L'antre de Baxter

                       Hunting ground   

 
 

                         (Terrain de chasse)    


                                       A l’aube du 22e siècle, dans un pays occidental ravager par la corruption, les coups d’état successif, l’anarchie règne dans les grandes villes, les gangs, bandes ou autres associations de malfaiteurs ont prit le pouvoir, sans que les forces de l’ordre ou même l’armée puissent arrêter le massacre. Eux-même étant devenue indépendant et se régissant à leurs propres lois. Le peu d’autorité politique restante qui dirige encore le pays, décident d’emmurer toutes les grandes villes, afin de laisser tous ces gangs se disputer entre eux la suprématie de celles-ci. Personne ne peut y entrer, personne ne peut en sortir, avec l’aide d’une force de l’ONU sur place, qui surveille ces murs et ont ordre de tirer sur tout belligérant qui tenterait de passer de l’autre coter. La population de toutes ces grandes villes ont fuit de les premières confrontations entre gang rival et voyant que la police n’y bougeait pas le petit doigt, ils décidèrent de quitter les confrontations en partant se réfugier dans les campagnes. La vie reprenait sont court dans celle-ci et l’ordre y était maintenu par l’armée de L’ONU, Par contre dans les citée du mal et du vice, nom donnée par les fuyard eux-même de leurs villes, l’enfer y avait trouver congé, Lucifer y était comme a la maison, une vision de désolation tombait sur ces grandes citées, qui était si belle avant l’arriver des ténèbres dans ses rues. Malgré toutes ces forces de l’ONU sur place, les crimes et délits commençaient à se perpétrer de plus en plus dans les campagnes. Les autorités compétentes décidèrent un jour d’appliquer la tolérance zéro, tous contrevenant désobéissant aux lois, n’importe quel fut-elle, sera punit au double ou au triple, dans la plupart des cas, la mort était expliciter. Un jour un homme se réveille dans une pièce sombre, il n’y distingue presque rien. Quand tout a coup, il entend une voix lui dire _ « Bienvenue jack, bien dormis ? » L’homme regarde autour de lui et dit
_ « Qui est-la? C’est quoi ce truc ? Je suis sensé être mort, qu’est ce que je fou là ? »
_ « Surprise, et non, tu n’es pas mort, Tu n’as pas eut ce plaisir. » _ « Qui êtes vous ? »
_ « Mon nom te ne dira pas grand chose, Mais ton salut passe par moi. »
_ « Et qu’est ce que ça veut dire ? Pourquoi je ne suis pas mort, ont ma bien exécuter, j’y étais, ils m’ont tirer à huit dessus, je devrais être mort. »
_ « Et non, c’est la que tu te trompe, aujourd’hui tu m’appartiens, tu es ma chose, je suis ton maître, tu dois m’écouter, tu dois, tu va m’écouter, mon petit chien de guerre. » _ « Mais vous vous prenez pour qui ? Qui êtes vous ? Qu’est ce que vous me voulez ? »
_ « Je vais tous t’expliquer, en faite tout le pays pense que tu as été exécuter, pour le meurtre affreux et sanglant, que tu as commis. Mais il en n'est rien, je t’es acheter au gouvernement, pour une somme modique, car maintenant tu va être mon pion, j’ai besoin de toi. »
_ « Mais qui êtes vous ? Tournez pas autour du pot, dite-le moi ? »
_ « Je suis producteur, producteur a la télévision, et je viens d’inventer un nouveau jeu de télé réalité et tu en seras le héros. »
_ « Pourquoi moi ? Pourquoi un criminel, un tueur, j’ai rien du héros. »
_ «Oui, mais pour tout le monde, tu es déjà mort, ta vie m’importe peu, tu peux crever, je m’en fou, plu tard tu crèveras, mieux se sera pour moi. »
_ « Et ça consiste en quoi ce jeu télé ? »
_ « Tu connais les citées du mal ? »
_ « Oui, comme tout le monde et alors ? »
_ « Et bien, j’ai conçu le jeu de télé réalité, le plus violent et le plus sanglant de toute l’audiovisuel et tu es le héros, de mon premier opus. Ce n’est pas génial ça ? »
_ « Non, je ne comprends pas, qu’est ce que j’ai avoir avec les citées du mal, je n’y est jamais mit les pieds. »
_ « Tu seras bien obliger d’y pénétrer pourtant. »
_ « A bon, c’est peut-être vous qui allez mis forcer ? »
_ « Tout à fait. »
La lumière s’allume et la voix dit
_ « Allume la télé et tu comprendras. »
Jack s’approche du téléviseur, appuis sur le bouton et la télé s’allume. Il y découvre sa femme et sa fille, pieds et poings liées, un bandeaux sur la bouche et les yeux, allonger sur un lit. Alors Jack dit à la voix
_ « C’est quoi ce bordel ? Qu’est ce que vous avez fait à ma fille et a ma femme ? Ou sont-elles ? De quel droit ose tu t’en prendre à ma famille, espèce de bâtard ? »
_ « Mais Jack, je les ai acheter avec toi, elles m’appartiennent aussi, et elles sont dans mon scénario, se sont les victimes. »
Et la voix ricane.
