L'antre de Baxter

                 L'enfant de l'inceste                               

 
 




                                     Dans une ville de province, une petite famille bien sous tout rapport, vécurent une expérience affreuse, je vais donc vous la narrer.

Cette famille, appelons là les Carpentier dont le père, Henri, quarante cinq ans travaille en intérim en tant que chaudronnier. Il fait ces huit heures de boulot dans la journée, mais passe le reste de son temps à boire de la bière ou du vin, assis dans son fauteuil, les pieds sur la table de salon, regardant la télévision. La mère Sylvianne est mère au foyer, elle s’occupe de leur fille unique Estelle, qui a quinze ans et entre en quatrième. Sylvianne a du mal à s’occuper des études de sa fille, vu qu’elle-même avait arrêté l’école en court primaire, elle se sent un peu perdu et entre la maison a nettoyé, ranger le désordre de son mari dans ses délires de boissons. Jusqu'à faire des comas éthyliques, elle n’aurait pas le temps, donc elle laisse sa fille, faire ses devoirs elle-même sans pouvoir l’aider.

Sylvianne est habituer de voir son mari faire ses crises, elle ne s’inquiète même plus quand Henri tombe dans des comas pareils. Ils habitent dans un quartier ouvrier, au milieu d’une citée HLM, dans un piètre F 3. A la maison, le maître c’est Henri, personne et surtout nulle n’ose s’opposer à ce père et mari déranger et dangereux. Estelle avec l’ambiance morose qui règne au sein du foyer, n’arrive à rien dans ses études, cette enfant a déjà redoublé deux fois, sa sixième et sa cinquième. Elle n’a pas d’amis, dans la cour du collège personne ne lui parle et elle ne veut parler à personne. C’est une enfant assez renfermer, toujours sur elle-même, enfermer dans sa chambre, quand elle n’est pas a l’école. La mère ne voyait pas que sa fille était pas bien dans sa tête et le père s’enfoutais complètement. Plusieurs fois, la mère retrouvais des boites de cachés dans la chambre de sa fille, mais elle ne se doutait pas qu’elle avait des tendances suicidaires. Estelle n’est pas comme cela pour rien, depuis plusieurs année, son père, quand la nuit a c'est quartier, que la mère est couchée et qu’il a assez bu, il part dans la chambre d’Estelle. Celle-ci dort, son père s’enfouis sous le drap, pose ses mains sur le corps de sa fille unique, la réveillant bien sur. Elle ne dit rien, lui dans ses délires d’alcooliques, lui dit  

_ « Vas-y, laisse toi faire, tu es une petite salope, tu ne peux qu’aimer, comme ta mère, laisse toi faire. »

N’osant rien dire de peur de se faire frapper, par ce père qui est dans un état d’ébriété avancer. Estelle pleure, mais se laisse faire, une fois terminer, le père se rhabille et dit de nouveau a sa fille

_ « Tu vois, je ne t’es pas fait de mal, je ne pourrais jamais te faire du mal, tu es ma petite fille chérie. »

En lui disant cela, il lui tiens la tête, puis il continu

_ « De toute façon, si tu en parle à quelqu’un, je te tue, je t’égorge comme un  petit goret, c’est comprit, c’est comprit. »

Et il la secoue en lui disant cela. De peur, elle lui repond d’une petite voix frêle

_ « Oui, papa c’est comprit, je ne dirait rien as personne, c’est comprit. »

Elle était en état de choc, terrifier, elle tremble de tous ses membres, tandis que lui, content, fini de mettre son pantalon, puis sort de la chambre pour rejoindre sa femme dans la leur. Estelle est désemparer, désespérer, ne pouvant plus dormir et pleurant le reste de la nuit. Mais des nuits comme celle-ci, Estelle en as connu des dizaines et des dizaines.

Tout a commencer lorsqu’elle avait neuf ans, son père est venu bourrer dans sa chambre et l’a obliger à lui faire une fellation, Estelle c’est

Souvenu de ce que lui avait dit sa mère.

