L'antre de Baxter


                                       Nuit mortelle

 
 

                                    

                                          ACTE I

                              Le réveil


                             Je me réveille, j’entends un bruit, comme de l’eau qui coule, j’ai un mal de tête énorme, j’ouvre les yeux, il fait encore nuit, je regarde autour de moi et je ne reconnais absolument rien.
Une gueule de bois gigantesque, j’ai du faire une de c'est bringue hier soir, je ne me souviens de rien, qui se serait passer dans la soirée.
Tous d’un coup, quelque chose me dérange, Je me sens très collant, comme ci, je m’étais mis de la confiture sur tous le corps et que j’aurais laisser sécher.
Avec difficulté j’essais de me lever, je suis assis sur le bord du lit, le faite de penché ma tête, j’ai comme un poids dans le cerveau et j’ai la tête plus lourde que mon corps, j’ai comme une enclume dans le crâne.
Je me concentre, pour savoir ce que je fais dans cette chambre et surtout à qui appartient cette maison. Je suis à peine éclairer par la lumière, de la pièce d’à coter, qui est entre ouverte et d’où me vient le bruit de l’eau.
Mais j’ai beau réfléchir, je ne me souviens de rien, j’ai la tête qui tourne, lorsque je me mets debout, je me dirige avec peine vers cette lumière, je titube.
En poussant la porte, je m’aperçois que je marche dans l’eau, la pièce m’apparaît enfin, c’est une salle de bain, la baignoire remplis, de l’eau gerbe de celle-ci, je ferme les robinets, ce trouve un miroir dans cette pièce, lorsque j’aperçois mon visage, je vois l’horreur.
Ce dernier est couvert de sang, je regarde mon corps, encore couvert de mes vêtements, eux aussi sont couverts de cette substance.
Je vérifie que le sang ne soit pas le mien et pour ce faire, je retire tous mes vêtements, le sang ne provient pas de mon corps. Tout a coup je panique, mon cœur s’emballe, j’ai des sueurs froides, car si le sang n’est pas a moi, a qui appartient-il ?
A ce moment là, je me retrouve tout nu dans une maison qui me dit rien, alors je décide demander haute voix:
_ «  Il y a quelqu’un ? »    
Personne ne me répond, je me dirige vers la pièce, d’où je viens de me réveiller.
J
e n’aperçois presque rien, je cherche l’interrupteur pendant plusieurs secondes, je le trouve enfin et illumine la pièce.
Un spectacle affreux s’offre à moi, partout sur le lit du sang coaguler gît, j’ai le cœur qui bat à cent a l’heure, la tête qui tourne de plus en plus vite, le souffle court, par l’horreur qui met donner de voir, je réitère ma demande:
_ « Il y a quelqu’un ? »
Là j’entends un gémissement, qui provient de l’autre coter du lit, par terre, que je ne pouvais voir d’où j’étais. Je m’en approche lentement, je titube de gauche a droite, m’attendant au pire.
Sur les lieux, une femme nue git sur le sol, le visage tuméfié, remplit de sang, un couteau de boucher planter dans l'une de ses hanches.
Cette femme me vixe dans les yeux, encore allonger sur le sol, ne pensant même plus que je suis nu, j’ai l’impression dans son regard, qu’elle entrevoit le diable. De la terreur ce lit sur son visage, elle essais de me dire quelque chose, mais ne peu à peine dire un mot.
Moi je lui demande
_ « Qu’est ce qu’il vous est arrivé madame ? Qui êtes-vous ? Ou je me trouve, qu'est ce qu'il c'est passé ici? »
On se croirait dans un film, je suis entrain de faire un cauchemar et je vais me réveiller, ce n’est pas possible.
La femme me répond avec beaucoup de difficulté et la voix tremblotante
_ « Aidez-moi ! Appeler les secours ! »
Je cherche autour de moi le téléphone, réfléchit et lui demande
_ « Mais qui a bien pu vous faire ces horreurs ? »
La femme pleure et m'agressse verbalement:
_ « Vous êtes un fou ! Un fou sanguinaire ! Ou avez vous mit mon mari ? »
_ « Comment pourrais-je le savoir ? Je ne sait même pas ou je suis ! Aidez-moi ? Expliquez-moi ? »
Que je lui répond appeurer, éffrayer de ce que pourrait être sa réponse

