emmenez le tous de suite a l’hôpital, il perd beaucoup de sang. »

Mary lui dit

_ « Ne vous inquiétez pas, c’est ce que j’ai l’intention de faire, merci beaucoup. »

L’homme part, Mary tente de faire un pansement autour du crane de Al, pour arrêter l’hémorragie. Elle arrive à contenir l’hémorragie, le sang coule quand même, mais a moindre mesure. Elle démarre la voiture et tente de se frayer un chemin, dans tous ce vacarme, dans tous ce K.O. Apres quelques minutes, elle y parviens, elle part pour l’hôpital, loin du tohu-bohu, Al se réveille et demande

_ « Qu’est ce qu’il se passe ? »

_ « Ne t’inquiète pas Al, tous va bien, tu a juste reçut un choc a la tête. »

Al pose sa main sur sa tête et dit

_ « Qu’est ce qui met arriver ? Qui êtes-vous ? »

Mary est surprise, elle le regarde et lui demande

_ « Tu ne te souvient pas ? »

_ « Non, qu’est ce qui m’arrive ? »

Mary tiens là, la chance qu’elle espérais, elle lui repond

_ « Je suis ta copine, tu as eut un petit accident, je te ramène à la maison. »

Al lui repond

_ « Vous êtes ma copine……. »

Et il ne réussi pas a finir sa phrase, qu’il tombe dans les pommes. Mary se dit dans sa tête

_ « Il ne se souvient de rien, c’est bon, je le ramène chez moi et là, il seras à moi, ça tombe bien, il ne m’avais pas mis enceinte, je peut lâcher mon mensonge, maintenant.»

Pendant ce temps là, a Trenton, dans le foyer de Al, Jane est entrain de laver son bébé, elle joue avec lui, ils descendent de l’étage et elle lui dit

_ « Je vais te faire un petit biberons, mon petit junior, tu as faim, c’est ça, tu as faim. »

Elle prépare le biberon, pendant que le petit Al pleure, elle lui donne son biberon et le met devant la télé, en disant

_ « Tiens je te met la télé, tu vas regardez les dessins animés ? »

Elle allume la télé, elle vois une des deux tour du World Trade Center, en flamme, première réaction de sa part, elle dit

_ « C’est quoi, ce film ? »

Elle change de chaîne en disant à junior

_ « C’est trop violent pour toi, tous ça. »

Mais elle s’aperçoit que sur l’autre chaîne, c’est la même chose, elle laisse la dernière chaîne, augmente le son et sur les images de la tour en feu, elle peut entendre

_ « Ce matin, a huit heures quarante six, un avion de ligne a percuté la tour numéro une, du World Trade Center, pour l’instant, nous ne savons pas, si cela est un accident ou un attentat. Des flammes sortent de la tour, imaginez les personnes encore bloquer……. »

Pour Jane, Les paroles du commentateur, deviennent de plus en plus basses, les images lui martèles la tête, elle se dit

_ « Al travaille là bas, il lui est peut-être arrivé quelque chose. »

Son cœur s’emballe, elle se dirige vers le téléphone et appelle Al. L’appel est parti, mais personne repond, elle se dit

_ « Vas-y Al, repond, s’il te plait repond, mon dieu faites qu’il ne lui soit rien arriver. »

Pendant ce temps là, dans la voiture de Mary, le téléphone portable d’Al sonne. Mary, le prend dans sa poche, regarde de qui proviens l’appelle, elle vois sur le portable noter

Jane

Sans réfléchir, elle jète le portable par la fenêtre, qui se fracasse sur la route. Mary en profite pour retirer l’alliance de Al, la jète aussi, fouille dans le porte feuille de celui-ci, pour en sortir, tous ce qui pourrais lui rappeler son passé, photos, numéro de téléphone et ainsi de suite. De son coté, Jane est dans une peur panique, raccroche le combiner, prend junior dans ses bras et regarde les images insupportables qu’elle a sous les yeux. Le téléphone sonne, elle sursaute, elle s’en approche à toute vitesse, en se disant

_ « J’espère que c’est Al. »

Elle décroche

_ « Allos. »

Tout en gardant un œil, sur la télé. Une voix lui dit dans le combiner

_ « Jane, c’est Andy, ça vas, tu as vu à la télé ? »

_ « Oui, je suis entrain de la regarder. »

_ « As-tu réussi à avoir des nouvelles de Al ? »

_ « Non, j’appelle, mais il ne repond pas, j’espère qu’il ne lui est rien arrivé. »

Et elle tombe, s’effondre en sanglot. Andy lui rétorque

_ « Ne t’en fait pas, je connais mon fils, c’est un débrouillard, je suis sur qu’il est loin de tous ça. »

_ « J’espere Andy, je l’espere. »

La maman de Al enchaîne à Jane

_ « Je te laisse, au cas ou il essayerais de te joindre, j’arrive. »

_ « Merci, Andy. »

Et elles raccrochent. Jane se remet devant la télé, a regardé ses images insoutenables, s’imaginant des tas de scénarios, de ce qu’il a put arriver à Al. D’un coup, en direct à la télé, dix huit minutes plu tard, que le premier avion est percuté la première tour, elle vois un autre avion percuté la deuxième tour, elle est abasourdie, par ce qu’elle viens de voir, elle se cramponne à son fils, le commentateur ajoute a ses images

_ « Oh mon dieu, c’est horrible, maintenant, c’est sur, ce n’est pas un accident, se sont des attentats suicides, à peine vingt minutes après que la première tour du World Trade Center ai été touchée, un deuxième avions viens de percuté l’autre tour. »

Jane a le sang qui lui monte à la tête, elle a du mal a respirer, son pouls s’emballe, elle manque de faire un malaise, mais se reprend pour son fils. Elle essais de se lève, mais elle n’y arrive pas, ses jambes son coupées, après quelques secondes, elle se reprend, coupe le son de sa télévision, les commentaires des journalistes, en rajoutent à l’horreur qu’elle est entrain de vivre. Elle retourne téléphoné à Al, mais sans succès, elle tombes directement sur sa messagerie, elle lui laisse ce message

_ « Mon chéri, si tu as mon message, appelle moi, j’ai tellement peur, appelle moi, s’il te plait. »

Puis elle raccroche et repart voir les images. Dix minutes après, la mère de Al arrive, elle frappe, Jane lui dit d’entrer, ce qu’elle fait. Quand les deux femmes se retrouve face à face, Jane tombe dans les bras d’Andy, son fils toujours dans ses mains, elle est en pleure, Andy demande à Jane

_ « Il ne t’a pas appeler ? »

_ « Non, je suis très inquiète a son sujet, Andy. »

Andy ne sais pas quoi répondre, elle peut seulement la réconforter, en lui passant sa main dans le dos. Quelques secondes après, elles se retrouvent devant la télé, elles peuvent voir des hommes et des femmes se jetés, par les fenêtres des deux tours. Ces images sont trop forte pour Jane, elle s’exclame

_ « C’est peut-être Al, qui se jète de ses fenêtres, c’est peut-être Al. »

Et elle s’effondre totalement, Andy a juste le temps de récupérer Al junior, avant que sa mère tombe au sol, des larmes plein de visage. A peine une heure après, que le deuxième avion est percuter la tour numéro deux du World Trade Center, que celle-ci s’écroule comme un château de cartes, emportant ainsi la vie de tous ces gens coincer dans les étages. Pour Andy et Jane s’en est de trop, les larmes coulent sur leurs deux visages, l’espoir de retrouver Al vivant est presque abandonnée, quand Andy dit à Jane

_ « Il est peut-être dans l’autre tour, ce n’est peut-être pas fini. »

Andy se dit dans sa tete, à ce moment là

_ « Ne me fait pas ça, vous m’avez déjà prit mon mari, ne me prenez pas mon fils unique, s’il vous plait mon dieu. »