_ « Quand ton père est comme cela, fait ce qu’il te dit, sinon il va te mettre une voler. » 

Et puis pour l’enfant, il n’y avait pas de mal, c’était comme un jeu. Mais a douze ans, alors que son père, tentais d’aller plus loin dans ses jeux sexuels, Estelle refusa brutalement. Le père pas content de l’attitude de sa fille, lui met deux claques en pleine bouche et la pénètre de force. Estelle pour qui c’est la première fois hurle de douleur, Henri énervé, lui met une autre claque et lui dit

_ « Tu vas fermer ta putain de gueule, espèce de salope. »

Et continu son va et viens incessant. Pendant ce temps la, Sylvianne réveillée par le cri d’Estelle, se dirige vers sa chambre, puis dans la fente de la porte de la chambre, elle entrevoie Estelle sous son père, qui la violait. Sylvianne surprise, est prise d’une stupeur telle, qu’elle aurais pu se rebiffer contre Henri. Mais elle n’en fait rien et préfère rien dire, avant de partir, Henri regarde en direction de la porte et vois Sylvianne prostrée. Il lui fait un sourire, Sylvianne écœurer retourne dans sa chambre sans broncher. Henri fini son affaire, Estelle sert les dents, les yeux fermer, ne préférant pas voir le visage de son agresseur. Une foi terminer, sans dire un mot, Henri sort de la chambre, part prendre une douche pour se laver, Estelle se sent sale, attend que son père est terminer sa douche et le croise dans le couloire pour elle-même se laver mais le père lui dit en la croisant

_ « Ne croit pas te laver ce soir, tu attendra demain matin, tu va réveiller les voisins si tu prend une douche maintenant, tu va te coucher tout de suite ma chérie. »

Et il rentre dans sa chambre. Estelle retourne dans sa chambre sans dire un mot, mais en sanglot au fond elle pour toute sa vie. Henri s’allonge au coter de sa femme sans que les deux eut une explication. Tous les soirs ou le père rend visite à sa    

fille, les lendemains il s’excuse de son attitude

_ « Excuse-moi ma fille, ne dit pas un mot a personne, papa est malade, mais je vais me soigner, laisse-moi le temps. »

Mais le père peut avoir des remords le matin, mais il continua pendant des années a violé sa fille, des qu’il était bourrer, sans qu’Estelle n’ose dire un mot, laissant toute sa rancœur en elle.

Un jour Estelle tombe malade, elle vomit partout, elle maigris, elle se sent vraiment pas bien. Sa mère voyant cela, décide d’aller acheter un test de grossesse, elle a peur que sa fille soit enceinte de son père. Quelques jours plus tard, Sylvianne veut entrer dans la chambre de sa fille, où cette dernière se réfugie tout au long de la journée,  quand elle n’est pas au collège. Sylvianne frappe donc a la porte, Estelle lui dit

_ « Entre. »

Elle entre et lui dit en s’asseyant au bord du lit ou Estelle est allonger

_ « Tu sais ma petite, tu n’es vraiment pas bien en ce moment et je suis au courrant de ce que ton père te fait endurer. »

_ « Quoi ? Tu es au courrant ? Depuis combien de temps ? »

lui repond Estelle étonner, la mère repond a sa question

_ « un soir, il y a déjà deux, peut être trois ans, j’ai vu ton père et toi…… »

Et elle ne finis pas sa phrase, Estelle dégoûter, en pleure lui repond

_ « Tu es au courrant de tous depuis longtemps et tu n’as jamais bouger, rien fait, pour me défendre, tu me dégoûte, tu sait qu’il est fou, il me fait des trucs avec son pénis, tu ne peu même pas savoir. »

Puis elle éclate en sanglot, mais la mère lui rétorque

_ « Mais il m’a vu que je l’avait vue, puis j’ai peur de lui, il es fou, surtout quand il a bu comme cela, tu sait j’ai autant mal que toi quand il te fait toutes ces choses, mais Estelle j’ai peur que tu sois enceinte. »

_ « Non, pas ça, je ne peux pas être enceinte ? Ce n’est pas possible. »

_ « Tiens, je t’ai acheter un test de grossesse, vas-y, vas le faire, tu fait pipi dessus et si les deux barres bleues s’affichent, c’est positif, s’il y en a qu’une, c’est négatif. »

Estelle prend le test et part dans les toilettes. Y reste deux minutes, en ressort et dit à sa mère qui était rester dans la chambre en train de faire une prière pour qu’il soit négatif