_ « Vous êtes arrivé hier soir, vous êtes entré chez nous et vous nous avez agresser, vous avez tuer mon mari, vous m’avez taper, torturer, violer et vous avez voulu me tuer avec le couteau. »
Me répond cette femme toujours en pleure.
Je n’y crois pas, mais je me souviens de rien de la veille, a-t-elle raison, où a-t-elle tors. Pourquoi m’en serais-je prit à cette femme et a son mari ?
Moi qui ne suis pas méchant, je ne comprends pas du tous.
_ « Vous êtes sur que c’est moi, qui est fait tous ce que vous venez de dire ? »
_ « On oublis jamais la tête de son bourreau. Appelez les secours, je vais mourir. »
A peine la phrase finis, qu’elle pousse son dernier souffle, sa vie c’est éteinte, je secoue la dame pour qu’elle se réveille, pour qu’elle revienne à la vie, mais rien n’y fait.
Aussitôt je retourne dans la salle de bain, appeuré, je prends mon portable qui était dans mon jean et fait le quinze.
J’ai cette dernière phrase qui me martel la tête
_ « On oublis jamais la tête de son bourreau. »
Pendant une dizaine de fois, cette phrase tourne et retourne dans ma tête. Si c’était vrai, si je les avais vraiment tués, cela m’étonne, mais si c’était moi le tueur, si j’appelle les secours, ils vont repérer le numéro de mon portable et je suis couper dans mes pensées par une voix dans le téléphone
_ « Samu soixante seize, que puis-je faire pour vous ? »
je lui répond du tac o tac
_ « Excusez-moi, c’est une erreur. »
Je raccroche, pose mon portable sur le sol de la salle de bain, me regarde dans le miroir et me dit tout haut
_ « Comment ai-je put faire ça ? Comment ai-je pus tuer deux personnes ? Comme me l’a dit cette femme, ce n’est pas moi, je n’est pas pus faire ça. Comment j’ai pus boire comme cela, a ne plus me rappeler de rien ? »
Je me regarde encore une fois dans le miroir, dans mes yeux je vois le mal, le diable en personne, je vois le sang séché sur mon visage, pour la première fois de ma vie, je me fait peur moi-même. J’ouvre le robinet du lavabo et essais t’en bien que mal de me nettoyer le visage. Une fois débarbouiller, je me reconnais toujours pas, je me met à penser, comment j’ai put faire cela ? Je me met donc a la recherche de l’identité des personne chez qui je me trouve, en fouillant dans les poches de mon jean, je trouve un papier, je le déplies, mais ce dernier se trouve maculer de sang et donc illisible. Je retourne dans la chambre, me retrouve devant cette femme sans vie, allongée sur le sol, je reste stoïque devant cette femme, rien que d’imaginer que c’est peut-être moi qui l’ai tuer, m’écœure. Je décide d’aller voir les autres pièces de la maison, pour retrouver le soit disant mari.