Les images, sans le son, changent, elle peuvent voir, des images du pentagone en flamme, Andy dit à ce moment

_ « Ce n’est pas possible, même le pentagone est toucher, c’est terrifiant, qu’est ce qu’il se passe ? Qu’est ce qui arrive ? »

Andy se reprend et dit à Jane

_ « Mais ça ne veux rien dire, il a peut-être réussi est partir, dès le début, faut garder espoir. »

Jane regarde son fils, ce dernier ne comprend pas pourquoi sa mère pleure, elle essuies ses larmes, prend son fils et lui dit

_ « Ce n’est rien, tous vas bien, mon bébé. »

Andy regarde les images de Manhattan complètement envahis par la poussière et elle dit

_ « On se croirais dans un film catastrophe. »

Vingt quatre minutes après la première tour, c’est à la deuxième de lâcher sous la pression des flammes. Evanouissant un peu plus l’espoir des deux femmes. Jane s’exclame

_ « Faudrait un miracle pour qu’il s’en sois sortis, franchement. »

A ce moment là, Mary arrive chez elle, elle gare sa voiture dans son garage. Elle arrive temps bien que mal, a monter Al dans sa chambre a l’étage. Mary habite à Harford, ville de l’état de New York, non loin de la grande pomme. Elle soigne Al avec sa trousse de secours, elle lui panse sa plait et descend. Elle allume sa télé et contemple le désastre qui viens de se déroulé à Manhattan, elle se dit

_ « C’est malheureux pour les victimes, mais moi, j’ai retrouver mon homme. »

Deux jours ont passés, depuis l’attaque des kamikazes, dans le foyer des Bradford, Jane est anéanti, pas une seul nouvel de Al, les télés dénombrent plus de deux mille sept cent morts ou disparus, le véhicule de Al, a été retrouver au bas des deux tours, écrasé par l’effondrement celle-ci. Pour Jane son mari fait parti des disparus, elle a déposer quand même, au cas ou, une photo de son mari, avec son téléphone et ce message

Si vous avez vu cet homme, appelez ce numéro, s’il vous plait, pour une femme et un fils.

Sur l’un des mémoriaux improviser, des disparues du World Trade Center, en plein New York. Elle n’as pas fêter les deux ans du petit Al, son cadeau, elle lui a donner, que le lendemain, elle se dit

_ « La vie continue, même si c’est dur, faut que la vie continue, au moins pour junior. »

De son coté, Al n’est toujours pas réveillé, Mary suspecte un coma, mais ne l’emmène pas pour autant a l’hôpital. Elle lui a acheter plein d’affaire, qu’elle a mis dans la penderie et des tas d’autres choses, pour rendre un peu de masculinité, dans cette maison, au cas ou, Al se réveille. Apres deux jours de non-conscience, Al reviens à lui, il ouvre les yeux, Mary est à ses cotés, il lui demande

_ « Qui êtes vous ? »

Avec une voix toute tremblotante, Mary lui repond

_ « Tu ne te souviens pas ? »

Al essais de se rappeler

_ « Non, je ne me souvient de rien. »

_ « Je suis Mary, ton amie. »

_ « Mary, non, ça ne me dit rien et vous êtes mon amie ? »

_ « Oui, ça fait deux ans que nous vivons ensemble. »

_ « Ah bon ! Je ne me souvient de rien, j’ai mal a la tête. »

Mary se lève et part lui chercher des cachets, contre le mal de tête, lui pendant ce temps là, regarde autour de lui, allonger de ce lit, Mary reviens, lui donne les cachets et un verre d’eau, elle lui dit

_ « Tu ne te souviens même pas de ta demande en mariage ? »

_ « Non. »

Lui repond il en prenant ses cachets, il continu

_ « Je vous est demander en mariage ? »

_ « Oui, il y a trois jours et je t’es répondu, oui. »

Al est perplexe et lui demande

_ « Qu’est ce qu’il m’est arrivé ? »

_ « Tu étais entrain de changer une ampoule et tu es tombé sur le buffet. Tu t’es cogner la tête et c’est tous. »

_ « Pourquoi ne m’avez vous pas amener à l’hôpital ? »

_ « Al, tu me gène a me dire vous, après deux ans de vie commune. »

Et elle se force à pleurer, Al lui repond

_ « Excusez-moi, excuse-moi, je ne me souvient de rien. Mais pourquoi, alors tu ne m’as pas amener à l’hôpital ? »

_ « Tu ne te souviens pas, que je suis infirmière ? »

_ « Non. »

_ « Et ce n’était qu’un petit choc. »

_ « Un petit choc, j’ai perdu quand même la mémoire. »

_ « Ca arrive parfois, après avoir reçut un choc a la tête, mais ça devrais revenir assez vite, tu vas voir. »

Lui repond Mary, même si au fond elle, elle ne l’espère pas. Mary se lève et lui dit 

_ « Pour l’instant reste coucher, je suppose que tu dois avoir faim ? »

_ « Oui, je meurt de faim. »

_ « Je vais te monter quelque chose a manger. »

Elle s’approche de lui, pour lui faire un bisou sur la bouche, Al recule sa tête, Mary lui dit

_ « Tu vas me vexer. »

Al la regarde dans les yeux et se dit dans sa tête

_ « Je ne suis pas là, par hasard, elle dit sûrement la vérité. »

Et il lui rend son baisé. Mary, au fond elle exulte, elle a réussi à avoir, ce qu’elle voulais temps, Al pour elle et pour elle seul. Mary vas préparer quelque chose pour Al, ce dernier seul dans cette pièce, tente de se souvenir de quelque chose, d’avant son accident, mais sans résultat, quand Mary remonte avec un plateau dans les mains, Al lui demande

_ « Quels jours nous sommes ? »

_ « Nous sommes le mercredi treize septembre deux mille deux, pourquoi ? »

_ « Non, pour rien, pour savoir. »

Mary enchaîne

_ « Tu veux que je t’apprenne une catastrophe ? »

_ « Une catastrophe, oui, vas-y. »

_ « Il y a eut des attentats suicides sur le sol Américain. »

_ « Non, ce n’est pas vrai ? »

_ « Oui, je t’assure. »

_ « Ou ? »

_ « Tu te rappelle, de New York ? »

_ « Oui, la ville, mais je ne me rappelle pas y avoir mis les pieds un jour. »

_ « Tu n’y a jamais mis les pieds, mais les deux tours du World Trade Center, elles n’existent plus. »

_ « Non, tu rigole. »

_ « Non, franchement, Deux avions de ligne ont percuté les deux tours, elles se sont effondrées par la suite, plus de deux mille sept cent morts ou disparus. »

_ « Ouas, et on sait qui a fait ça ? »

_ « Pour l’instant, on est sur de rien, mais il pense à Al Qaïda et a Oussama Ben Laden. Mais ils sont sur de rien. »

_ « Dingue. »

_ « Ce n’est pas tous, un autre avion est tombé, sur le pentagone et un autre dans les plaines de Pennsylvanie. »

_ « Ils ont réussi à toucher le pentagone ? »

_ « Oui. »

_ « Ce sont des dingues, le dernier pourquoi est-il tombé dans les plaines de Pennsylvanie ? »

_ « Les passagers ont sûrement tenté quelque chose pour s’en tiré, mais l’avion, c’est écroulé, à la télé, ils disent qu’il était destiner à la maison blanche. »

_ « Carrément, comment un pays comme les États-Unis d’Amérique, peut-il être toucher, par des détournements d’avions pareils ? »

_ « Je ne sait pas. »

Al lui demande

_ « As-tu prévenus ma mère ? »

_ « Non, tu ne te souviens plus de ça aussi ? »

_ « Quoi ? »

_ « Ta mère est morte, elle est morte au début de notre relation. »

_ « Ce n’est pas possible, elle n’est pas morte, je ne m’en rappel pas. »

_ « Je t’assure, elle est morte. »

_ « Elle est enterrer ou ? »