_ « Ou sont-elles salopard ? »
_ « Reste polis Jack, crois-tu que c’est comme cela qu’un chien de guerre parle à son maître, tu va me montrer un petit peu plus de respect, sinon j’arrête tous, tous de suite, toi tu retourne à ta mort promise et ta femme et ta fille, elles vont mourir. Tu n’as pas le choix Jack, tu m’obéis ou elles meurent, c’est toi qui choisi, Jack ? »
_ « Elles sont ou, s’il vous plait ? »
_ « Ah ! C’est tous de suite mieux, quand tu parle gentillement, elles sont pas très loin d’ici, tu te trouve à l’intérieure d’une citée du mal, toi tu es ici, ta famille a l’autre bout de la ville, il te faudra traverser toute la ville pour les rejoindre, mais tu sais ce qu’il si passe dans ces citées, il faudra que tu affronte pas mal de gang pour retrouver ta femme et ta fille. »
_ « Je ne vois pas en quoi c’est un jeu de télé réalité. »
_ « Détrompe-toi, j’ai fait poster des cameras à tout les coin de rues de la ville et dans des endroits que tu n’imaginerais même pas. »
_ « Comment avez vous réussi à mettre des cameras partout ? Les gars qui sont à l’intérieure, se ne sont pas des tendres. »
_ « Avec quelque containers de nourriture, cigarette, d’alcool, je suis arriver à les persuader de participer à mon projet. Mais le mieux c’est que toute c’est bande rival vont jouer le jeu, car celui qui te tuera, remportera la modique somme de 200 000 euros. » _ « Et moi, j’y gagne quoi ? »
_ « La vie sauve pour ta famille et j’ai vu avec tes autorités, si tu parviens à sauver les tiens, tu pourras bénéficier d’une nouvelle identité et partir dans le pays de ton choix. Mais a une seule condition. »
_ « Et c’est la quelle? »
_ « Tu dois m’écouter au doigt et as l’œil, c’est claire ? »
_ « Très claire. »
_ « Mais il faut que je te rajoute une petite difficulté supplémentaire, ce serait trop facile sinon. »
_ « Ah bon, vous trouver que c’est trop facile? »
_ « Bas oui, il est exactement vingt deux heures vingt sept, tu as jusqu'à cinq heures cinquante trois, jusqu’au lever du soleil pour pouvoir sauver les tiens, au-delà, je préviens tous les gangs de leurs positions et tu sais des filles, il n'y en a pas beaucoup dans ces citées, j’imagine très bien ce qu’il pourrait faire de deux si jolie belle fille. Pas toi Jack ? »
_ « Oui, je ne préfère même pas y penser. »
Jack lui répond en serrant les dents, la voix lui propose
_ « Regarde dans la commode, il y a un papier ou est marquer l’adresse ou se trouve ta femme et ta fille, il y a des plans sur tout les arrêt de bus de la ville, quand elles ne seront pas casser, tu pourras voir quel chemin prendre, il y a aussi un chronomètre avec le décompte qui te rapproche de la fin tragique de ta famille Jack, alors dépêche-toi…………… QUE LE JEU COMMENCE ? » La porte s’ouvre, une lumière éblouis Jack qui sort de la pièce. Jack s’aperçoit qu’il se trouve dans un immeuble, les murs sont glauques et sa put. Il se dépêche de descendre les marches et arrivé en bas, il découvre que la ville est sans dessus dessous, un peu comme dans un film de mort-vivant, de Romero, des voitures calciner, des hommes meurs un peu partout, sûrement des règlements de compte. Jack se précipite sur l’arrêt de bus qui se trouve à une centaine de mettre de lui. Il s’aperçoit qu’il a un sacre bout de chemin a parcourir et décide de prendre à gauche de la rue. Chemin le plus court à son goût, alors il part dans la direction choisie en courant, mais tout a coup la voix lui dit
_ « Non, prend de l’autre coter. »
_ « Ca ne va pas, ça va me rallonger de trop. »
lui répond Jack tout en courrant, la voix rétorque
_ « Tu commence à discuter mes ordres, je peux tout arrêter d’un claquement de doigt, si tu veux. »
_ « Non, non, c’est bon, je passe de l’autre coter. »
_ « C’est bien. »
Lui répond la voix. Jack fait demi-tour et se remet à courir dans l’autre sens, arriver au bout de la rue, il tourne à gauche, mais aperçois au loin un attroupement d’une dizaines d’hommes, armée de machette, batte de base-ball et autre pied de biche. Jack décide de faire marche arrière, la voix lui dit
_ « Non, rapproche toi a une vingtaine de mètres d’eux, je te dirais ce qu’il faut que tu fasse après. »
_ « S’ils me voient, je vais me faire massacrer. »
_ « C’est le but de mon jeu. »
Et la voix se met a rire, Jack s’exécute, furtivement il s’approche des hommes, qui sont tout habillés de la même manière, sûrement un signe distinctif de leurs gangs. Arriver à une vingtaine de mètres, Jack dit à la voix en chuchotant
_ « Qu’est ce que je fais maintenant ? »
_ « Tu te mets au milieu de la rue, tu les regarde et leur dit, venez me choper bande d’enfoirés, vous étés qu’une bande de tapette, vous m’aurez jamais. Apres tu as intérêt de courir très vite, j’espère que tu aimais le sport a l’école et que t’as une bonne condition physique. »
_ « Ils vont me tuer, ils sont tous armés, moi j’ai que dalle. »
_ « Fait-le ! »
Dit la voix d’un ton autoritaire, Jack dépiter, se lève, se met au milieu de la rue et tien les propos a la virgule près. A la fin de la phrase, les hommes se précipitent sur lui d’une telle méchancetés, Jack se retourne et court à une vitesse folle. La voix rigole, les hommes derrière lui disent
_ « Tu peux courir, ont t’auras. »
_ « Attraper le, il vaut 200 000 euros. »
_ « T’es meurt enculer »
Jack réussi a prendre tellement d’avance, qu’a une intersection, il eut le temps de se cacher dans un recoin de la rue très sombre, il s’y met et ne bouge plus. Presque il ne respire plus, malgré l’essoufflement de la course poursuite. Les hommes arrivent sur le lieu, ne voyant plus Jack dans la rue, ils s’arrêtent tous de courir et l’un d’eux dit
_ « Il ne doit pas être bien loin, fouillez partout, ils sont à nous les 200 000 euros. »