                                       ACTE II
                      La surprise



                                           En sortant de la chambre, je me retrouve dans un couloir, je le prend, au fond de ce couloir, il y a une porte avec un écriteau WC dessus. Je passe devant, aussitôt après il y a un escalier descendant. Je suis donc a l’étage, j’allume la lumière des marches, les descends et vois des traces de sang sur le sol. Plus je m’approche du rez-de-chaussée, plus j’ai du mal a distingué, la lumière se faisant rare. Arriver en bas, je suis dans une pièce pratiquement sombre, le jour est en train de se lever. Il me semble que je suis dans un salon, je croit avoir aperçut un canapé, les lumières dans la rue, éclair légèrement la pièce. Voyant la porte d’entrer, j’en déduit que l’interrupteur ne doit pas être très loin. Je mis rend, trouve l'interrupteur, l’allume et je vois un corps allonger prés du canapé. Pensant au voisin qui pourrais le voir aussi par les fenêtres, j’éteins aussitôt la lumière. Ai-je vraiment vue ce que j’ai vue, un corps sans tête, je ne me repose même pas la question, je suis toujours tout nu dans un salon avec un corps, sûrement le corps du mari que j’aurais tuer, sa femme dans la chambre au dessus, morte elle aussi. Je décide de remonter dans la chambre, en attendant que le jour se lève et pour aller me laver le corps et par la même occasion, de mes péchés. En entrant dans la chambre, je détourne la tête pour ne pas revoir l’horreur une nouvelle fois. Je me faufile dans la salle de bain, la baignoire est remplit d’eau froide, je ne cherche même pas a comprendre et me jette dedans. J’essais toujours de comprendre pour qu’elle raison aurais-je put faire ça ? Je refile le court de ma soirée, j’étais au  boulot, comme tous les vendredi soir, l’apéro était de rigueur, je me souviens avoir pris cinq ou six whiskys, comme d’habitude quoi. Je me souviens qu’Eric est venu me voir, mais pourquoi ? Je me souviens plus de rien après, j’ai tourner comme une crêpe, faut dire que j’étais levé depuis cinq heures du matin et qu’on avait pas manger le midi, pour finir le chantier dans les temps, c’est dingue de ne plus ce rappeler de rien. Je décide de faire le vide dans ma tête et je ferme les yeux. D’un coup, un flash me parcourt l’esprit, je vois une femme nue, du sang partout, un homme de dos accroupit, du sang lui coule des partis génitaux, dans une pièce comme une cuisine. En voyant cela j’ouvre les yeux, je ne crois pas a ce que je viens de voir, je me lave, paniquer, sans refermer les yeux de peur de revoir les atrocités de cette nuit mortelle. Une fois propre physiquement, mais sûrement pas moralement, je m’essuies avec la serviette qui se trouvait là, un problème persiste quand même. Je ne peu rester nu, ou même en caleçon, alors je me dirige dans la chambre, ensuite vers la penderie, l’ouvre, prend un costard et retourne aussitôt dans la salle de bain m’habiller. Une fois fait, je vais ouvrir les volets de la chambre, le jour est lever, mais le soleil n’est pas encore là, dans la rue, un voisin qui sortait sa poubelle me voit et me dit
_ « Bonjours, belle journée n’est ce pas ? »
_« Oui, oui, très belle. »
Je lui répond en refermant la fenêtre, j’éteins la lumière de la chambre, maintenant que je vois avec celle du jour. Je regarde cette femme et pense au flash que j’avais eut, je me dit
_ «  Je suis vraiment un enfoiré, si j’ai vraiment fait ce que m’a dit cette pauvre femme. »
Mon mal de tête redouble d’intensité, je vais dans la salle de bain, regarde dans la pharmacie, prend un cachet contre les douleurs et redescend dans le salon, pour vérifier le carnage que j’aurais fait en bas, d’après ce que j’ai vue dans mon flash. Le salon est assez studieux, je regarde par-dessus le canapé, je vois le corps d’un homme nu, gisant sur le tapis, maculer de bleu, de sang et surtout sans tête. Je me demande ou peu ce trouver sa tête, puis d'un coup je suis prit de haut le cœur, je me retourne pour ne plus avoir ce massacre devant les yeux et me retrouve nez a nez avec une photo qui se trouvait sur un buffet. Je vis le visage de l’homme pour la première fois, ce visage ne met pas inconnus, c’est une photo de mon patron, avec la femme qui se trouve au première étage.

                                       ACTE III
                      La panique



                                       D’un coup, un détail me revient de la veille, le déléguer du personnel était venu m’annoncé, peu de temps avant qu’Eric n’arrive, me disant que la direction ne souhaiterais plus de mes services dans la société. Mais je ne crois pas, que j’aurais pu les tuer pour un truc pareil, j’ai des ressources, j’aurais pu me retourner, putain de mémoire, pourquoi je ne me souviens de rien ?
Je me retourne, regarde l'homme encore une fois, a ce moment la, je vomis sur le canapé en cuir et m’écroule au sol. J'essais de me reprendre, pour ce faire,je ferme les yeux, en prenant de grosses bouffées d'air,mais en ce faisant, je revois ces flashs insoutenables, qui se termine sur la cuisine une fois de plus. Qu’est ce que j’ai bien pu faire dans cette cuisine? Je me dirige vers la porte au fond du salon, l’ouvre et me retrouve dans la cuisine de mes flashs, mais plus gore. La pièce est tacheté de sang et pour achever l’horreur, la tête de mon patron est en charpie, enfermer dans un grand mixeur. Je n’en peu plus, j’ai mal a la tête, j’ai mal au cœur, ce dernier s’emballe, mes yeux vont sortir de leurs orbites, je sent les battement mon cœur, parvenir à tous les extrémités de mon corps et pour finir, je tombe dans les pomme dans cette cuisine. Pendant un certain temps je reste là, sur le sol, lorsque je me réveille, j’entend le téléphone de la maison sonner. Je me lève avec difficulté et retourne dans le salon, d’un coup le répondeur se met en marche
_ « Bonjours, vous êtes bien chez monsieur et madame Carpentier, nous ne somme pas la pour le moment, mais laisser un message après le bip sonore et nous vous rappellerons au plus vite. »
Le bip ce met en route et un homme commence à parler
_ « Allô ! Maman, c’est Eric, t’es réveiller, j’espère, n’oublie pas que je passe ce matin, je suis sur la route là, je vais arriver dans cinq minutes te prendre pour le petit déjeuner, après je t’emmène au boulot, j’imagine que papa est déjà partit à la boite, je le rejoindrait après. Tu dois sûrement encore te préparer, tu as raison, fait toi belle, j’aime quand ma mère est belle, a tous de suite. »
Et sa raccroche, je me dit
_ « Tous de suite. »
Je panique de plus belle, je remonte à l’étage, je récupère mes affaires plein de sang, mon portable, redescend au salon et cherche un sac ou je pourrais mettre mes affaires. Une fois fait, je me dirige vers la porte d’entrer, mais d’un coup cette dernière est enclencher de l’extérieure. Je fais demi-tour et me réfugie derrière le canapé. Dehors la personne essais plusieurs fois d’ouvrir la porte, frappe, sonne à la porte et d’un coup cette personne dit
_ « Maman tu es là ? T’es pas là ? »
Il refrappe et d’un coup plus rien. Je regarde vers la fenêtre, C'est bien le fils de mon patron, ce dernier