_ « Elle n’as pas été enterrer, tu la fais incinérer et tu a jeter ses cendres dans l’océan atlantique. »

_ « Je ne me rappel de rien, merde. »

Al discute tout en mangeant, Mary lui demande

_ « Et pour ta demande en mariage, c’est toujours d’accord ? »

_ « Tu ma l’aire d’une fille sympa, tu me dit que ça fait deux ans que l’on vie ensemble, si je t’ai demander en mariage, ce n’est pas pour rien. »

Il réfléchit et rétorque

_ « Bien sur que oui, ma demande en mariage est toujours d’actualité. »

Mary lui saute dessus, pour lui faire un bisou, tous les deux ont le sourire aux lèvres. Al lui demande

_ « Et qu’est ce que je fais dans la vie ? »

_ « Tu ne travaille pas, tu boursicote un petit peu, moi j’ai pris des jours de vacance a la clinique ou je travaille, pour pouvoir, m’occuper de toi. »

_ « J’aime la bourse ? »

_ « Oui, beaucoup. »

_ « Ca m’étonne de moi. »

Conclu Al. Les jours passent, Mary demande à Al de rester coucher, après le choc qu’il a reçut, c’est fortement conseillé. Al s’exécute, il reste coucher, une complicité s’installe entre les deux, une télévision est installée dans leur chambre. Un matin, Al et Mary sont encore au lit, ils regardent la télé, un reportage est entrain de passer, sur les familles des disparus, Mary est enlacer dans les bras de Al, elle essais une tentative de rapport conjugal, elle se glisse sous les draps, quand Al lui dit

_ « Je la connais, son visage me dit quelque chose. »

Mary sort de dessous des draps, et s’aperçoit que Jane passe dans ce reportage, elle y dit

_ « S’il vous plait, si vous voyer mon homme……… »

Au moment ou elle allait montrer une photo de Al, Mary éteint la télé, en prétextant

_ « C’est toujours la même chose, qu’ils disent. »

Al furieux lui repond

_ « Rallume, je te dit qu’elle me dit quelque chose. »

Contrainte, Mary rallume la télé, mais Jane n’y est plus, une autre femme est a sa place, Al lui dit

_ « Pourquoi tu as éteint la télé, je ne sait plus ou je l’ai vue. »

Mary lui repond

_ « C’est normal, chéri, tu as perdu la mémoire. »

Al a peut-être perdu la mémoire, mais ce visage lui dit quelque chose, il est gravé dans sa tête. Dans le foyer Bradford, Jane et le petit Al tentent de surmonté leur terrible situations, alors que Jane range le garage, elle essais de s’occupé l’esprit tans qu’elle peut, elle retrouve le cadeau de son mari qu’il avait cacher dans un placard du le garage, dessus il a inscrit

A toi mon fils, espérant que tu devienne une grande star de Base Ball, ton père qui t’aime.

Déjà en le trouvant, elle a les larmes aux yeux, mais en le lisant, elle éclate en sanglots. Elle le prend et le garde précieusement, c’est un dernier souvenir de son mari. Maintenant Al a l’autorisation de Mary de descendre, il le fait, en descendant, il dit

_ « Elle ne me dit rien, cette maison, j’ai l’impression de me retrouver chez un inconnu. »

_ « C’est normal Al, tu as …… »

Al la coupe pour lui faire constater

_ « Oui, je sais, j’ai perdu la mémoire, mais j’en est marre, de me souvenir de rien. »

Il s’aperçoit qu’il n’y a aucune photo de leur couple, il le fait constater à Mary

_ « Mais pourquoi, il n’y a aucune de moi et de nous ? »

Mary cherche une excuse, elle lui dit

_ « Tu les as toutes déchirés, quand tu sortais pour boire, jusqu'à ne plus savoir ou tu étais. »

_ « J’étais comme cela ? »

_ « Oui. »

_ « Et pourquoi, tu reste avec moi, si je suis si violent ? »

Elle le regarde et lui repond

_ « Parce que je t’aime et j’espère que tu vas changer. »

_ « Je vais essayer, je te jure, plus une seules fois, je ne recommencerais, même si je n’est aucun souvenir. »

Elle l’embrasse et lui dit

_ « Merci, je t’aime. »

Les jours, les semaines et les mois passent, Al et Mary se sont mariés. Dans l’état de New York, alors que Al et Jane se sont marié dans l’état du New Jersey. A cette occasion, Al est surpris de ne voir aucune famille de Mary, il lui fait constater

_ « Tu n’as pas invités ta famille ? »

_ « Non, j’ai couper tous les ponts avec ma famille, j’avais dix sept ans. »

_ « Et pourquoi ? »

_ « Parce qu’il m’aimais pas et moi, je n’aime pas, qu’on m’aime pas, c’est tous. »

Lui repond Mary sans détour, Al surpris par cette réponse, mais il ne dit rien et préfère acceptés la volonté de Mary. Apres ça, cette dernière a repris le travaille à New York, a son ancien poste qu’elle avait quitter. Al lui de son coté, travaille dans un magasin de chaussure pour homme, dans la ville de Harford, il s’est fait des amis et leurs vies ont repris leur cour. De son coté, Jane reste fidèle a la promesse faite a Al, lors de leur mariage, elle reste célibataire et élève son enfant du mieux qu’elle peux. Elle fut obliger de quitter sa maison, sans les revenus de Al, elle a du la revendre et est partie s’installer avec la mère de Al, Andy. Jane n’as plus qu’elle, ayant perdu ses parents de bonne heure et maintenant son mari. Elle n’a plus que Andy et son fils dans sa vie. Elle a trouver un petit boulot chez un fleuriste dans la ville de Trenton, Andy garde Al junior pendant ce temps là. La vie n’est pas si joyeuse que cela, pour les deux femmes, mais elles font volte face à leur malheur, pour faire le bonheur du petit Al. Le jour du premier anniversaire du World Trade Center, Al regarde la télévision, Quand dans le journal télévisé, il entend cette date, il a un flash, il demande à Mary

_ « Mary, le onze septembre, ça ne te dit rien ? »

Mary lui repond

_ « Oui, c’est le jour des attentats de l’année dernière. »

Et elle lui montre la télé, Al lui repond

_ « Non, c’est une date d’anniversaire, mais a qui ? »

Mary fait son innocente, elle lui repond

_ « Je n’en sait rien, moi ça ne me dit rien, en tous cas. »

En faite, il n’en est rien, elle sait très bien, que c’est la date de l’anniversaire de Al junior. Mary enchaîne

_ « Al, j’ai quelque chose a te dire. »

_ « Vas-y. »

Mary cherche ses mots et lui dit

_ « Et bien, tu vois, ce matin je suis aller voir le docteur. »

_ « Oui, et ? »

_ « Je suis enceinte, Al, nous allons avoir un bébé. »

Al se lève et lui dit

_ « Non, ce n’est pas vrai. »

Mary en fait de même et lui repond

_ « Oui, Al, tu vas devenir papa. »

Al lui saute dans les bras, l’embrasse et il enchaîne

_ « S’il te plait, on peux l’appeler Al junior, si c’est un garçon ? J’ai toujours rêver d’avoir un enfant qui s’appellerais Al junior. »

Mary réfléchit et pense au Al junior qui habite dans le New Jersey. Mais quand elle vois le bonheur que procure cette nouvelle sur Al, elle lui repond

_ « Mais bien sur mon chéri, on l’appelle Al junior, si tu veux. »

Al est d’une gaieté, sans égal, du moins qu’il puisse sans souvenir. De leurs cotés, Andy et Jane fêtent le troisième anniversaire de Junior, la fête est en demi-teinte, car c’est pour elles aussi, l’anniversaire de la disparition de Al senior. Le petit Al en grandissant est le portrait cracher de son père et c’est dur pour Jane, de revoir sur le visage de son fils, celui de son mari. Même, si, ils n’ont jamais retrouver les ossements de Al, et pour cause. Il lui ont fait une sépulture, dans le cimetière de Trenton. Jane s’y rend, alors qu’Andy garde le petit, arrivé devant a sépulture, elle dépose un bouquet de fleur et commence à dire