Les Hommes regardent sous les voitures, certain rentre dans les maisons, a un moment il ne reste plus que deux hommes dehors et l’un d’entre eux, s’approchant de Jack, la voix voyant cela dit à ce dernier
_ « Des qu’il est à t’as hauteur, tu lui tombe dessus et tu le tue. » Jack ne répond pas et c’est surtout qu’il ne peut pas répondre. La voix enchaîne
_ « Tu as intérêt de le faire, tu es mon jouet, ma chose, si tu veux sauver ta fille, tu dois passer par-là. »
A ce moment la, l’homme est à son niveau, Jack lui décroche un coup de poing en plein menton, l’homme s’écroule et lâche sa machette. La voix dit à Jack
_ « Ramasse la et finis le, finis-le. »
Jack ramasse la machette et assène un coup dans la gorge de l’homme. L'un des Homme pendant ce temps là, dit à ses congénères
_ « Il est la, magnez-vous. »
Et se précipite sur Jack, qui eut juste le temps de se retourner et de lui mettre un coup de machette en pleine tête. Du sang lui gicle au visage. Les autres hommes sortent des habitations et se dirigent vers Jack. Qui demande pas son reste et part le plus loin possible, mais maintenant armée d’une machette. Il arrive a semer le gang dans la pénombre en ce cachant dans le hall d’un immeuble. Il y reste au moins dix minutes, pendant lesquel la voix dit à Jack
_ « Beau travaille Jack, j’aurais jamais cru que t’avais autant de couilles, pour tuer deux hommes a la machette. »
_ « Ils y arrivent bien en Afrique, et tu ne me laisse pas trop le choix. »
_ « Et ça fait comment la première fois ? »
_ « Tu n’as qu’a venir ici et tu verras. »
_ « Tu es très marrant Jack, allez maintenant tu sors et tu vas dans la rue devant toi. »
_ « J’ai une petite question. »
_ « Vas-y Jack, c’est demander si gentiment. »
_ « Comment je peux vous entendre ? J’ai aucun micro. »
_ « Détrompe-toi mon petit Jack, touche derrière ton oreille gauche. »
Ce que Jack fait et la voix continue
_ «Tu sens la boursouflure, nous t’avons implanter un micro émetteur, récepteur dans ton oreille interne, ni vu, ni connu, allez maintenant tu sors et tu va tout droit. »
Jack n'en revient pas, il se lève, ouvre la porte en disant
_ « Oui maître. »
Dit-il ironiquement, une fois dehors, il aperçoit un arrêt de bus sur sa gauche, il décide de bifurquer dans ça direction, la voix lui dit
_ « Tu fais quoi la ? Je t’ai dit tout droit. »
_ « Ouais je sais, mais il y a un arrêt de bus la bas, je voudrais voir quel chemin prendre. »
_ « Je m’en fou, je t’ai dit d’aller tout droit, tu vas tout droit. »
_ « Mais j’en ai pour trente secondes. »
_ « Il y en a un autre dans cette rue là, tu verras. »
Jack fait donc demi-tour et effectivement, il y a bien un autre arrêt de bus, mais plus il s’en rapproche, plus il s’aperçoit que l’abris de bus est casser. La voix lui dit donc
_ « C’est pas grave Jack, il y en a plein d’autre des arrêts de bus dans cette ville. »
Jack continue donc ça route droit devant, mais il ne prend plus le risque de courir, de peur de ce faire découvrir par des gangs, qu’il n’aurait pas vus. Au bout de la route la voix lui demande
_ «  Là Jack c’est toi qui décide par où, nous allons passés, je vais juste te dire que tu n’as qu’un seul chemin ou tu ne risque pas de tomber sur ces fous. J’espère que tu as de la chance Jack ? »
Et la voix ricane. Jack décide de prendre à droite, la voix dit
_ « Quel dommage, tu n’as pas trouver le bon chemin. »
Jack commence à faire demi-tour, mais la voix rétorque à son geste
_ « T’es fou Jack, Tu as joué, Tu as perdu, passe par la droite, mon chien de guerre, je sent que je vais m’amuser par ce chemin. »
Au bout du chemin, un square lui fait face, le soleil étant presque coucher et avec tous c’est arbre, la visibilité y est réduite. Jack avec beaucoup de précaution rentre dans le square, les graviers faisant trop de bruit sous ses chaussures, il décide donc de prendre sur l’herbe, il est sur le qui vive du moindre bruit et dieu seul sait, qu’un square la nuit peu en faire du bruit. Avec ses feuilles et ses branchages qui s’entrecroisent avec le vent. Jack avance à son rythme, quand tout a coup, un homme l’attrape par le coup et l’étrangle. Pour ce dégager, jack lâche la machette et l’homme le couche au sol et hurle
_ « Venez les gars, je l’ai choper. »
Jack est en mauvaise posture, il était presque sur le poing d’abdiquer, quand la voix lui dit
_ « Ce n'est déjà pas fini Jack, tu n’auras durer que trois quarts d’heure, quel dommage, tu ne reverras donc plus ta fille et ta femme. Triste fin. »
Quand il entend ça, Jack retrouve un second souffle, il est comme transcender, il arrive à faire passer son agresseur par-dessus lui, pour le faire retomber devant. Au loin on peu entendre les voix de deux hommes dirent
_ « Tiens le bien, on arrive. »
_ « Bien jouer, a-nous les tunes. »
Là, il trouve un sac plastique au sol, il y passe la tête de l’homme et serre fort, très fort, l’homme suffoque, étouffe, au bout de deux minutes, l’homme ne bouge plus, pour plus de sécurité, Jack attrape sa machette et lui met un coup dans la gorge. La voix lui dit
_ « Bien Jack, je me doutais bien que tu n’étais pas homme a lâcher si vite, mais voyons ce que tu vas faire face à ces deux lascars. »
Jack les distingues, ils sont à une centaine de mètres, la voix lui dit
_ « T’es chanceux, il ne sont même pas armée, fait moi une boucherie, de ces deux bouffons. »
A peine arriver, Jack se déchaîne sur les deux hommes, du sang coule de partout, un doigt par ici, une main par-là. Il fit ce que la voix lui ordonna, une fois finis la voix lui dit
_ « Bien mon petit chien de guerre, tu as le droit a ton petit no-nos, veut tu parler avec ta femme ? »
_ « Oui, s’il vous plait. »
Lui répond Jack tout étonner de ce que viens de lui proposer la voix.