_ « Vas-y, vas voir, je les laisser sur l’étagère, je ne peux pas le regarder. »

La mère part voir dans les toilettes, pendant qu’Estelle part s’asseoir dans le canapé la peur au ventre. Sylvianne revient les yeux imbiber de larmes et lui dit

_ « Tu y est ma fille, tu es enceinte de ton père, a moins que tu ai un petit copain et que tu fasse l’amour avec lui, je préférerait ça, dit moi que c’est ça. »

_ « J’ai déjà du mal a me trouver une amie, alors pour me trouver un copain, ce n’est pas vrai, je ne suis pas enceinte, c’est pas possible. »

La mère désemparer, s’approche de sa fille la prend dans ses bras et lui dit

_ « Je suis désoler ma chérie, je ne plaisante pas, tu es vraiment enceinte. »

Et elle se mettent à pleurées toutes les deux, puis Estelle s’approche de la fenêtre et l’ouvre en disant

_ « Je préfère me jeter par la fenêtre, que d’avoir un bébé de cette encule, putain, c’est mon père, j’attend un enfant de mon père. »

La mère se précipite de la fenêtre, la ferme et dit

_ « Non, ne fait pas ça, ma chérie, je te conduirait te faire avorter avant qu’il ne soit trop tard. »

_ « Mais maman, il faut faire quelque chose ? Ca ne peux plus continuer comme cela ? »

_ « Mais tu veux faire quoi ? »

_ « Allez voir la police, le faire arrêter et qu’il crève en prison. »

_ « Et on deviendrait quoi sans ton père ? C’est grâce à lui que l’on vie dans cet appartement, que l’on mange, que l’on vie. »

_ « Bien sur tous va bien pour toi, mais je doit le payer encore combien de temps ? »

_ « Parce que tu crois que je me sent bien ? Tu crois que je suis fière de moi ? Laissez son mari abusé sexuellement de sa propre fille, je me sent être une moins que rien ? Mais je ne peux rien faire, j’ai peur de lui. »

_ « Quitte le, si tu as peur de lui, viens on s’en vas, on refais notre vie ailleurs, j’irais travailler, on sera bien. »

_ « Oui, puis il nous retrouve et il nous tues, Je l’ai déjà vue une fois rechercher un homme qu’il l’avait tabasser, un jour quand il était en virer, complètement ivre. Et bien il a mis deux ans, mais quand il l’a retrouver, il l’a presque tuer par les coups. Ton père est fou, lorsqu’il veux quelque chose. »

A ce moment là, Henri rentre du boulot, Estelle l’entend arriver et part vite dans sa chambre. La mère de son coter part dans sa cuisine, mais sur la table de salon restait le test de grossesse, sur lequel Henri met la main. Voyant cela Henri cri

_ « Sylvianne ! »

La mère arrive toutes décontracter, mais des qu’elle vois le test dans les mains de son mari, elle changea de visage, elle est déconfite, elle se sentait pas bien et il lui dit

_ « C’est quoi ça ? Tu peux m’expliquer ? »

La mère paniquer lui repond

_ « Et bien tu vois mon chéri, je suis enceinte, tu vas avoir un autre enfant. »

_ « Mais tu te fou de ma gueule, on ne t’as pas cousu les trompes après la naissance de la petite ? »

La mère tremble, des gouttes de sueurs lui perles sur le front, avec la peur au ventre, elle ne lui repond pas. Henri dans une colère monstre, réitère sa demande sur un ton encore plus féroce.

_ « A qui est cette chose ? »

La mère se met à pleurer, Estelle dans sa chambre entend tous ce qu’il se dit et commence à avoir très peur. Elle se répète dans sa tête

_ « Maman ne lui dit pas, s’il te plait, ne lui dit pas, je t’en prit. »

Mais la mère avec la peur dit à Henri

_ « C’est à Estelle. »

Et elle s’assois dans le fauteuil, Estelle est effondrer  de son coter, Henri réfléchi et dit d’un ton plus calme

_ «  C’est, c’est à Estelle, mais comment cela a put arriver ? »

La mère se met dans une colère folle et lui repond méchamment

_ « Tu veux que je te fasse un dessin, c’est bien toi qui va pratiquement toutes les nuits dans le lit de ta fille pour…. Espèce de pervers, malade mental. »