repart vers le portail, alors je me dirige vers la porte lorsqu’un téléphone sonne à l’étage, mais très lointain, il n’y a que moi qui peu l’entendre. Surpris, je sursaute et je fait tomber une lampe qui se trouve sur un petit guéridon près de l’entrer. Entendant cela, Eric revient à la charge et dit
_ « Il y a quelqu’un ? J’ai entendu du bruit. »
Apeurer, je monte la moitié des escaliers, en évitant de faire du bruit, tout en écoutant Eric qui continu à dire
_ « Maman? Il y a quelqu’un ? »
Il essais de regarder par la fenêtre, mais avec le rideau, il ne vois rien et continu
_ « Maman, t’es sur, tu n’est pas là ? J’appelle la police, ce n’est pas normale. »
Il arrête l’appelle qu’il passe sur le portable de sa mère et ce dirige vers sa voiture. Tremblant de peur par ce qu’il venait de dire, je retourne dans la chambre avec mon sac dans la main, me dirige vers la fenêtre et regarde si le passage est libre, si il n’y a personne dans la rue, pour pendre la poudre d’escampette.
Manque de chance, la rue de derrière est pleine de monde. Je me retourne alors et vois le malheur que j’ai fait à cette femme et me dit
_ « Je suis dans la merde, je ne me rappelle même pas de ce que j’ai fait hier soir, j’ai sûrement, non, j’ai tuer mon patron et sa femme. Eric va appeler les flics, je suis dans une merde grave. »
Et là en parlant d’Eric, un bref souvenir me revient, quand le déléguer du personnel est partis hier, Eric est venus me voir après et il y a eu un clash entre nous deux. Je me souvient que je lui ai dit que je lui ferait payer à lui et son père. Je regarde donc dans la poche de mon jean et sort le payer souiller de sang. Je me souvient maintenant de ce que c’est, c’est ma lettre de licenciement, mais pourquoi m’ont-il licencié ? Je n’avait rien fait, j’ai fait mon travaille, mais comme le chantier était finis et qu’il n’avait plus besoin de moi, il mon virer comme une merde, putain de C.N.E, j’aurais eu un C.D.I, ça ne se serait pas passer comme ça. Que faire maintenant ? Je ne sait vraiment pas quoi faire ? Me laisser attraper par la police et finir mes jours en prison ? Me tuer et en finir avec ce cauchemar ? Ou faire entrer son fils et le tuer à son tour pour que je puisse partir enfin ? Je ne sait pas, alors je redescend et regarde par la fenêtre, Eric parle avec le voisin qui m’a vue le matin par la fenêtre. Mal, je suis très, très, très mal, je ne peux pas tuer les deux, je n’arrive déjà pas a tuer une araignée, alors comment tuer deux personnes innocentes. Une petite voix dans ma tête me dit
_ « Et qu’est ce que tu crois que tu as fait hier soir, tu as tuer deux personnes et atrocement en plus. »
Je me dit
_ « Ouais, mais c’était pas moi. »
_ « C’était qui alors ? »
Me répond la voix
_ «  je te jure que ce n’était pas moi. » Putain, je deviens dingue, je me parle tous seul, je ne sait plus quoi faire, purée Eric revient et dit
_ « Qui est chez ma mère ? Je viens de voir le voisin et il a vu un homme a la fenêtre de la chambre de mes parents. Qui êtes-vous ? Je vous préviens, j’ai appeler la police, ils ne devraient plus tarder, ouvrez la porte, si vous ne voulez pas avoir de problème. »
Aussitôt dit, une patrouille de police arrive devant la maison.