_ « Salut Al, tu me manque, tu nous manque tant, junior viens de prendre trois ans, qu’est ce qu’il te ressemble, mais tu doit le voir d’où tu es, il réclame souvent son papa et je suis obliger de lui répondre qu’il ne le connaîtras jamais. »

Elle éclate en sanglot, elle continue 

_ « Et tu ne peux pas savoir, ce que ça me coûte, de lui dire ça, tu étais si jeune, sans ses connards, tu serais toujours là. Mais tu sera indéfiniment dans nos cœurs, je t’aime, a bientôt. »

Elle fait son signe de croix et repart les yeux pleins de larmes. La tristesse de ses deux femmes contrastent avec le bonheur de Al et Mary. Quelque jour plu tard, Al décide de rendre visite à son père au cimetière de Trenton, il n’en parle pas a Mary, il veux se retrouver seul avec son père, il prend donc une journée de congé et part pour la ville de son enfance. Arrivée dans la ville de Trenton, il se dirige tous de suite dans le cimetière, va sur la tombe de son père et lui dit

_ « Salut papa, je sait, ça fait longtemps que je ne suis pas venu te voir, mais là, j’ai une bonne nouvelle a t’annoncer, je vais être papa a mon tour, ce n’est pas génial. Je vais l’appeler Al, si c’est un garçon comme moi et comme toi. J’espère que d’où tu es avec maman, vous êtes fière de moi, en tous cas je fais tous pour. Je me suis marié aussi, avec une fille formidable, dommage que vous ne soyez plus là, vous l’aurez adorer. Bon papa je vais te laisser, fais un gros bisou a maman, je te promet de revenir plus souvent maintenant, a bientôt. »

Et il repart. Arriver dans sa voiture, il est pris de nostalgie, il veux aller voir la maison, le quartier ou il a grandi. Il s’y dirige donc, une fois arriver dans le quartier, devant la maison, il se dit

_ « J’aimerais bien revoir, l’intérieure de la maison. »

Il se gare devant celle-ci et au dernier moment, il ne peux pas, sa timidité le gagne, il remonte dans sa voiture et part. Dans la maison, de la fenêtre de la cuisine, Andy, crois avoir vu son fils dans la rue, mais elle ne crois pas, elle l’a vraiment vue, en réalité. Elle se précipite dehors, mais la voiture n’est plus là, elle a les yeux tout humides, elle se dit

_ « Je perd la tête, je vois mon fils maintenant. »

Et retourne dans la maison, s’occuper de junior. Le soir, Mary rentre du boulot, elle demande à Al

_ « Ta journée a été bonne ? »

_ « Oui, très bien, je suis aller a Trenton, je me suis recueillis sur la tombe de mon père. »

_ « Tu as été à Trenton ? »

Demande Mary inquiète

_ « Oui, je suis retourner aux sources, j’ai même voulut aller voir la maison de mon enfance, mais je n’est pas osez déranger la famille, qui a repris la maison de ma mère. »

Mary se dit dans sa tête

_ « J’espère que personne ne l’a vue, sinon, mon conte de fée s’arrête net. »

puis enchaîne à Al

_ « Tu as rencontrer du monde a Trenton, des vieux amis ou je ne sait pas ? »

_ « Non, personne, je n’y suis pas rester longtemps. »

Mary est soulager, elle lui demande, pour changer de conversation

_ « Et qu’est ce que tu veux manger ? »

_ « Ce n’est pas moi, qui est enceinte, fais quelque chose que tu as envies. »

Il s’approche de Mary, se baisse sur son ventre et y pose ses mains, en disant

_ « Faut lui faire plaisir, a mon petit Al junior. »

Et il l’embrasse. Al est vraiment heureux, son passée ne le préoccupe plus, il ne vois que l’avenir, l’avenir avec Al junior. Le soir même a Trenton, Jane rentre du travaille, Andy a déjà donner à manger à junior et préparer le dîné. Jane lui demande

_ « Andy, où est junior ? »

_ « Il est coucher, il a manger et il dort. »

_ « Je vais aller lui faire un bisou. »

Andy a ce moment là, dit à Jane

_ « Jane, je crois que je deviens folle. »

Jane se retourne et enchaîne

_ « Pourquoi dis-tu cela ? »

Andy s’assois sur une chaise et continue

_ « C’est après midi, j’ai cru apercevoir Al devant la maison, il descendais d’une voiture. »

Jane s’approche, lui prend la main et lui dit

_ « Moi aussi, je crois le voir partout, son manque nous détruit de l’intérieur, moi aussi je deviens folle. »

_ « Mais j’en suis sur, il était là. »

Andy se met à pleurer et Jane lui dit en la regardant dans les yeux

_ « Arrête de pleurée, où je vais pleurer avec toi, il est mort Andy, il est mort et faut ce faire une raison, même si c’est dur, même si sa nous fait du mal, mais faut tourner la page, même si, il resteras à jamais dans nos mémoires. »

_ « Tu sait pour qui, ça me fait le plus du mal ? »

Lui demande Andy, toujours en pleure

_ « Non. »

Lui repond Jane

_ « Pour junior, il ne connaîtra jamais son père. »

_ « Je sait, a moi aussi, ca me fait du mal. »

Et elles pleurent toutes les deux. Le lendemain, Andy est toujours obnubiler par ce qu’elle a vue, elle veut en n’avoir le cœur net, le petit Al dans les mains, elle fait le tour des maison du voisinage, tandis que Jane est au travaille. Elle demande aux personnes du voisinage, si quelqu’un a vue, une voiture se garer devant chez elle. Les cinq premières maisons, ne lui apporte pas satisfaction, mais à la sixième, une vieille dame lui dit

_ « Oui, hier après midi, il y a bien une voiture qui c’est garé devant chez vous. »

_ « Et avez vous vue la personne qui la conduisait ? »

_ « Je suis vieille, mes yeux me fond défaut par moment, mais une chose est sur, c’était un homme. »

Andy lui demande

_ « Et si je vous ramène une photo, est ce que vous pourriez l’identifier ? »

_ « Oui, peut-être. »

_ « Je reviens, je vais chercher une photo. »

Andy par a toute vitesse, chez elle, reviens avec une photo de Al, la donne a la vieille dame et lui dit

_ « Est ce que c’était le jeune homme d’hier ? »

_ « Oh ! je ne peux jurer de rien, mais je crois bien que c’était lui, si je ne me trompe pas. »

_ « Merci madame. »

Andy continue à faire le tour des voisin, mais sans succès, la seul personne à l’avoir vue, c’est cette vieille femme. Le soir, quand Jane rentre, Andy lui fait constater

_ « Jane, je ne suis pas folle, le jeune homme que j’ai vue hier, c’est bien Al. »

Jane surprise lui demande

_ « Comment ça ? »

Andy continue, exciter comme une puce

_ « Ecoute, Mme Bellamy, notre voisine. »

_ « Oui. »

Lui repond Jane

_ « Mme bellamy l’a vue hier, je lui est montrer une photo et elle l’a reconnue. »

_ « Tu es sur ? »

Lui demande Jane, le cœur qui s’accélère

_ « Oui, je te le jure, il n’est pas mort. »

Jane reprend espoir et dit à Andy

_ « Faut que j’aille voir Mme Bellamy, il faut que je l’entende moi-même. »

Elle se dirige vers la maison de Mme Bellamy, suivit d’Andy, qui a Al junior dans les bras. Jane frappe, Mme bellamy lui ouvre et dit

_ « Jennyfer, qu’est ce que tu fais là, ça fait longtemps que tu n’es pas venu voir grand-mère. »