Le père se rapproche de Sylvianne et lui déclenche une claque au visage et dit

_ « Et bien voilà, comme cela le petit secret en au grand jour. Mais ma vie, je veux la vivre comme bon me semble, c’est ma fille et j’en fait ce que je veux. Alors toi, tu vas fermer ta gueule, si tu as le malheur de me reparler comme cela, je te jure que je te tue et on retrouveras jamais ton cadavre. »

Et il lui remet une autre claque tellement fort que Sylvianne se cogne en tombant sur la table de salon. Elle se cogne si fort, qu’elle s’évanouie sur le sol du salon. Dans sa chambre Estelle est recroqueviller dans un coin de la pièce en pleure. Henri ne se préoccupant nullement de l’état de santé de sa femme, part dans la chambre de sa fille. Il ouvre la porte et vois Estelle assis par terre, en pleure et il lui dit

_ « Estelle, c’est vrai ce que viens de me dire ta mère, c’est à toi ce truc. »

Et il pointe le test devant les yeux d’Estelle. Elle hoche seulement la tête pour dire oui. Le père lui demande

_ « Mais pourquoi pleures-tu ? Tu devrais être heureuse, tu attends un enfant, puis de pas n’importe qui, de ton père, toutes les filles rêverait d’avoir un enfant de leurs pères. »

_ « Et bien sans te vexer, moi j’avait d’autre rêve, que d’avoir un enfant d’un alcoolique, d’un fou, d’un malade. »

_ « Quoi ? Mais je ne suis pas malade. »

_ « Ah non ! Explique moi comment un père peux coucher avec sa fille sans être malade ? »

_ « Mais je t’apprend le sexe ma chérie, comme ça avec les garçons tu seras quoi faire. »

_ « Tu m’as écœurer des garçons a vie. »

Un silence s’installe et le père réplique

_ « C’est fini l’école pour toi, les sortis finis, tu resteras vingt quatre heures sur vingt quatre ici. Je ne veux pas que les voisins apprennent ça, qu’une fille d’à peine quinze ans est enceinte. »

_ « Je pourrais avorter. »

_ « Non, mais tu es folle et je passerais pour quoi devant le médecin ? Sa fille de quinze ans engrosser, hein, je passerais pourquoi ? Tu accoucheras ici et le petit bâtard apprendra à nager des son arriver, un point c’est tous. »

Puis il sort de la chambre de sa fille. Estelle est effondrer, elle s’allonge sur son lit et pleure de plus belle. Mais elle se dit que sa mère l’emmènera avorter en temps voulut. Le père retourne voir Sylvianne, le réveille et lui dit

_ « C’est vue avec ta fille, elle porte l’enfant, accouche ici et on le tueras des qu’il naîtras. Et je te conseil de ne pas la faire avorter dans mon dos, sinon tu es prévenu, je te tue. »

Puis il part dans sa chambre, Sylvianne se relève hagard, Henri reviens presque aussitôt et dit à Sylvianne

_ « Je vais quitter mon boulot, pour rester ici pour vous surveiller, comme cela, je serais sur qu’il n’y est pas d’entourloupe. »

Les semaines passent, ainsi que les grandes vacances, la date pour l’avortement était passer depuis longtemps, ce qui avais mit un coup au moral d’Estelle. Tout ce passe comme Henri le prévoyait, il invente moult excuse pour le collège, il touche le chômage, boit toujours autant, mais sachant sa fille enceinte, lui passe l’envie d’inceste. Estelle quand a elle reste enfermer dans sa chambre toutes les journées, sa mère lui ramène ses repas, mais elle ne les touche pratiquement pas. Elle et sa mère ne se parle presque plus de peur que l’autre ne les écoutent. Elle se met des coups dans le ventre pour arrêter toute cette mascarade, plusieurs fois elle eut l’envie de ce jeter par la fenêtre, mais Henri les avait viser, clouer, coller, impossible de les ouvrir. Puis pour Estelle, ne pas savoir quel sexe est l’enfant, quel mois de grossesse cela fait, la rend encore plus folle. De temps en temps, elle parle a l’enfant, entre deux séances ou elle veux le tuer, il y a des moments ou elle veux le garder, alors elle lui explique tous ce que leur père lui avait fait endurer, pour que quand il naîtras, s’il naît un jour, qu’il déteste son père. Cela fait six mois qu’Estelle est enfermer dans sa chambre, alors qu’elle allait se coucher, Sylvianne entre dans sa chambre et lui dit