                                      ACTE IV
                   Le mensonge



                                       Je suis cuit, comment m’en sortir ? Je ne voit pas vraiment, les deux policiers parlent avec Eric et le voisin. Puis tout a coup, ils se dirigent vers la maison, essaient d’ouvrir la porte et l’un d’eux dit
_ « Madame Carpentier, vous êtes là ? »
Je ne répond pas, terrifié parce que je risque, l’autre policier continu
_ « Il y a quelqu’un là dedans ? On va défoncer la porte. »
Les deux  fonctionnaire sortent leurs pistolets, je me dit que si ils défoncent la porte, qu’ils voient le corps comme cela dans la salle avec moi dans la pièce, ils me feront pas de cadeau. Alors je leurs dit a mon tour
_ « Ne faite pas ça ! Ou je les tuent tous les deux. »
Les policiers se ravisent et le fils dit
_ « Mais qui êtes vous ? Qu’est ce que vous voulez ? »
_ « Reculez messieurs, il est peut-être armé. »
Dit un policier en se reculant, s’adressant au fils et au voisin. Son collègue pendant ce temps là, retourne à leur voiture, sûrement pour appeler des renforts. Qu’est ce que je peux faire pour m’en tirer vivant, avec une prise d’otage maintenant, une prise d’otage avec des cadavres, ça ne tiendras pas la route cinq minutes. Quand ils vont me demander de parler avec les otages, je vais être dans la merde. Très énervé par la peur, je remonte dans la chambre, pour voir s’il y a un peu moins de monde dans la rue, et c’est le cas, plus personne, j’ouvre la fenêtre, je passe une jambe et là, on me tire dessus. L’un des deux policiers a fait le tour et m’a tirer une balle dans le genoux, son collègue lui demande
_ « Qu’est ce qui ce passe Stéphane ? »
_ « Il y en a un qui essayait de se barrer par derrière. »
Lui répond le tireur, a mon tour je dit
_ « Arrêtez de tirer, ou j’en abat un tous de suite. »
_ « Ne faite pas de connerie, calmez vous, on arrête de tirer, mais ne leurs faites aucun mal. »
Ne leurs faites aucun mal, ne leurs faites aucun mal, ils sont déjà morts, comment je pourrais leurs faire plus de mal ? L’un des policier me demande
_ « Vous êtes combien a l’intérieure ? »
Je lui répond spontanément
_ « On est cinq, en comptent les deux otages. »
Je suis blesser au genoux, du sang coule a flot de ma plaie, aussitôt la discutions terminée, je sort de mon sac mon tee-short et me fait un garrot pour arrêter l’hémorragie. Ensuite je descend et m’assois dans l’un des fauteuils qui est dans le salon, je regarde autour de moi et je tombe sur l’horloge. Je m’aperçoit qu’il n’est que sept heures quarante cinq et que la journée risque d’être très longue. D’un coup, mon téléphone portable qui est dans le sac se met à vibrer, je le prend, vérifie qui m’appelle, une fois fait je décroche
_ « Allô ! Ma chérie, Qu’est ce que tu veux ?…….
Pourquoi je ne suis pas rentrer cette nuit ? Heu, j’ai fait la fête avec des potes de la boite…….
Mais non, je ne parle pas tous bas, c’est ton portable qui déconne. La petite va bien ?…….
Oui et bien t’en mieux, embrasse la fort, très fort de ma part…….
Non, je ne rentrerait pas de bonheur ce soir…….
A ce soir mon amour. »
Ma femme, je l’ai complètement oublier, elle et ma petite fille. Je regarde par la fenêtre, il y a trois voitures de polices maintenant, le téléphone de la maison se met à sonner, cette fois ci, je décroche
_ « Allô !…….
Oui, c’est le preneur d’otage…….
Commissaire Vanier et alors ?…….
Oui, on est cinq…….
Qu’est ce qu’on veux, un million d’euros et une voiture très rapide, n’importe la quel……..
Oui, c’est tous pour le moment…….
Moi je vous dit qu’ils sont vivants…….
Pour le moment vous devez me croire sur parole. »
Et puis je raccroche, putain, c’est vraiment partis cette fois là, c’est fini, je ne m’en sortirait pas vivant, c’est sur. Je me dirige vers la chambre en haut,  prend des draps, recouvre le corps de la femme avec et j’en fait de même avec l’homme dans le salon. Si je doit passer une bonne partie de la journée dans cette maison, je ne vais pas m’imposer mon carnage, rien qu’en y pensant, je n’y croit pas encore. Une fois fait, j’allume le télévision, m’installe sur le fauteuil et met une chaine musicale, pour essayer de me changer les idées. Mais rien n’y fait, je n’arrive pas a m’enlever de l’idée que je suis un tueurs et que je vais peut-être mourir aujourd’hui. Alors au cas ou je quitterais cette terre prématurément, je décide d’expliquer dans une lettre ce qu’il sait passer pour moi durant cette nuit. Je commence à écrire……