Andy lui repond

_ « Non, Mme Bellamy, c’est Mme Bradford, je suis venu….. »

Elle est couper par Jane qui lui dit

_ « C’est bon, moi je rentre. »

Elle prend son petit et repart dans la maison. Mme Bellamy dit

_ « Oh ! ce n’est pas jennyfer ? »

Andy lui repond

_ « Non, Mme Bellamy, ce n’est pas Jennyfer, excusez nous de vous avoir déranger. »

Et Andy retourne dans la maison, elle y trouve Jane en pleure, Andy lui demande

_ « Qu’est ce qu’il t’arrive à partir comme ça ? »

_ « J’en est marre, je n’arrive pas a en faire son deuil, et tu me sort ça maintenant. »

_ « Mme Bellamy l’a reconnu. »

_ « Elle a cru que j’étais sa petite fille a un mètre, elle n’as pas pu  reconnaître Al a vingt mètres. »

_ « Mais, elle a vue un homme se garé devant la maison, et a reconnus Al sur la photo, ce n’est pas rien. »

_ « Et puis, admet le, c’était peut-être un homme qui lui ressemblais et c’est tous. Il ne faut pas nourrir de faux espoirs, il est mort, il y a plus d’un an maintenant. »

Andy commence à pleurée, elle aussi et rétorque, en prenant Jane dans ses bras

_ « Je n’arrive pas a l’admettre, je n’y arrive pas. »

Conclue la mère du défunt, la mort dans l’âme. Les semaines et les mois passent, Mary après avoir fait une écographie de contrôle, dit à Al en rentrant

_ « Al, j’espère que tu ne seras pas déçut ? »

Al lui repond surpris

_ « Pourquoi, de quoi tu me parles ? »

_ « J’ai fais une écographie c’est après midi et….. »

_ « Il n’y a rien avec le bébé, rassure moi ? »

La coupe Al inquiet

_ « Non, le bébé est en pleine forme, mais j’espère que tu ne seras pas déçut, c’est une fille. »

_ « Une fille, non, je vais avoir une fille, c‘est génial. »

Il prend Mary dans ses bras, celle-ci enchaîne

_ « Ca ne déchoit pas ? Tu ne pourras pas l’appeler Al junior ? »

_ « Ce n’est pas grave, j’y avais déjà penser, on l’appellera Hale, ce n’est pas grave. »

_ « Qu’est ce que tu me raconte, c’est la même chose ? »

_ « Non, Elle s’appellera Hale, sans le Junior, le Hale, de Hale Berry, c’est tous. »

Mary réfléchit un peu et rétorque

_ « Ouais, Hale Bradford, ça en jète, moi j’aime bien, ça me vas. »

Et ils s’embrassent, tous les deux sont joyeux. Mary s’arrete net de rire, elle a une autre nouvelle, elle lui dit 

_ « Al j’ai une autre nouvelle, mais celle-ci est moins joyeuse. »

Al la regarde dans les yeux et lui demande

_ « Qu’est ce qu’il y a ? »

Mary passe ses mains dans ses cheveux et lui rétorque

_ « Pendant l’écographie,. »

Elle cherche ses mots et enchaîne

_ « Ils ont découvert, que j’avais un cancer aux intestins, je suis désolez. »

_ « Qu’est ce que tu me racontes là ? C’est vrai ? »

_ « Oui, Al c’est vrai, j’ai un cancer en stade déjà bien avancer. »

Al décontenancé lui repond

_ « Mais, il y a des traitements, ils peuvent te soigner, il y a la radiothérapie, la chimiothérapie et tous autres traitements. »

_ « Non, Al, non, avec le bébé dans mon ventre, ils ne peuvent effectuer aucun traitements sur moi, le temps que la petite sera dans mon ventre. »

_ « Mais quand tu accoucheras, ils te soigneront ? »

_ « Ils pensent, que le cancer sera à son stade terminal a ce moment là, il n’y aura aucune thérapie possible a ce moment là, Al, je vais mourir. »

Al dépiter, lui repond

_ « Ne dit pas ça, tu vas être maman, tu ne peux pas mourir, dieu ne peux pas te laisser donner la vie, pour prendre la tienne derrière, ce serait injuste. »

Elle prend Al dans ses bras, et lui glisse dans l’oreille

_ « La vie est injuste Al, quand tu y regarde bien, mais je sais, que quand je ne serais plus là, tu t’occuperas bien de la petite, j’en suis sur ? »

Al s’effondre en larme et dit

_ « Pourquoi mon dieu, tu me fais ça, pourquoi tu dois me prendre ma femme. »

Mary dans les bras de Al, Al dans les bras de Mary, pleurent tous les deux. Apres quelques instants Mary prend une grande respiration et enchaîne

_ « On n'y peut rien, c’est la vie, c’est comme ça, faut faire avec, je suis sur que tu vas réussir à bien t’occuper de la petite. »

_ « Je ne sait pas, si je vais être capable de m’occuper de la petite, mais ça me fait du mal pour toi. »

_ « Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai vécu mes rêves, je vis avec toi, on s’est marié et le plus beau, on vas avoir un enfant ensemble, quand je vais partir, tu auras un petit bout de moi, avec toi. »

Al la regarde dans les yeux et l’embrasse. Les semaines passent, Mary a quitter son poste pour la deuxième fois, la maladie la rongeant de l’intérieure, elle n’eut pas d’autre choix, que d’aller à l’hôpital, pour finir sa grossesse. Al ne la quitte pas, il reste jour et nuit avec elle, a ses cotées. Mary apprécie le soutien de son homme jusqu’au jour, ou elle lui dit

_ « Al, je n’en peux plus, j’ai mal, je souffre trop. »

_ « Mary, tiens bon, je t’en supplies, tien bon. »

_ « Ne t’en fais pas, je tiendrais jusqu’au bout, pour la petite, je suis désolez de dire ça, mais j’ai hâte que ce soit finis. Je te remercie d’être toujours là, je t’aime. »

Avec une voix souffrante, des perfusions dans le bras, elle ne se nourrit plus toute seul, elle n’en as plus la force. Al lui repond

_ « Moi aussi, je t’aime, tien bon, c’est presque fini, ton calvaire est presque fini. »

Lui dit Al, des larmes dans les yeux.

Quelques jours plus tard, Mary est tellement mal en point, que les médecins décident de procéder à une césarienne. Mary, est allongée sur la table d’opération, Al est là, à c’est coté, il lui tien la main, l’opération est en court, des bruits étranges se font dans la pièce, derrière les paroles des médecins et infirmières présents. Al lui dit dans l’oreille, en voyant sa souffrance dans ses yeux et les siens plein de larmes

_ « Je suis tellement désolé, Mary, je suis tellement désolé. »

Mary, avec les dernières forces, qui lui reste, lui repond

_ « Ne le soit pas, mon chéri, tu n’y est pour rien, ne le soit pas. »

D’un coup, les deux parents peuvent entendre le cri de la petite Hale, Al regarde Mary, qui a un sourire sur ses lèvres, des larmes pleins les yeux. Une infirmière, ramène la petite Hale et dit à Mary

_ « Regardez, la belle petite fille, que vous avez. »

L’infirmière pose le bébé sur le ventre de Mary, elle la regarde, toujours un sourire sur les lèvres. Elle n’a même plus la force de la toucher avec ses mains. Al lui dit

_ « Regarde, elle est belle. »

Mary, ne peut pas répondre, sous l’émotion et la douleur. L’infirmière reprend la petite et dit

_ « Je vais lui faire un petit brin de toilettes et je vous la ramène. »

Mary regarde sa petite fille partir, c’est la dernière fois, qu’elle la vois, elle arrête de respirer dans les instants qui suive son départ. Al s’apercevant de l’arrêt respiratoire de Mary, dit aux médecins

_ « Elle ne respire plus, faites quelque choses, elle ne respire plus. »