_ « Estelle. »

_ « Quoi, maman ? »

_ « Ton père c’est endormi, il est bourrer, profite s’en, prend des affaires, tu part. »

_ « Je part, mais ou ? »

_ « Tu vas aller à l’hôpital, tu n’es pas bien ici, tu vas les voir et tu leurs raconte tous, il faut que cela s’arrête. »

_ « Bien. »

Estelle prend deux, trois affaires, ce dirige vers la porte de l’appartement, regarde sa mère et lui dit

_ « Merci, je t’aime et ne t’en prend pas a toi, je sais que tu ne pouvais pas faire grand chose avec ce fou, merci encore maman. »

Elle fait un bisou a sa mère et part alors que sa mère lui dit

_ « Dépêche toi, vas vite a l’hôpital, vas le plus vite possible, mais fait attention, si ton père se réveille, il serait capable d’aller à ta poursuite et te faire du mal. »

_ « Ok, maman ! »

Elle part en se mettant à courir. Sylvianne la regarde partir et se dit

_ « Bonne chance mon bébé. »

Puis part ce coucher comme si de rien était. Dehors Estelle court dans les rues, l’hôpital est à un petit kilomètre, mais elle a tellement peur que son père se soit réveiller et qu’il l’a trouve. Elle entend dans sa tête la phrase de son père qui la terrorisait

_ « De toute façon, si tu dit quelque chose a quelqu’un, je te tue, je t’égorge comme un goret, c’est comprit, c’est comprit. »

Cette phrase se répète dans sa tête, la peur la gagne de plus en plus en se rapprochant de l’hôpital, elle court alors de plus vite. A un carrefour, elle traverse s’en regarder la route, elle entend des crissements de pneus, elle se retourne et se fait renverser par une automobiliste. Le corps d’Estelle est éjecter à dix mètres de l’accident, la conductrice sort de son véhicule paniquer en disant

_ « C’est elle, elle c’est jeter sur ma voiture, je ne l’est même pas vue venir. »

Un homme qui est sur le trottoir, témoin de la scène, appelle les secours avec son téléphone portable. En quelque seconde une troupe d’une vingtaine de personnes sont autour d’Estelle, qui est toujours sur le sol évanoui. En quelques minutes les secours sont là, ils lui mettent une minerve et ensuite l’installe dans une coquille. La font monté dans l’ambulance et la ramène à l’hôpital. D’après le médecin du SAMU, son état est juger sérieux, dans l’ambulance un de cela constate qu’Estelle est enceinte, il ne l’avait pas remarquer jusqu'à là, tellement son ventre n’était pas prononcer pour une grossesse de plus de six mois. Les hommes du SAMU arrivé a l’hôpital l’a conduit directement en sale d’opération. Les médecins ayant trouvés les papiers d’identités sur la jeune demoiselle, ainsi qu’un agenda avec le numéro de téléphone de sa maman. Un médecin prend l’initiative d’appeler lui-même les parents, il les préviens de l’accident et de ce présenter au plus vite a l’hôpital. Sylvianne qui viens de raccrocher au médecin, réveille Henri et lui dit

_ « Henri, réveille toi, la petite a eut un accident. »

Henri qui a bu pas mal ce soir là, lui repond avec difficulté

_ « Quoi ? Mais qu’est ce que tu me raconte ? La petite est dans sa chambre, elle fait dodo. »

_ « Non-Henri, elle n’est pas dans sa chambre, la porte était ouverte, elle a du partir, l’hôpital viens de m’appeler, elle a eut un accident, viens faut y aller. »

Henri se lève aussitôt, par voir dans la chambre d’Estelle, personne, alors il reviens vers Sylvianne et il lui dit

_ « Mais c’est vrai. »

_ « Et bien oui, c’est vrai, il faut y aller tous de suite. »

Henri du coup décuve aussi sec, il prend son manteau et dit à Sylvianne

_ « Aller on y va, j’espère qu’elle ne va rien dire ? »