                                Tous d’abord, je voudrais m’excusez au près d’Eric, le fils de mon patron, car oui, c’était mon patron, je voudrais m’excusez pour tous ce que je leurs ai fait, même si a vrai dire, je me souvient de rien, j’ai la mémoire qui me fait dé faux. Si le dénouement de cette histoire se termine mal, j’aimerait que vous dite à ma femme, que je l’aime, que je m’excuse pour ce qu’elle va endurer dans le futur, dire à ma fille qu’elle va me manquer, que j’aurais aimer la voir grandir, que je l’aime de tous mon cœur, que je serait toujours avec elle a ces coter. Je m’excuse très sincèrement auprès de tous ceux a qui je vais faire du mal,
adieu.


Je dépose la feuille sur le buffet du salon, prés de la photo de mon patron et de sa femme. A peine poser la feuille, que le téléphone sonne à nouveau, je décroche
_ « Oui……..
Comment? Qu’elle voiture, n’importe, du moment qu’elle va vite……..
On peux pas ce rendre, donnez moi ce que je demande et on verras après pour parler aux otages. »
Et je raccroche, je regarde par la fenêtre, il y a une quarantaine de policier devant la maison, je suppose qu’il quadrille le quartier et pour m’en sortir, c’est très mal engager. A cette instant, je me dit qu'il faut me rendre, d’arrêter cette mascarade, mais je ne peux toujours pas croire, que je leurs ai fait une chose pareil. Je me met à genoux, je fait mon signe de croix et je dit à haute voix, mais doucement
_ « Mon dieu, si j’ai vraiment fait ça, s’il vous plais, prenez moi la vie sur-le-champ, tous de suite, je suis un monstre….. »
Je ferme les yeux en faisant ma prière et reprend
_ « Un monstre sanguinaire….. »
Je suis couper dans ma demande par un autre flash, je me vois frapper la femme avec une barre de fer, lui arrache ses vêtements, l’allonge sur le lit, je la viol, tout en la frappant au visage, je vois un couteau plein de sang dans mes mains, je me vois arracher la tête du mari avec ce couteau, du sang gicle de partout et ce flash se termine comme les autres dans la cuisine. Je suis accroupit au sol, les mains joint comme pour prier, en pleure de ce que je venait de voir et de comprendre, je me dit
_ « Je demande l’aide de dieu et ce dernier m’envois vers les enfers, c’est que je doit le mériter. »
Tout a coup on frappe à la porte d’entrer, je me relève et me précipite vers cette dernière.