_ « Mon chéri, c’est toi ? »
_ « Ne t’inquiète pas, je viens vous chercher, la petite va bien ? » _ « Oui, mais dépêche-toi Jack, dépêche-toi, cet homme a l’air……… »
La femme est interrompue par la voix qui dit
_ « C’est tous pour le moment. »
_ « Et ma fille, laissez moi parler à ma fille. »
_ « Non, pour l’instant tu as encore beaucoup de chemin a parcourir, chaque chose en son temp. »
_ « Vous auriez pu me laisser parler à ma fille. »
_ « Tu sais Jack, elle est très mignonne ta fille. »
_ « Tu laisse ma fille tranquille ou je t’explose la tête, espèce de malade mentale. »
_ « Ah ! Tu le prends comme ça, tu crois qu’on peu me parler comme ça et bien écoute ça. »
et là Jack entend sa femme dire
_ « Non, pas la petite, s’il vous plait, noooooon. »
Et Jack entend un coup de feu et plus rien. Entendant ça, il dit
_ « Salop, non pas ma fille, espèce de salop, pas la petite, pas la petite. »
Tout en disant cela, il tombe au sol en pleure, il y reste prostré pendant plusieurs minutes, a pleurer. D’un coup il se relève, le regard sombre, de la colère peut se sentir sur son visage. Il attrape la machette, qu’il avait fait tomber par terre et par d’un pas pressant, ne ce méfiant même plus des gangs, qui lui veulent la peau, la colère domine sa peur maintenant. Il passe tout le square avec un regard de tueur, au bout de ce square, il y retrouve une rue et en face un arrêt de bus. Il regarde son chemin et s’aperçoit que s’il passe par l’hôpital psychiatrique. Ca lui raccourcirait le chemin, donc il décide d’y pénétrer, une fois a l’intérieure, les lumières sont allumées, mais elles ont des baisses de tension, l’ambiance y est délétère, détestable, ça y sent mauvais et jack y entend très sourdement
_ « Aidez-moi, s’il vous plait, aidez-moi. »
Mais très calmement et puis d’un coup
_ « Au secours, venez m’aider, je suis attacher, au secours. » Très énerver. Jack tente de distinguer d’où vienne ces paroles et au bout de deux ou trois minutes, réussi à isoler d’où viens cette voix. Elle se trouve dans une pièce du premier étage, étant devant celle-ci, et cherchant à regarder par le carreau, d’un coup la voix de l’homme lui dit
_ « J’te vois, aide-moi, s’il te plait aide-moi. »
Sur un ton de plus en plus violent, jack trouve l’interrupteur qui se trouvait dans le couloire et l’allume. Dans la pièce La lumière s’illumine, mais pas seulement, l’homme hurle de douleur, il est assis sur une chaise électrique qui se met en route des que quelqu’un allume la lumière. Jack voyant ça éteint l’interrupteur et dit
_ « Qui tu es? »
L’homme lui répond
_ « Et toi, t’es qui ? Tu fais partis de quel bande ? »
_ « A parce que tu es l’un de ces trous du cul qui vivent dans cette merde ? »
_ « Et ouais, tu serais pas le corniaud qui devait arriver ce soir, qu’on devait buter pour avoir le magot. »
_ « En personne. »
_ « Tu peux me relâcher ? Vas-y mec soit pas vache. »
_ «  M’aideras-tu une fois que je t’aurais libérer ? »
_ « Je t’attraperais et je toucherais mes tunes. »
_ « T’es con ou tu le fais exprès ? »
_ « Tu sais connard, même si tu t’en sort et bien le mec nous as dit que l’on pourrait profiter de deux belle donzelles, c’est ta fille et ta femme, c’est ça. »
Et l’homme se met à rire, avec un rire strident, énervant. Jack décide donc d’allumer l’interrupteur et dit pendant que l’homme est en train de griller
_ « Je retrouverais ma fille et ma femme, ce n’est ni toi, ni ce producteur de mes couilles, qui m’en empêcheront. »
Et il repart laissant l’homme cramer et hurlant de douleur derrière lui. Jack poursuit son chemin dans l’hôpital psychiatrique sans se retourner, plus il s’enfonce dedans, plus il entend comme des gens qui parlent dans le lointain. Il est donc sur le qui vive, d’un coup il entend quelqu’un hurler, comme ci on le torturait, le cris était très proche, juste derrière la porte qui se trouvait à sa droite, sa curiosités était elle, qui essaya de regarder par le carreau. Il y vit l’horreur, un homme allonger sur une table attacher, les yeux crevés, en charmante compagnie de deux petits Pitt bull complètement déchaîner, Jack vit l’homme se faire déchiqueter en quelques secondes. Prit d’un haut le cœur, il se retourne et se retrouve nez a nez avec un homme. Surpris par ce dernier, il sursaute juste avant que celui ci lui mette un coup de poing en plein visage, Jack tombe au sol, l’homme lui saute dessus et commence à l’assommer de coup de poing. Puis le relève, le plaque contre la porte et lui demande
_ « C’est toi qu’on devait attraper ce soir ? »
Jack la bouche en sang et un œil pocher lui répond
_ « Oui, c’est moi mais tu n’auras pas le temps de profiter des sous. »
_ « Qu’est ce que tu raconte ? »
Jack attrape l’homme par le coup comme ci il voulait l’embrasser, puis en profite pour ouvrir la porte des pitts bulls et se laisse tomber au sol, l’homme lui tombe dessus, Jack ne bouge plus un poil, il fait le mort. L’homme lui par contre se relève et commence à partir en courrant. Chose a ne surtout pas faire, les deux Pitts bulls lui courent derrière et a en croire les cris, ils ont du le rattraper. Jack a ce moment se lève et sort de la pièce, ramasse sa machette et a sa sorti l’un des deux Pitt bull le vois, se met à lui courir dessus, pendant que l’autre se délecte de sa fraîche victime. Jack voyant cela se mit à courir tout droit, jusqu'à la porte, qu’il y avait au bout du couloire, passe derrière et referme la porte. Le chien prit dans son élan se cogne dans la porte, lorsque Jack la referme. Jack s’écroule par terre, essouffler, épuiser, le visage tuméfier. Il essais de s’essuyer le sang sur sa chemise, mais même celle-ci, aussi est maculer de sang, il essais donc d’enlever le plus gros. La voix fait son retour et dit à Jack