Un médecin viens vers lui et lui dit

_ « Laissez la partir, c’est une femme très courageuse, pour avoir endurer, tous ce qu’elle as endurer. »

Al en pleure, lui repond

_ « Elle n’as même pas pu la toucher, elle n’as même pas plus la toucher. »

Et s’effondre sur le corps de Mary. Les médecins vont le laissés quelques minutes avec sa femme. Il ce recueil et lui dit

_ « Je te promet Mary, je vais bien m’en occuper, je lui expliquerais, comment était sa mère, je lui expliquerais, que tu étais une femme aimante et que tu aurais fait une mère génial, je te le promet. »

La petite Hale se porte bien, elle est née presque a terme, le huit février deux mille quatre, pour Al, elle a des trait du visage, qui lui font rappeler Mary. Al fait une belle cérémonie funéraire pour sa femme, il tiens sa promesse faite a Mary sur son lit de mort, il élève bien sa fille, lui parle souvent de sa maman, il prend une nourrice pour Hale et lui reprend le travaille tant bien que mal. La vie reprend son cour, les mois passent, aussi bien pour Al, que comme se fut le cas pour Jane, il n’arrive pas a faire le deuil de l’être aimé, il ressasse le passé, en regardant des photos, se souvenant des bons moments passés ensemble, pour lui aussi, l’anniversaire de sa fille, lui fait rappeler la mort de sa femme. Deux ans ont passé, depuis la naissance de la petite et la mort de sa mère, Al, pendant l’un de ses jours de repos, emmène Hale à New York, croyant, qu’il n’y avait jamais mis les pieds. Il l’emmène dans des magasins de jouets, ils se promènent, quand par curiosité, ils s’arrêtent devant le mémorial des attentas du World Trade Center, Al contemple avec tristesse, la place vide, laisser par ces deux monstres d’acier, tomber en même pas deux heures. L’indignation le gagne, pour la mémoire des victimes, il regarde les noms de certain de cela. D’un coup, il est stupéfait, il retrouve un Alphonse Bradford dans la liste, il se demande 

_ « Mais qui cela peut bien être, vu que je suis fils unique, vu que mon père était fils unique. Est ce que j’aurais encore de la famille, dont un qui serais mort pendant le onze septembre ? »

La question l’obsède, mais décide de rentre chez lui quand même et l’incident est clos, 

_ « C’est peut-être juste un patronyme. »

Ce dit-il. Sur le chemin du retour, il décide d’aller voir son père au cimetière, vu qu’il lui avait fait la promesse de venir plus souvent le voir et que cela fait près de trois ans, qu’il n’est pas revenu. Il se dirige sur Trenton, avec sa fille a ses cotés, il lui demande

_ « Ca te dirait de voir ton grand-père ? »

L’enfant ne lui repond pas, juste un petit sourire a la place, il enchaîne

_ « Je considère sa pour un oui. »

Et les voilà partis. Arrivée à Trenton, il vas directement au cimetière, sa fille dans les bras, il vas au devant de la tombe de son père, il lui dit

_ « Excuse moi, de n’être pas venu plus souvent, mais ma vie a été très charger, durant ces dernières années. »

Il réfléchit et enchaîne

_ « Tiens, je te présente ta petite fille, Hale, non, je n’est pas eut de fils, donc pas de junior, mais je l’ai quand même appeler Hale, dommage que tu ne sois plus là, tu l’aurais adorer. »

Il redeviens plus sérieux et il dit

_ « J’ai perdu sa maman, elle nous a quitter le jour de la naissance de la petite, à cause d’un putain de cancer, mais bon, la vie continue, c’est comme cela. »

Il regarde autour de lui et enchaîne

_ « Au faites, je reviens de New York, je ne sait pas si vous êtes au courrant la haut, ici, ça a chier, il y a eut des attentats et tous, mais dans les victimes, j’ai retrouver un Alphonse Bradford, incroyable, comme toi et moi. »

Puis il dit sur le ton de la plaisanterie

_ « Tu n’aurais pas fait un enfant dans le dos de maman toi. Non, je déconne, bon, je vais y aller, je repasserais te voir, fait un bisou a maman, explique lui bien tous, a bientôt. »

Et il repart. Mais il repense, a ce qu’il a dit à son père pour rigoler, si cela était vrai, il se dit

_ « Je rigole, je rigole, mais si cela était vrai, si, il avait eut une autre vie avant de rencontrer ma mère, j’étais jeune quand mon père est mort, ma mère ne m’a jamais trop parler de son passé. »

Ca le hante, maintenant, il faut qu’il sache. Il se dirige donc a la mairie de Trenton, arriver à l’accueil de celle-ci, il demande à la dame

_ « Excusez moi, pour les états civil, ça se trouve ou ? »

La dame lui repond

_ « Dernier étage, porte de droite, M.. »

_ « Merci Mme »

Lui repond Al, en montant les étages avec sa fille. Ils entrent dans la pièce de droite, une femme est là, elle lui demande

_ « Que puis-je faire pour vous ? »

Al s’approche et lui dit

_ « Ce serait pour avoir un état civile. »

_ « Oui, M. a quel nom ? »

_ « Bradford Alphonse. »

Lui repond Al. La dame rétorque

_ « Lequel ? J’en est deux. »

_ « Alphonse père, né en mille neuf cent cinquante et un. »

_ « Excusez moi, mais vous êtes qui, pour la personne ? »

Lui demande la dame, Al lui repond

_ « Son fils, pourquoi ? »

_ « Non, c’est juste pour ne pas divulguer des informations, a n’importe qui. »

_ « Je comprend. »

La dame y sort son acte de naissance, et lui donne. Al le lis, mais n’y figure pas d’autre vis avant la rencontre et le mariage avec sa mère, il demande

_ « Est ce que vous pouvez me sortir, son acte de mariage ? »

_ « Oui, il n’y a pas de problème. »

La dame y sort, son acte de mariage, le donne a Al, qui en le lisant, ressent un peu de nostalgie, en repensant à sa mère et a son père. Il demande à la dame

_ « Pouvez vous me sortir mon acte de naissance, je vais le garder, si un jour ma fille veux faire, son arbre généalogique. »

La dame lui demande

_ « Votre nom ? »

_ « Bradford Alphonse. »

_ « Vous êtes né en quel Année ? »

_ « Mille neuf cent soixante dix huit. »

La dame y sort sans problème, elle lui donne. Al lui dit en repliant les trois papiers et surtout sans lire le dernier

_ « Merci bien Mme »

Et en s’adressant à Hale

_ « Tu viens ma chérie, on rentre à la maison. »

Il prend sa fille, sort de la mairie et repart pour Harford. Arrivé chez lui, il met les trois actes civil, dans un tiroir du buffet et la vie reprend son cour. Il retourne au travaille le lendemain, la nourrice s’occupe de Hale la journée. Mais ce nom qu’il a vu, sur le mémorial a New York, le préoccupe tant, Alphonse Bradford, il se demande, qui est vraiment cette personne ? Mais il passe outre. De son coté Jane, pour les six ans du petit Al junior, elle décide de lui donner le cadeau, que son mari lui avait préparer pour ses deux ans. Andy lui dit

_ « Tu est sur de vouloir, lui donner ? »

Jane lui repond

_ « Oui, ça ne sert plus a rien de vivre dans le passé et junior seras tellement content d’avoir un cadeau de son père. »