                                          ACTE V
                         La vérité



_ « C’est le commissaire Vanier. »
_ « Qu’est ce que vous voulez ? »
Je lui répond essouffler par le traque
_ « Je veux savoir pourquoi vous faite tous ça ? »
_ « Ca ne vous regarde pas, ce n’est pas vos oignons, qu’est ce que vous, vous voulez ? »
_ « Votre voiture sera là dans dix minutes, mais si vous voulez que je vous donne la voiture, il va falloir faire un petit geste. »
_ « Et vous voulez quoi comme petit geste ? »
_ « Laissez moi parler avec l’un des deux otages et je vous apporte la voiture après. »
_ « Impossible, je ne peut pas vous donner ce que vous voulez. »
_ « Et pourquoi ?Qu’est ce qu’il ce passe dans cette maison ? »
_ « Rien, mais je ne peux pas vous laissez parler avec eux. »
_ « Donne moi ton nom, j’aime savoir avec qui je parle. »
_ « Je ne suis pas fou, je ne vais pas vous donner mon nom ? »
_ « Tu veux que je te dise ? »
_ « Me dire quoi ? »
_ « Moi, je crois que vous n’êtes pas cinq, je pense que tu es tous seul, ai-je raison ? »
_ « Non, vous vous tromper, on est cinq et je ne veux plus vous parler, partez, partez ou je fais du mal a l’un des otages. »
Que je lui répond très agressif, lui enchaîne
_ « Ne t’énerve pas, ne fait pas quelque chose que tu pourrais regretter plus tard. »
Je me dit que c’est déjà fait et lui enchaine
_ « Non, c’est bon, je suis calme, ne vous inquiétez pas, je ne ferais pas de bêtise. »
Et le commissaire repart vers ses hommes, moi je m’assois dans le fauteuil et j’attend le dénouement de cette histoire, que je sait déjà tragique. Car la prochaine fois, il vas avoir la voiture et il vas vouloir parler à un des deux soit disant otages, mais je ne pourrais pas le satisfaire, alors il vas se douter de quelque chose et ils vont m’envoyez le G.I.G.N, le G.I.P.N ou le R.A.I.D et avec eux, pas de détail. Je regarde l’heure, il est neuf heure treize et je ne vois pas quel coup de Trafalgar, je pourrais leurs faire pour gagner du temps. J’ai toujours mal a la tête, mon genoux est détruit et en plus j’ai une envie d’aller aux toilettes, je ne sais pas comment faire ? Doit-je y aller ? Et eux pendant ce temps là, tentent quelque chose, je serait prit de court. D’un coup j’entend un bruit bizarre venir d’en haut, je me précipite avec difficulté a l’étage et regarde par la fenêtre en hurlant
_ « N’essayez pas d’entrer par derrière ou je tue la femme. »
Le commissaire dehors hurle à son tour
_ « Arrêtez les gars, arrêtez toute l’opération. »
Pris de panique, je regarde par toute les fenêtres de la maison, pour voir, s’ils ne tentent pas autres choses. Le téléphone de la maison sonne à nouveau, alors je redescend, décroche et dit très méchamment
_ « C’est quoi ce bordel ? Je vais en butez un . »
_ « Non, non, ne vous énervez pas, mais on est bien obliger d’essayez quelque chose, vous détenez des otages, qu’ils faut qu’on sauvent. »
_ « Non, mais je vais les tuer et me tuer après, si vous continuez. »
_ « Ne faite pas de bêtise Franck. »
Abasourdie par ce que je viens d’entendre, je lui répond
_ « Comment connaissez vous mon prénom ? »
_ « Mais je ne connais pas que ton prénom, Franck Hervalet, né le treize août mille neuf cent soixante quinze, qui habite au cent soixante avenue de la République. »
_ « Comment connaissez vous tous ça ? »
_ « Le fils de monsieur Carpentier a reconnus ta voiture, j’ai ton permis devant les yeux, le fils m’a dit que tu travaillait pour son père, qu’est ce que tu veux vraiment Franck ? Et arrête de me mener en bateau, je suis sur que tu es tous seul dans cette maison, rend toi, tu ne pourras pas t’en sortir. »
_ « Déjà, tu te la ferme, c’est encore moi le preneur d’otage, c’est moi qui pose les conditions….. »
je suis couper par le commissaire qui poursuit
_ « Tu as une famille aussi Franck, t’aimerait qu’on leurs rendent une petite visite ? »
_ « Laisse ma famille en dehors de çà, elles n’ont rien a voir avec çà. »
_ « Elles, ça veux dire que tu as une fille, on verra si tu ne vas pas te rendre, ou sinon, c’est ta fille et ta femme qui passera des heures de garde a vue à ta place. »
Et le commissaire raccroche, je suis comme un fou, je prend le parapluie qui se trouve prés du téléphone et je frappe partout et sur n’importe quoi. Le faite de voir ma femme et ma fille en garde a vue, m’électrise, il n’oserait pas garder une enfants de trois ans au commissariat. Et puis je me dit, que si ma femme dois l’apprendre, je préfère qu’elle l’apprenne de ma bouche, que celle d’un autre. Alors je prend mon portable, l’appelle et lui dit
_ « Allô, chérie…….
Ouais c’est Franck, ça va…….
Non, j’ai quelque chose a t’annoncer…….
Non, ce n’est pas une bonne nouvelle, au contraire, la petite est à l’école…….
Oui, et bien temps mieux…….
Je voulais te dire, que tu va avoir la visite de la police…….
Pourquoi ? Et bien, j’ai fait une grosse conneries, je m’en souvient même plus, mais j’ai le résultat devant les yeux…….
Je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps, j’ai tuer deux personnes…….
Non, je ne déconne pas…….
Si je te le dit, je te le jure sur la petite…….
Qui ? Mon patron et sa femme…….
Non, ne pleure pas, ça sert à rien, de toute façon c’est fait…….
Je ne m’en rappelle même plus comment j’ai fait…….
Arrête de pleure, s’il te plait chérie, il faut que tu soit forte, au moins pour la petite…….
Je ne croit pas que tu me reverras…….
Parce que je ne veux pas me rendre, je suis encore dans leurs maisons, il y a la police devant et il ne devrait plus tarder est arriver à la maison…….
Je sait, j’ai déconner sur ce coup la…….
Pourquoi j’ai fait ça ? Sûrement parce qu’il venait de me virer et que je me suis embrouiller avec son fils, une sorte de vengeance…….
Je sais, je sais que ce n’est pas une raison de tuer deux personnes, mais je devais être très bourrer et c’est pour cela que je me souvient de rien…….
Soit forte ma chérie, embrasse la petite très fort de ma part, dit lui que je l’aimerait toujours très fort…….
Je suis obliger de parler de moi au passer, je ne me rendrait jamais, je n’irais pas en prison, je préfère me tuer que d’aller en prison. »
Je pleure en entendant ma femme pleurer et je continue
_ « Ne leurs dit pas ce que je viens de te dire, ne leurs dit pas qu’ils sont déjà morts, sinon ils vont faire l’assaut et ils vont m’abattre comme un chien…….
Je te laisse ma chérie…….
Ne pleure plus, s’il te plait, dit moi que tu m’en veux pas…….
Dit moi le, ça m’aiderait…….
Je te remercie ma chérie, Je t’aime. »
Et je raccroche, je me retrouve sur le fauteuil en pleure, en pensant à ma femme et a ma fille que je ne reverraient peut-être plus jamais. Je reste affaler dans le fauteuil pendant plusieurs minutes quand le téléphone de la maison sonne tout a coup, j’attrape le combiné et répond
_ «  La voiture est devant la porte…. »
Je regarde par la fenêtre, effectivement elle est la.
_ « Ok !…….
 Non, je ne peux toujours pas vous passer les otages…….
Parce que j’en est décider ainsi…….
Allez y faite votre assaut si vous voulez, j’en est marre, qu’on n’en finisse. »