_ « Bien, bien, bien, ils sont vraiment fêler dans cette ville…… Tu t’en es vraiment bien sortis Jack. »
Jack ne répond pas, la voix reprend quelque seconde plu tard
_ « Oh, voilà qu’elle fait sa pucelle, tu me parle plus Jack, je t’es vexer. »
_ « T’as tuer ma fille, espèce de salop. »
_ « Mais non Jack, c’était juste pour voir jusqu’ou tu irais, si l’éventualité se présentait. Tiens viens parler à papa …………………….Allos Papa. »
Jack n’en revient pas, il répond la larme a l’œil
_ « Oui, ma fille, ça va ? »
_ « Oui ça va, j’ai juste mal a mes pieds et a mes bras. »
_ « J’arrive mon bébé, papa arrive très vite. »
_ « Oui, c’est ça, arrive très vite Jack, j’ai hâte de te voir. »
Lui repond la voix, qui a repris le relais
_ « Je vous remercie. »
_ « Mais pourquoi ? Je n’ai rien fait. »
_ « Je vous remercie de ne pas l’avoir fait justement. »
_ « Je ne vais pas me fâcher avec mon chien de guerre, mon jeu serait rater. »
Sur un ton très ironique, Jack s’essuie les yeux et la voix rétorque
_ « Bon fini la minute émotion, maintenant faut retourner au turbin, Jack. »
Jack réfléchi et demande à la voix
_ « Au fait, il n’y avait aucune camera dans l’hôpital, comment avez vous pu voir tous ce qu’il s’y passait ? »
_ « Alors là Jack, tu me stupéfie, je pensais te berner jusqu'à la fin du jeu avec ça, mais non, tu es trop fort. »
_ « Pourquoi ? Expliquez-moi ? »
_ « Et bien, comme pour l’émetteur, récepteur, on t’a implanter une camera miniature, juste derrière l’iris, même si nous, nous ne pouvons pas te voir, nous voyons ce que tu vois-toi, a quel moment et dans quel endroit tu es Jack. Le seul problème c’est qu’avec cette camera la, nous avons un décalage d’image de 25 secondes, comme elle passe par des satellites, tu connais la technologie Jack. »
_ « Non pas trop. »
Jack touche ses yeux et effectivement, il sent quelque chose de dur, en dessous de son œil droit.
_ « Bon, fini les plaisanteries, tu vas aller, oh je sais pas, tu vas prendre, par la gauche, aller c’est un ordre. » 
Lui ordonne la voix, Jack se relève sa machette toujours a la main, souiller de sang et avance dans la nuit. Il descend l’escalier de secours qui se trouvait derrière la porte et prend par la gauche. Au bout de cinq cent mètres de marche Jack regarde sa montre et vois qu’il lui reste encore trois heures et demi pour sauver femme et enfant. Dans la presque obscurité, il aperçoit un arrêt de bus, sur laquelle il se précipite en courant. Arriver sur place a l’aide de la pleine lune, il essais de voir quel chemin prendre, tout a coup un homme sort de l’habitation qui se trouvait à côté de l’arrêt de bus, les deux hommes se regardent, se fixent, l’homme regarde Jack des pieds a la tête, regarde sa machette tacher de sang comme ses affaires et puis fait un signe de la tête pour dire oui. Jack ayant compris qu’il l’avait démasquer, lui fait un signe de tête pour dire non. L’homme se mit à crier
_ « Oh ! Les mecs, le type est ici descendez avec le matosse. »
Un remue ménage s’opère derrière les murs, Jack ne dit qu’un seul mot
_ « Enculer »
Juste avant de partir en courrant, au moins une trentaine de personne sortent de la maison et lui courent derrière. Tous armées de gourdin, matraque, nerf de bœuf, couteau etc.…. Jack poursuivit par cette horde de sauvage, prend les rues, s’en même savoir où il va et pour seul aide la voix lui dit ces quelques phrases
_ « Non, pas bonne idée, tu t’éloigne de ta femme. »
_ « Tu vas tout droit sur un autre gang. »
_ « Louper, tu feras mieux la prochaine fois. »
Les furieux sont toujours derrière lui et dans un croisement, il se retrouve nez a nez avec une seconde bande. Qui en le regardant déchiffre que c’est l’homme qui vaut si chère, ils décident donc de lui courir derrière. Jack demande pas son reste et cour de plus belle, mais là avec deux gangs a ses trousses. Quand les deux bandes rivales s’aperçoivent qu’ils sont entremêler, une bagarre éclate au sein même de la course poursuite, sûrement pour la suprématie du quartier, mais quand Jack se retourne et les voit ce bagarrer, il se dit de courir encore plus fort pour les semer. Ce qu’il tente de faire, mais la voix lui ordonne
_ « Non, tu reste là et tu regarde, tu vois, ça te montre comment ils sont et moi ça me fait de belles images pour mon jeux. »
Jack lui répond
_ « Vous avez déjà vu ce qu’ils sont capables de faire, avec ce type et les Pitt bull ou encore l’autre et sa chaise électrique, se sont de grand malades. »
_ « Ouais, mais bon, il n’y a rien de mieux, qu’une bonne rixe, c’est du sensationnel, sa fera vendre, crois-moi, c’est mon bisness. »
_ « Si vous le dite. »
_ « Ils sont vraiment idiots, ils préfèrent ce taper dessus, au lieu de te courir après pour avoir leurs argents. »
_ «  Entre nous, moi je préfère. »
_ « Je m’en doute bien Jack et c’est normal. »
Apres cinq bonnes minutes de bagarre, la voix dit à Jack
_ « Tu peux y aller maintenant, j’en est assez. »
_ « Ok. »
Lui répond Jack qui se retourne et repart en courrant. Au moins cinq pâtés de maison plu tard, Jack s’arrête, exténué, se pose le long d’une voiture qui est sur le toit, il essais de retrouver son souffle, tout en regardant son chronomètre, la voix lui dit
_ « Et oui Jack tu ferais mieux de te dépêche, il ne te reste plus que trois heures. »
Quand Jack relève la tête, il aperçoit un arrêt de bus au bout de la rue. Aussitôt il repart en courrant, mais à peine dix mètres plu tard, il s’arrête, il s’accroupit et la voix lui dit
_ « Mais que t’arrive t-il Jack, t’abandonne ? »
Jack toujours essoufflé lui répond
_ « J’en peux plus, j’ai un point de coter, j’ai la tête qui tourne. » _ « Tu n’es pas si endurant que je l’aurais pensé, je pensais que tu étais un homme, un vrai. »