Sylvianne fait une de ses têtes, au fond elle, elle espère qu’elle a pu parler. Pendant ce temps là, les médecins s’affairent sur Estelle, elle a la rate et le fois d’éclate, et plusieurs traumatismes crâniens. Ce qui explique le malaise qui n’est autre qu’un coma, dans le quel elle ne ressortiras pas. Elle meurt dans les mains des médecins. Une fois arriver à l’hôpital, la mère paniquer et le père faisant semblant, apprennent d’un médecin que leur fille est morte sur la table d’opération. Le mère tombe en sanglot, elle s’effondre sur le sol, Henri fait mine d’être émus, il relève Sylvianne et la prend dans ses bras. Le père est en fait soulager de ce qu’il viens d’entendre, Sylvianne s’en veux énormément, parce que c’est elle qui avait trouver l’idée de s’enfuir, pour Sylvianne, c’est elle qui a tuer sa fille. Mais le médecin en fini en leurs disant, alors que la mère est en sanglot et que le père joue la comédie

_ « Mais avant de partir, votre fille nous a laisser le temps de sauver votre petit-fils. »

La mère pleure encore plus et le père est surpris, mais surtout écœurer. Le bébé est né prématuré, il resta plusieurs semaines, plusieurs mois a l’hôpital. La mère ne parle plus, sûrement un blocage du au traumatisme de la mort de sa fille, mais quelques jours après l’accident, Sylvianne se remémorait moments passer avec sa fille, lorsqu’elle trouve cacher dans la chambre de sa fille, une lettre ou elle expliquait que si elle gardait l’enfant, elle voulait l’appeler Steve, le père lui pendant ce temps là, explique a la police, pourquoi leur fille avait fait un sac avec des affaires

_ « Ca faisait plusieurs jours quel menacer de partir, sûrement avec le père de l’enfant…… Non, on ne porte pas plainte contre la propriétaire du véhicule, c’était un accident, sa arrive tellement souvent. »

Tous se passa bien pour Henri, Sylvianne avait fait de belles funérailles pour sa fille, Estelle qui disait ne pas avoir d’amis a l’école, beaucoup sont venues lui rendre un dernier hommage, a l’église, comme au cimetière. Sylvianne part tous les jours voir sont petit-fils, comme-ci de rien était, Steve, car elle l’appela comme les volontés de sa fille, Steve eut beaucoup d’examen, mais il pu sortir après huit mois d’hôpital. Les autorités ne trouvant pas le papa de l’enfant, décidèrent de le laisser vivre chez les parents d’Estelle et sans le savoir chez son père géniteur. Henri n’adresse pas la parole a Sylvianne pendant de longues années, il ne voulait pas de l’enfant dans sa maison. Sylvianne l’élève comme son propre fils, elle lui donne tout l’amour qu’elle peux lui apporter et avec les années, elle se remit à parler. L’atmosphère dans le foyer était délétère, mais Sylvianne et Steve avait une complicité sans égal, Henri lui reprit le travaille et continue à boire toujours autant. Les années passent et alors que Steve a neuf ans, il demande à sa grand-mère

_ « Mamie, tu m’a expliquer pour ma maman, qu’elle est morte à ma naissance, mais mon papa, c’est qui ? »

_ « Ton papa, tu ne le connaîtra jamais, nous même, on ne le connaît pas. »

_ « Mais pourquoi mon papa n’est pas avec moi ? Déjà que je n’est pas ma maman, elle est au ciel et en plus j’ai pas mon papa, il ne m’aime pas ou quoi? Moi je l’aime, hein. »  

En disant cela Steve pleure, mais que faire pour Sylvianne dans une telle situation, rien, a par prendre Steve dans ses bras et le cajolé. Un jour, alors qu’Henri est au travaille, Sylvianne reçoit un coup de téléphone du collège de Steve, lui expliquant que Steve sera expulser du collège pendant une semaine, pour avoir casser le nez d’un de ses camarades. Le soir quand Steve rentre de l’école, Sylvianne lui demande

_ « Que sait il passer ? Steve, tu peux m’expliquer ? je ne te gronderais pas. »