                                       ACTE VI
                         Le final



                                       Et je raccroche, regarde dehors le commissaire qui fait de grand signe a ses hommes, je pense que c’est pour bientôt, j’entends deux détonations, des carreaux du salon explosent, deux projectiles atterrissent  dans la pièce, de la fumer en ressort, je me précipite dans la cuisine et j’entends un homme dire
_ « On y va go, go, go, go. »
La porte de la maison est ouverte de force, j’entend des coups de feux, un homme dit
_ « Oh ! Mon dieu, un homme est là, décapiter, il l’a tué l’enfoiré. »
Un autre dit
_ « Pas de quartier, c’est un fou furieux. »
A ce moment là, la porte de la cuisine s’ouvre, je me retrouve face à face avec un de ces homme, habiller tout en noir, une cagoule sur le visage, qui regarde les taches de sang et dit
_ « Il est là ! Je les en joue. »
Moi qui ai les mains dans le dos, le regarde très sereinement et lui me demande très énergiquement
_ « Allonge toi au sol, les mains dans le dos. »
N’écoutant que moi, je ne bouge pas, il me redemande
_ « Magne toi, allonge toi au sol, les mains dans le dos, je vais tirer. »
Et d’un coup, je me met à bouger mes bras en direction de l’homme. Croyant sûrement que j’avait une arme, l’homme tire des coups de feux. Je vois ma vie défiler devant mes yeux, je me voit à l’age de deux ans, fêtant mon anniversaire avec ma mère, moi avec ma sœur a la piscine, moi avec ma femme a l’adolescence, ma femme accoucher de notre bébé, l’entrer de ma fille en maternelle et la dernière image, c’est cette cuisine ou je suis actuellement, mes yeux ce ferme, je ne peux plus les ouvrir, mais j’entend toujours ce qui ce passe dans la pièce et dans cette pièce il ce dit
_ « Je l’ai eu cette enfoiré, je l’ai toucher en plein dans le cœur. »
Un autre dit
_ « Bien fait pour ça gueule, qu’il crève comme un chien. »
La dernière chose que j’entend, est un coup de feu et puis plus rien.
C’était enfin la fin de mon cauchemar et de cette nuit mortelle.



                                                 
    FIN

      FIN

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