_ « J’ai rien manger depuis deux jours, comme vous le saviez, je devais être mort à l’heure actuelle, on ne gâche pas des repas pour un condamnée a mort, ça fait…Il essais de réfléchir... je ne sais même plus, depuis le début de votre jeu idiot, que vous me faite courir, je me pose cinq minutes pour récupérer un peu. »
_ « Comme tu veux Jack, mais mon petit doigt me dit que tu va avoir de la visite. »
_ « Par ou ? De quel coter ? »
_ « Surprise. »
Et la voix rigole, Jack se met à regarder tout autour de lui, mais il ne voit rien, il essais tant bien que mal de récupérer un peu, tout en restant vigilant. La voix profite de ce moment de calme pour lui dire
_ « Au fait Jack, depuis l’hôpital psychiatrique, tu n’as pas avancer d’un poil, tu aurais même reculer un petit peu, mais je suis sur qu’avec ton courage et ta pugnacité, tu arriveras à temps pour sauver ta belle et ton ange. »
Jack ne préfère même pas relever la discutions, il se redresse et repart en courrant vers l’arrêt de bus, la voix rétorque à ce geste _ « Ah ! Je préfère ça, les gars vigoureux, aller Jack montre nous ce que tu peux encore faire, je me méfierais de derrière, si j’étais toi. »
Jack se retourne et dans la nuit, voit arriver au loin, un homme sur un BMX, un vélo de cross, l’homme ne semble pas armée, la voix lui dit
_ « Tu es chanceux, tu ne finiras peut-être pas l’aventure a pied, mais méfies toi de lui, il est peut-être armé. »
Jack se cache derrière une voiture encore sur ses roues et attend l’arriver du cycliste. L’homme sur son vélo, va et viens, de gauche a droit, passe entre les voitures, les poubelles qui traînent sur le sol et plus il se rapproche de Jack, plus ce dernier est sur ses gardes. Arriver à son niveau, sans que l’autre n’est comprit ce qu’il lui arrivait, Jack aidé de sa machette, lui tranche la tête net, cette dernier roule sur le sol, le corps continue de pédaler, sûrement les nerfs, ou le réflexe du geste répétitif, jusqu ‘a ce qu’il tombe. La voix lui dit alors
_ « Tu es dégelasse Jack ! »
_ « Et pourquoi ça ? C’est votre jeu que je sache. »
_ « Il n’était même pas armé. »
Jack vérifie les dires de son interlocuteur et répond
_ « Depuis tout à l’heure, c’est soit eux ou moi, j’ai penser qu’il serait armé, dommage pour lui. »
_ « Mais oui Jack, tu es un criminel, tu t’en fou de sa gueule, on a vu avec le malheureux que tu as massacrer. »
_ « Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas. »
_ « C’étais marquer dans les journaux, tu l’as massacrer, tu l’as vider de son sang et ces pour ça que je t’es choisi, parce que tu es un criminel, un sanguinaire. »
_ « Non....lui répond jack la voix vacillante et continue....vous ne savez pas pourquoi j’ai fait ça, c’était une vengeance. »
_ « Mon œil, tu ne va pas me servir ça a moi Jack. »
_ « Non, c’est vrai, mais je n’en est pas parler au procès, je préférais assumer mon acte. »
_ « Ah oui ! Et c’est quoi la version non officielle ? »
Jack part dans ses pensées et lui répond
_ « Tout le monde pense que je suis orphelin, l’état lui-même le pense, mais non, quand j’étais petit vers cinq, six ans, mes parent étaient tous les deux des drogués et un jour leurs dealer leurs avaient fait crédits. Mais le jour du remboursement, ils non pas puent payer, et cet enfoiré est revenu avec trois de ses sbires. Moi j’étais là, cacher par mon père dans le placard de la cuisine, j’ai vu ses hommes de mains découper mes parents membres par membres pendant au moins trente minutes, mais dans la tête d’un enfant, ça durait une éternité, je me souviens des paroles de mon père quand il m’a cacher   Ne bouge pas d’un poil, même si tu vois ou entend des choses, tu reste là et tu ne bouge et surtout ne parle pas. C’est comprit.  Ce que je fit, pendant, que cette enculer riais de voir mes parents se faire torturer, jusqu‘a la morts par ses molosses. C’est a ce moment que j’ai jurer de me venger des cet enfoiré. Quand ils sont partis, un voisin, qui était amis avec mon père m’a recueillis et m’a élevé. Mais a jamais le visage de ce salop était graver dans mon esprit. C’est pour ça quand je l’ai revu, trente ans plu tard, ce petit dealer de quartier, devenue trente ans plu tard, patron de sa propre boite, parlant comme un peine cul de fils de pute, qu’il était, j’ai tenu ma parole, je lui est fait exactement ce qu’il avait fait à mes parents et qu’il crève en enfer cette enculer. Voilà vous connaissez tous, je ne suis pas un criminel, je suivais ma ligne de vengeance. »
_ « Tu as beau dire ce que tu veux, tu es un criminel, tu as massacrer un homme de tes mains et tu nous le prouve encore ce soir. »
_ « Ce soir c’est différent. »
_ « Et en quoi, c’est différent ? Jack. »
_ « C’est bon, je ne veux plus parler avec vous de cela, vous connaissez mon histoire, vous vous en foutez, c’est bien. »
Jack regarde autour de lui et voit le corps de l’homme au sol, du sang gicle encore du tronc, il cour vers le vélo, en retire le corps, monte sur celui-ci et part avec. De peur que d’autre homme ne soit avec lui, il prend la première ruelle sur sa droite, sans prendre le temps, de regarder sur l’arrêt de bus, alors la voix lui dit
_ « Tu ne va pas voir ou ce trouve ta chère et tendre? Jack »
_ « On ne sait jamais, s’il n’était pas tout seul ? »
_ « Oui, mais s’il y était, puis tu repars peut-être dans la mauvaise direction Jack. »
Jack réfléchi un moment et fait demi-tour. De retour dans la rue, il part aussitôt sur l’arrêt de bus, regarde le plan et voit qu’il a fait un peu plus de la moitié du chemin, mais il se dit qu’avec le vélo, il ira beaucoup plus vite. D’un coup il entend au bout de la rue, là où se trouve le corps du décapiter
_ « Putain, Steve, qui c’est qui a fait ça ? »