_ « Rien grand-mère, c’est un gars au collège, il m’a traiter de bâtard, il a aussi traiter ma mère de salope, car elle a eut un enfant a quinze ans, alors je lui est éclater le nez. »

_ « Et qui sait qui t’a dit ça ? »

_ « Marc, Marc Dupont. »

_ « J’irais dire deux mots aux parents de ce petit démon, ne t’inquiète pas, tu a bien fait, ne te laisse jamais marcher sur les pieds. »

_ « Je sait grand-mère, ne t’inquiète pas pour moi. »

_ « Pas un mot a ton grand-père, tu le connais, il serait capable de te taper. »

Steve n’a que treize ans et il a déjà une force assez phénoménale pour son age, le lendemain midi, alors que Steve est sortie avec des copains, Henri interceptionne le courrier du collège, qui explique toute l’histoire, Henri demande à Sylvianne

_ « Tu vois ton petit bâtard, ce soir quand je vais rentrer du boulot, il va falloir que j’aille une discutions avec lui. »

_ « Mais Henri, c’est ton fils, ne l’oubli surtout pas. »

_ « Et bien, si c’est mon fils, comme tu me le fait rappeler, je vais lui montrer ce que sait l’autorité d’un père. »

_ « Tu le touche et je te le ferait payer. »

_ « Toi, tu va apprendre à fermer ta gueule, je vais te déchirer la tête, si tu t’y oppose, alors je serrais toi, je me cacherais dans ta chambre ce soir. Je préférait quand tu ne parlait pas, tu disait moins de conneries. »

La journée passe, Henri rentre du travaille, mais il s’étonne que Steve n’est pas encore rentrer, les heures passe, Henri attend patiemment, mais les heures tournent, alors que sept heures sonne dans l’église de la ville et que Henri en est déjà a sa cinquième bières. Steve fait son arriver dans la maison, en se dotant d’une excuse bidon. Henri attend que Steve finisse son histoire et à peine fini, il lui dit en lui tendant la lettre du collège

_ « C’est quoi ça ? »

 _ « Oui, mais c’est lui, il avait traiter ma mère et mon père, il disait que j’était un bâtard et que ma mère c’était une salope. Alors je lui est cassez son nez. »

A peine d’explication était commencer, que Sylvianne part se réfugier dans sa chambre, Henri continu

_ « Je vais t’apprendre qu’il ne faut pas m’énerver, et la tu m’a énerver avec cette lettre et en plus tu me fais attendre. Ca tu va me le payer. »

Alors Henri se lève et alors qu’il allait mettre une claque a Steve, ce dernier lui dit

_ « Toi, tu ne me touche pas, tu n’es pas mon père, tu n’as pas a me taper. »

_ « Ha bon ! Et tu vis chez qui depuis que tu es tout petit ? »

En disant cela, il retire sa ceinture et continu

_ « Tu n’as peut-être pas de père, mais je vais jouer son rôle. »

Il lui envoi trois coups de ceinture dans le dos et le visage. Steve pleure, il se relève et il dit a Henri qui se sent soulager

_ « Profite bien le temps que tu le peut encore, tu n’auras pas cette force éternellement et ce jour là, regarde bien derrière toi, que je n’y soit pas ou tu risquerait de le regretter. »

_ « Quoi ? Tu me menace sous mon toit, mais je vais te tuer. »

Henri s’approche de Steve et il le frappe à coup de poing. Sylvianne dans sa chambre, entendant cela, elle se précipite dans la pièce et sépare Steve et Henri. Ce dernier puiser s’allonge dans le canapé, tandis que Steve est allonger au sol. Sylvianne le prend et l’emmène dans sa chambre, elle l’allonge dans son lit et elle lui dit

_ « Ca va mon petit, il ne t’a pas trop fait mal ? »

_ « Non, c’est bon, mais je te le jure, un jour je vais le tuer. »

_ « Couche toi, repose toi un petit peu, je t’amènerait ton repas, mais je t’avais prévenu de ne pas l’énerver, c’est pas grave couche toi. »