Alors, elle donne donc le cadeau, en lui expliquant les raisons, du pourquoi, qu’on lui donne que maintenant. Al junior est très content d’avoir un cadeau de son père, aussitôt, qu’il l’a dans les mains, il part tous de suite jouer au Base Ball avec sa mère, Andy et Jane sont heureuse a ce moment là, elles sont heureuse de voir junior heureux. Le soir même, ce onze septembre deux mille six, pour les cinq ans des attentats du World Trade Center, la télévision diffusent des documents exclusifs, sur le scénario des attentats, qu’ avec des vidéos amateurs. Il est donc devant la télé, de leurs cotés, Jane et Andy ne veulent plus entendre parler du World Trade Center, il ne la regarde pas. Le début de l’émission commence, Al est installer sur le canapé, lorsqu’il vois, des images filmées avec un téléphone portable, au tous début des attentats, aux pieds des deux tours, il crois halluciner, il vois sa femme et un homme, aider un autre homme a marcher. Mais c’est subliminal, ça ne dure que quelques secondes, il est sur d’avoir reconnut Mary, mais crois, il crois, que c’est lui, que l’homme et Mary aider à marcher. Il se demande

_ « Mais qu’est ce que c’est que ce délire ? Mary, ne m’a jamais parler de ça, Je ne sait pas, mais je crois m’avoir reconnu, qu’est ce que je foutais la bas, Mary m’a dit que je n’y avait jamais mis les pieds a New York. »

Il ne regarde même plus la télé, il fait les cent pas dans la maison, il se pose des tas de questions

_ « Qu’est ce que ça veux dire ? »

_ « C’était juste au moment ou j’étais dans les pommes. »

_ « Pourquoi Mary m’en a t-elle jamais parler ? »

Pour en être sur, il téléphone à plusieurs de ses amis, pour savoir, si, il n’y en a pas un, qui aurais enregistrer l’émission. Par chance, un est entrain de l’enregistrer pour sa femme, Al lui demande

_ « Quand, l’émission sera fini, est ce que tu pourrais me ramener l’enregistrement ? »

Son amis lui repond

_ « Pas de problème, je te ramène la cassette après. »

_ « Laisse tomber, j’arrive, je n’est pas de magnétoscope. »

lui répond Al, il raccroche, réveille Hale qui dormais, en l’habillant et part chez son amis a toute vitesse. En dix minutes, il est devant la maison de son amis, Hale dans les bras, qui dort. Son amis habite la même ville de Harford, celui-ci le fait entrer, Al pose Hale sur le canapé et ils regardent la fin de l’émission ensemble. Une fois terminé, l’amis demande

_ « Qu’est ce que tu voulais voir ? »

_ « Tu vas voir, remet la cassette au début de l’émission, Harry, s’il te plait. »

Harry le fait, il met lecture et l’émission commence, Al lui dit

_ « Regarde bien, ça ne dure pas longtemps, mais tu me dit si tu reconnais quelqu’un. »

Le passage ou il crois voir Mary et lui, passe, Al lui redit

_ « C’est là, regarde. »

Harry, lui repond

_ « Je n’est rien vu. »

_ « Retourne en arrière. »

Harry remet en arrière, Al lui demande

_ « Stop, met lecture. »

Ce qu’il fait, le passage repasse et Al enchaîne

_ « Arrête l’image ? »

Harry s’exécute, al rétorque

_ « Et la, tu ne vois rien sur l’image? »

Harry regarde et après quelque seconde d’attention, il repond

_ « Oui, on dirais Mary là. »

Et il l’a montre, Al enchaîne

_ « Et a coté, est ce que tu me vois, moi ? »

_ « Oui, elle est entrain de te porter, avec un autre homme. »

Al rassurer dit

_ « Je ne suis pas fou, je me suis bien reconnu, sur les images, mais il fallait que quelqu’un d’autre me le confirme. »

_ « Comment ça ce fait que tu ne m’en as jamais parler ? »

_ « Parce que je n’en savait rien. »

_ « Comment ça ? »

Demande Harry, Al lui repond

_ « J’ai perdu une partis de ma mémoire, a peu près a ce moment là, je ne me souvient de rien avant le onze septembre deux mille un. Pourquoi, m’a t-elle cacher ça ? »

Se demande Al, Harry reste muet, Al lui enchaîne

_ « Comment, je pourrais faire, pour savoir, ce que je faisait là bas ? »

Il essais de réfléchir, il se dit dans sa tête

_ « Onze septembre, onze septembre, pourquoi cette date me rappelle quelque chose ? Merde faut que je retrouve la mémoire. »

Il enchaîne à Harry

_ « Je te remercie, c’est très gentille de m’avoir aider, mais je vais y retourner, je vais recoucher la petite. »

Harry lui repond

_ « Ok, si tu veux. »

Al prend Hale dans ses bras et s’en vas, Harry lui dit

_ « A la prochaine Al, salut. »

Une fois rentrer chez lui, il couche Hale, ensuite il tourne en rond, dans la maison, il essais de retrouver la mémoire, il se demande

_ « Qu’est ce que je pouvais faire la bas ? Qu’est ce que l’on pouvais faire la bas, devant le World Trade Center ? Qu’est ce que Mary a voulut me cacher ? Est ce que l’on y travaillais ? Est ce que l’on faisait juste passer ? Ca me rend dingue, autant de questions, sans réponse. »

Et d’un coup, il fait le rapprochement

_ « J’étais sur les lieux, j’en est la preuve et ce nom, sur le mémorial. Alphonse Bradford, ça se trouve, c’est de moi, qu’il s’agit ? Mais qui aurais pu déplorer ma mort ? Vu que je suis belle et bien vivant. »

Ces questions sans réponse, le hante toute la nuit, il ne ferme pas un œil de la nuit, le lendemain matin, vers huit heures et demis, la nourrice arrive, Al lui ouvre la porte de la maison, comme tous les matins ou il a du travaille. Mais là, il lui dit

_ « Vous pouvez rentrer chez vous, je ne vais pas aller travailler, je garde la petite aujourd’hui. »

La nourrice ne comprend pas, mais ça lui fait une journée de repos, elle repart donc. Al attend avec impatience neuf heures, quand cet heure arrive, il téléphone à la marie de New York, une dame lui repond

_ « Allos, mairie de New York bonjours, que puis-je faire pour votre service ? »

Al lui demande

_ « Oui, bonjours Mme, Je vous appelle, parce que, vous allez me prendre pour un fou, je le sais. »

La dame lui dit

_ « Mais non, allez-y. »

Al lui repond timidement

_ « Hier, j’ai regarder l’émission de télé, relatant les évènements du onze septembre, avec des vidéos amateurs et je suis sur de m’avoir vue la bas. »

La dame lui rétorque

_ « Mais vous n’étiez pas le seul, a y être M. »

_ « Non, je sait bien, mais je n’en est aucun souvenir. »

_ « Ce n’est peut-être pas un mal, M., parce que se fut affreux. »

_ « Je m’en doute, mais ce qui est le plus fou, il y a quelque, je suis venu à New York et j’ai vu sur le mémorial des victimes. Mon nom, Alphonse Bradford, est ce que vous pouvez me dire, si c’est de moi qu’il s’agit ou d’un patronyme, parce que si c’est de moi, je vous préviens que je ne suis pas mort. Mme »

_ « Oui, il n’y a pas de problème, vous attendez un instant, je vais chercher le registre. »

Lui dit la dame, Al lui repond

_ « Allez-y, j’ai tous mon temp. »

La dame part dans son coin, Al entend Hale qui se réveille, il pose vite fais le combiné, part la chercher et redescend aussi vite. Quand il prend le combiner, la dame lui dit

_ « Allos, il y a quelqu’un ? »

Al lui repond

_ « Excusez moi, j’ai ma fille qui pleurais, je vous écoute. »

_ « J’ai regarder dans les registres, il y avait bien un Alphonse Bradford, né dans l’état du New Jersey, à Trenton. »

Al n’en reviens pas, il lui dit

_ « C’est moi, mais je ne suis pas mort, je suis là. »

_ « On n'as jamais retrouver son corps, comme beaucoup de victimes, dans ses attentats. »

Al tombe des nus, il enchaîne

_ « Et pourrais-je savoir, qui vous a signifier de ma disparition ? »

Al attend la réponse avec impatience, la dame lui dit

_ « C’est Mme Andy Bradford et Mme Jane Bradford, sa femme. »