_ « La bas il y a quelqu’un, allons-y. »
Et au moins une dizaines de personne en vélo se dirigent vers Jack. Ce dernier a le temps de repérer son chemin et part en trombe. La voix lui dit
_ « Désoler, tu va te fatiguer un peu plus. »
Jack lui répond
_ « Et ça ce n’était pas fait exprès, vous m’avez fait faire demi-tour, alors que j’étais sur le bon chemin ? »
_ « Je ne sais pas, mon petit doigt me l’avait peut-être dit. »
Et la voix se met à glousser. Voilà donc une course poursuite a vélo qui s’engage, Jack pédale comme un dérater, mais les autres commence à récupérer leur retard, fatiguer comme il est, il préfère s’arrêter, à la suite d’une dizaines de minutes de poursuite. Il se stop près d’un chemin de fer et d’une gare de triage. Il lâche son vélo et courre entre deux rames de wagons, qui se trouvaient sur les lieux, d’un coup Jack monte sur l’un de ces trains, il grimpe sur le toit, s’allonge et ne bouge plus, mais avec un souffle chancelant. Les hommes arrivent une dizaine de secondes après lui, mais comme la nuit a ces quartiers, dans cette gare, ils n’y s’ont vues que du feu. Celui qui se montrait comme le chef dit
_ « Allez bande de connard, vous allez me le retrouver, je vous laisse une minute, sinon vous savez très bien ce qu’il va se passer. »
Les autres prit de panique commence à chercher, tandis que Jack ne voit ce qu’il se passe, mais entend tous. La voix lui dit pendant ce temps là
_ « Tu as déconner Jack, ou tu es toi, je ne peux pas te voir, je ne peux même pas voir ce qu’ils font eux, c’est trop sombre, mes caméras ne sont pas doter d’infrarouge, tu sais. »
_ « Je m’en fou complètement. »
Lui répond Jack dans ses moustache, encore essoufflé
_ « Ah ! Tu veux te la jouer comme ça, on va être deux a jouer, attend. »
Jack ne dit plus un mot et le soit disant chef dit après cinquante secondes
_ « Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un, zéro. » A ce moment la, il claque dans ses doigts deux fois. Les neuf autres hommes reviennent vers lui et il dit
_ « Vous l’avez trouver ? »
_ « Non. »
Répond l’un d’eux, alors le chef sort un sabre japonais, un katana, de son fourreau et le tranche du haut de l’épaule gauche, jusqu’en dessous du bras droit. Il réitère sa demande
_ « Quelqu’un la trouver ? »
Pas de réponse, il entre dans une colère folle et en moins de quinze secondes, il tranche le reste de ses hommes en disant
_ « Bande d’incapable, vous me faite honte, vous n’êtes plus digne de faire partis de mon gang. »
Des lambeaux de chaire sur le corps, il est interrompu par un talkie-walkie qui lui dit
_ « Tu peux l’avoir, il est au-dessus d’une rame. On vient de me le confirmer. »
_ « Merci, je te revaudrais ça. »
Le chef monte sur l’une des rames, mais ne vois rien sur celle ci grâce à la lune et dit à voix haute
_ « Je vais t’avoir, fils de pute. »
Jack comprend qu’il va être pris, car il entend l’homme monter sur sa rame. Il décide donc de se lever et de partir en courrant, sautant de wagon en wagon. L’homme l’entend, le suit toujours, le katana a la main, Jack avec sa machette dans la sienne, sent bien qu’il ne pourra pas aller bien loin, fatiguer comme il est. Alors il décide de descendre de la rame, ce qu’il fait dans l’intention d’attendre l’autre et de le découper lorsqu’il descendra de la rame. Une fois descendues, il se prépare à découper une autre personne aujourd’hui, quand tout a coup l’homme saute de la rame et atterri derrière jack, qui ce dernier n’a rien vu venir. Surpris, Jack tente d’éviter un coup de sabre vers l’abdomen, qui l’effleure quand même et lui fait perdre du sang. Jack riposte avec un coup de machette sur le bras droit de l’homme, celui avec lequel il tient son sabre, mais l’homme a des protections de toutes par. Il en profite même pour taillader la jambe droite de Jack, ce dernier énerver, met un coup en plein dans le crane de l’homme qui tombe à terre en disant  
_ « Dommage pour les 200 000 euros. »
Et il s’effondre au sol. Jack laisse l’homme avec la machette planter dans son crane, il préfère récupère le katana, il prend le fourreau, qu’il se met autour de sa taille et dit à la voix
_ « Vous pouvez rentrer en contact avec eux, c’est ça, c’est ça votre vengeance. »
_ « Non, c’est pour mettre un peu plus de piment dans le jeu, ce n’est pas mieux comme cela, Jack ? »
_ « Vous me saouler, je préfère même pas vous répondre. »
Puis il ressort de la gare de triage, prend le premier vélo qu’il trouve et part d’ici a toute vitesse, la voix lui dit
_ « Tu as raison, tu n’as qu’à peine deux heures et demis, dépêche toi Jack. »
Dans l’un des commerces qui se trouve sur son chemin, Jack aperçoit un distributeur de bonbons, il s’arrête net et part dans ça direction et quand il aperçoit à travers la vitre de la machine, quelque mars et Snikers. Il se précipite dessus en cassant le carreaux, ouvre les enrobages plastiques et se goinfre le tous en quelque seconde. Une fois fait Jack pousse un énorme soupir et dit
_ « Oh ! Ca fait trop du bien, j’avais trop mal au ventre. »
_ « C’est bon, c’est finis...lui dit la voix qui continue...tu crois que ça va intéresser quelqu’un de te voir te bourrer la gueule comme un crevard. »
_ « Votre jeu je m’en fou, je ne vais pas me laisser mourir de faim pour vous et pour que votre jeu marche, après avoir manger un bout, je serait encore plus fort. »
_ « Tu as raison Jack, maintenant, il faut que tu te surpasse. » Jack retourne à son vélo et repart. A quelque pâté de maison de là, il aperçoit un arrêt de bus, il s’en approche, mais vois que celui-ci est casser, la voix lui dit
_ « A ton avis tu t’éloigne, ou tu es dans la bonne direction ? »
_ « J ‘en est aucune idée, dite moi ? »
Lui répond Jack.