Et ce qui devait arriver, arriva. Ce jour là, Steve a quinze ans, c’est un vrai petit homme, il mesure un mètre soixante quinze et pèse soixante cinq kilos, un monstre de muscle. C’est samedi, Henri fini sont repas avec un petit coup de calvas, Sylvianne fait la vaisselle, quand a lui, Steve range sa chambre qui est vraiment en bordel. Tout en rangeant, il retrouve sous le linot de sa chambre, un cahier, ou est marquer dessus, Confession d’une fille blessée. Intriguer Steve s’arrête de ranger, s’allonge dans son lit et commence à le feuilleter. Ce cahier appartenait à sa mère, du temps de son vivant, ou elle explique dans tous les détails, ce que son père lui faisait subir. Comment c’est arriver ? Combien de fois ? Et surtout comment elle est tombée enceinte ? Chaque soir ou elle ne pouvait pas s’endormir après les venues de son père, elle écrivait dans ce cahier, les atrocité proférer sur sa personne.

En lisant cela, Steve n’y croit pas, il sort de sa chambre et demande a Henri

_ « Ou elle est Mamie ? »

_ « Elle est parti faire des courses. »

_ « Dit moi, c’est vrai tous ce qui est marquer dans ce cahier ? »

Henri bourrer, lève les yeux dans sa direction, regarde le cahier et lui dit

_ « Pourquoi ? C’est quoi ce cahier ? »

_ « C’est ma mère qui l’a écrit, je les trouver dans ma chambre, c’est vrai ce qui est marquer, c’est toi mon père ? »

_ « Et qu’est ce que sa peut te faire ? »

_ « Dis moi si c’est vrai, que tu as violer ta propre fille ? Espèce d’enculer. »

_ « Je ne permet pas un petit connard de ton espèce de me traiter comme ça…….. »

Henri se couper la parole par Steve qui lui demande très méchamment

_ « Je t’est poser une question, tu as vraiment coucher avec ta fille ? »

Henri lui repond ironiquement

_ « Oui, oui j’ai coucher avec ma fille, si ça t’intéresse. »

_ « Espèce de fils de pute, salaud, enflure. »

Lui dit Steve, Henri continu a énerver l’adolescent en lui disant

_ « Et tu veux que je te dise, c’est peut être pas marquer dans ton bouquin, mais plusieurs fois elle me suppliait d’arrêter. Mais moi, ça m’existait encore plus. »

Pour Steve s’en est de trop, il ne laissa aucune chance a Henri de se défendre, il lui saute dessus, il le fait tomber au sol et le frappe au coup de poing pendant plusieurs minutes. Dans l’état d’ébriété qu’est Henri, il ne cherche même pas a se défendre, il encaisse les coups les uns après les autres. D’un coup, Steve s’arrête, Henri la tête en sang, mais encore conscient est allonger au sol et il regarde Steve qui lui dit

_ « Je te l’avait dit de te méfier de moi. »

Dans son dernier souffle de vie Henri lui repond

_ « Non, c’est ta mère qui l’avait dans le cul. »

Sur ces paroles Steve achève Henri d’un coup de talon de chaussure en plein visage, Henri meurt, Steve remplit de sang pleure, paniquer, il viens de tuer un homme et a quinze ans, il ne veux pas aller en prison. Alors il part de l’appartement a toute vitesse, s’en oublier de prendre le cahier confessionnel de sa mère, il s’en va très loin, jusqu’au moment ou il n’en peux plus de courir. Alors il grimpe sur un pont ou passe l’autoroute en dessous, prend  le cahier de sa mère et écrit tous ce qu’il viens de se passer avec Henri dans l’appartement. Il pose le cahier au sol, monte sur la rambarde, il vois au loin un camion arriver, alors il se dit

_ « Maman, je ne te connaît pas, mais je vais bientôt te rejoindre. »

Au moment de sauter, il dit

_ « je t’es venger Estelle. »

Et ce fut la fin tragique d’Estelle et de son fils Steve.

 

Si je connaît toute l’histoire dans les moindres détails, c’est parce que j’ai entre les mains le cahier ou Estelle écrivais son calvaire et Steve sa fin tragique. Et si j’ai ce cahier, c’est parce que je suis Sylvianne, la mère et grand-mère des deux défunts. A cause de mon silence, j’ai tout perdu, je dit ça a tous parents qui se respecte, il ne faut jamais couvrir un inceste, cela peut aller très loin.

 

                                          FIN

 
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