Al tremble des jambes, il repond avec une voix terrifier

_ « Ma femme, je me suis marié qu’une fois, il y a un peu plus de trois ans. »

La dame lui rétorque

_ « Je ne sais pas combien de fois, vous vous êtes marié, mais moi, c’est ce que sait marquer. »

Al rebondit

_ « Vous avez dit Andy Bradford aussi, c’est ça ? »

_ « Oui. »

_ « Mais ma mère est morte, j’ai jeter ses cendres dans l’océan atlantique, ce n’est pas possible. »

_ « Mme Bradford est toujours vivante, elle habite toujours a Trenton, du moins, si elle n’as pas déménager, c’est tous ce que je peux faire pour vous ? »

_ « Oui, je vous remercie, Mme, au revoir. »

La dame lui dit

_ « Au revoir M. »

Et elle raccroche. Al reste avec le combiner sur l’oreille, il n’entend plus que la tonalité, il reste figer comme ça, quelque instants. Ensuite, il raccroche le combiner et par se poser dans le canapé, avec sa fille. Il se dit

_ « Ma mère n’est pas morte, ma femme, je n’y comprend plus rien. »

Avec ses fraîches informations, il continu sa journée, prépare le petit déjeuné a Hale, l’habille, mais ça le préoccupe beaucoup. Il décide donc d’appeler un opérateur, pour avoir le numéro de sa mère, un homme au bout du file lui demande

_ « Quel renseignement demandez vous ? »

Al lui dit

_ « Mme Bradford a Trenton, dans le New Jersey, s’il vous plait. »

_ « Je vous met en relation direct, ou vous préférez que je vous donne son numéro ? »

Al réfléchit et lui dit

_ « Non, mettez moi en relation direct, s’il vous plait. »

_ « Au revoir, M., j’envois l’appelle. »

Al entend la tonalité, il est très anxieux, quand Andy repond, elle dit

_ « Allos. »

Al reconnais tous de suite la voix de sa mère, il lui dit

_ « Je suis bien chez Mme Bradford ? »

Pour être sur, lui demande t-il avec une voix tremblotante. Andy repond

_ « Oui, c’est pourquoi ? »

Al raccroche, il n’en reviens pas, il viens d’avoir sa mère au téléphone, sa mère qu’il pensait morte, Il se demande

_ « Pourquoi ? Pourquoi Mary m’a t-elle cachée tous ça ? Pourquoi ? »

Il décide donc de fouilliez dans les affaires de Mary, qu’il n’avait pas toucher depuis sa mort. En fouillant, il retrouve une lettre confessionnel, il y est inscrit

Al, je t’écris cette lettre, pour tous te raconté, pour tous le mal que je t’est fait. Me sachant condamnée et voyant la peine que tu as, de savoir que je vais bientôt partir. Je me suis mis à la place de ta femme, pas moi, ta première femme, je me suis dit, que cette femme a du souffrir énormément de t’avoir perdu. Je m’excuse de t’avoir voler ta vie, je m’excuse de t’avoir voler toutes ces années. Par contre je ne regrette pas la petite qui va bientôt naître, j’espère que ça ne changeras rien envers elle, tous ce que je t’ai fait subir, j’espère que tu l’aimeras toujours autant.

Adieu Mary

Al pleure en lisant cette lettre, d’émotion et de colère. Mais cette lettre est un choc pour Al, d’un coup, il se rappelle, de petite chose, il se rappelle, de l’avion qui entre dans la tour, Il se rappelle, des fois, quand il l’emmenais dans l’hôtel et la fois, qu’il lui a dit que c’était finis entre eux deux. Mais tous ne reviens pas, il décide donc de prendre la voiture et de partir avec Hale à Trenton. Arriver sur place, il vas chez sa mère, si elle habite toujours là, il se gare un peu en retrait, sort Hale de la voiture et ils se rendent à pieds, jusqu’au devant de la maison. Devant cette dernière, un enfant joue avec sa balle de Base Ball et son gant. Al s’approche du garçon et lui demande

_ « Excuse moi petit, est ce que cette maison appartient toujours a Mme Bradford ? »

Le garçon se retourne, c’est Al junior, il le regarde et repond

_ « Je te connais toi. »

Al lui repond

_ « Ah non ! Je ne crois pas petit. »

Junior lui repond

_ « Oui, je te connais. »

Al s’accroupit sur le petit Al, tournant le dos a la maison et tenant Hale par la main, il lui dit

_ « Ah oui ! Et comment je m’appelle ? »

_ « Tu est papa. »

Al ne comprend pas, il lui dit

_ « Je ne peux pas être ton père ? »

_ « Oui, j’ai plein de photo de toi, dans ma chambre. »

Lui repond junior, Andy sort de la maison, vois un homme accroupit devant Junior, qui tiens une petite fille par la main. Elle lui demande

_ « Aller, c’est l’heure que tu rentre, Junior. »

Al attend cette voix et cette phrase. Il regarde l’enfant, il a des larmes qui lui coule sur sa joue, il se relève et se retourne. Il vois sa mère, elle, elle vois son fils, elle crois rêver, les deux ne peuvent pas bouger, ils sont scotcher. Al junior dit juste a sa grand-mère

_ « Mamie, mamie, c’est papa. »

En s’approchant d’Andy, cette dernière demande a Al, en pleure

_ « Al, c’est bien toi ? »

_ « Oui, maman. »

Lui repond Al, qui tiens sa fille par la main. Sa mère s’approche de lui et le prend dans ses bras, en lui disant

_ « Ca fait cinq ans, ça fait cinq ans que je pensait qu’a ce moment là. »

Al lui repond

_ « Excuse moi, maman, excuse moi, je ne sait plus ou j’en suis. »

Andy se reprend et lui demande

_ « Mais qu’est ce qu’il t’est arriver pendant ces cinq ans, on te croyais mort ? »

_ « J’ai perdu la mémoire maman, je me suis retrouver avec une femme, qui m’a fait croire que tu étais morte, je me suis marié avec elle, nous avons eut cette petite fille et elle est morte, emporté par un cancer. »

Sa mère regarde la petite et lui demande

_ « Et comment s’appelle t-elle ? »

Al lui repond

_ « Je l’ai appeler Hale. »

Andy prend junior par la main et demande a Al

_ « Tu ne te souvient pas de Al Junior, ton fils ? »

Al se met à pleurer et lui repond

_ « Non, je ne me rappelle de rien, mais je suis content de savoir que j’ai un fils. »

Andy invite Al a rentrer dans la maison, Il discute de choses et d’autres qu’il sait passer durant c’est cinq ans, Hale joue avec Al junior dans le jardin. Quand Jane rentre du travaille, elle ouvre la porte, vois Al assis sur une chaise, elle ne bouge plus, ses jambes tremblent, son souffle est court, Andy lui dit

_ « Regarde, Al n’est pas mort, il est là. »

Jane n’en crois pas ses yeux, elle ne peux dire un mot, Al lui dit

_ « Je vous est vu a la télé une fois, vous aviez perdu….. »

Al ne termine pas sa phrase, il comprend, dans les yeux de Jane, que c’est sa femme. Cette dernière s’approche de lui et le prend dans ses bras, en lui disant

_ « Al, Tu nous a tellement manquer. »

En pleurant. Al ressent une chaleur, l’envahir, au contacte de Jane, sa mémoire lui reviens d’un coup, aussi vite qu’elle n’était partis. Al lui repond

_ « Toi aussi Jane, tu m’as manquer, vous m’avez tous manquer. »

Al explique toute l’histoire extra conjugal avec Mary, sa perte de connaissance, sa perte de mémoire et la vie qu’il a eut pendant ses cinq années. Apres de Mary, la naissance de Hale et la mort de sa mère. Jane n’en veux pas a Al, de son histoire avec Mary, pour elle, le plus important, c’est qu’il soit de retour.

 

                                                      FIN

 
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