_ « Parce que tu crois que je vais t’aider. »
_ « Non, c’est sur, moi vous ne m’aidez pas, mais eux si. »
_ « C’est le jeu mon pauvre Jack. »
Jack fait un hochement de tête comme pour dire non et continue son chemin. Un pâté de maison passé, puis deux, puis trois, quatre, cinq, les quartier son de plus en plus délabrer, sûrement les quartiers pauvres de la ville et sans que jack ne sois inquiéter par les gangs, alors la voix lui dit
_ « T’es chanceux Jack, t’arrive à ne rencontrer personne, alors que tu vaut 200 000 euros, c’est injuste. »
_ « Parce que vous croyez, que si des bandits on l’autorité dans une ville, il vont rester dans les quartier les plus pauvre, non, il vont dans les quartier les plus huppés, les plus riche et puis moi ça m’arrange. »
_ « Je vais tenter de remédier à ça. »
Jack lui répond
_ « Ca va j’ai comprit, vous aller appeler vos potes et dans cinq minutes, ils vont être à dix a me tombés dessus, c’est bon, j’ai comprit, il est un peu répétitif votre jeu. »
Et la, Jack vois un arrêt de bus a une trentaine mètres de lui, en quelques secondes, il est sur place et il s’aperçoit, qu’il n’est plus qu’un dix pâtés de maison de sa douce. Alors Jack dit
_ « Mon calvaire va bientôt ce terminer ? Je crois. »
_ « Ah tu crois, essais toujours d’arriver à destination. »
Alors Jack repart, se sachant à quelque rues de la victoire, il en oublis même sa fatigue et repart de plus belle, passe par des petites ruelles parallèles a la grand rue, pour aller plus vite. Mais au bout de trois ruelles passées, un cul de sac le force a revenir sur la grande rue. Il s’aperçoit qu’il n’y a plus de petites ruelles sur les coter, il s’enfiche bien, la victoire lui tend les bras. Le voilà a deux pâtés de maison, la voix lui dit
_ « Tu y es Jack..... Tu y es presque maintenant. »
La voix se tais et l’on entendre un coup de feu.
_ « Et non-Jack, ce n’est pas finis. »
Jack se laisse tomber et rampes jusqu’au derrière d’une voiture. Il demande
_ « Qu’est ce que c’est que ce bordel ? Je croyait qu’il n’y avait pas d’arme ici ? »
_ « Et oui Jack, il y en a une et c’est moi qui le leurs est donner, tu pensait que j’allais te laisser venir ici aussi facilement, c’est ton dernier défis Jack. »
_ « Qu’est ce que vous voulez que je fasse contre une arme a feu ? »
_ « Une arme, dix balles, non, plus que neufs et surtout ce petit joujou est doter d’une lunette infrarouge, je te souhaite bien du courage pour passer Jack. »
Un homme est poster sur l’un des toits de la rue, il regarde dans sa lunette et attend que Jack sorte de derrière la voiture pour le dégommer. Apres deux, trois minutes l’homme dit, pendant que Jack réfléchit à une solution pour sortir de cette fâcheuse posture
_ « Aller montre toi enfoiré, que je te shoot comme un lapin. » Jack prit de panique se dit
_ « Si je bouge, je suis mort. »
La voix lui répond
_ « Tu n’as pas le choix Jack, tu sera bien obliger bouger, je t’en donneras pas le choix. »
_ « Je ne peux pas bouger. »
_ « Et bien je suis obliger, je suis désoler Jack. »
_ « Quoi ? »
_ « Je viens de changer les règles du jeu, tu n’as plus deux heures pour sauver tes femmes, mais un quart d’heure. »
_ « Non, tu n’as pas le droit, le jeu, c’est le jeu, on était d’accord au début, il me reste deux heures encore. »
Il regarde sa montre et il voit le chronomètre descendu a un quart d’heure. La voix lui dit
_ « Et oui, Jack, un quart d’heure, c’est mon jeu, c’est moi qui dicte les lois, pas toi . »
Jack dépiter, ne sait plus quoi faire, l’homme sur le toit lui dit
_ «  Aller sort si t’es courageux. »
Jack tétanisé ne bouge pas d’un poil, tout a coup une balle atterrie sur la voiture, près de lui et le bruit du ricochement, lui explose l’oreille.  Il se dit en lui-même ... Huit, il lui en reste huit...
Il attend quelque seconde de plus et une autre balle ricoche à ses pieds
_ « Sept. »
Se dit il, l’homme s’énervant lui recommande
_ « Sort, tu sais très bien que tu n’as pas le choix, ou a moins que tu préfère qu’on s’occupe de ta femme, c’est toi qui vois. » Jack sans une monter de colère en lui, qui lui donne une monter d’adrénaline, il se lève d’un bon et cour derrière une autre voiture qui se trouve à une dizaine de mètres. L’homme lui tire une balle en plein dans l’épaule, avant qu’il ne puisse se cacher. L’homme vois du sang gicler et dit
_ « Toucher mon gars. »
Jack lui répond après avoir hurler de douleur
_ « Peut être toucher, mais pas couler. »
Puis il se dit
_ « Il en reste six. »
La voix lui dit
_ « Bas alors Jack, tu es toucher, il ne te reste plus que neufs minutes, dépêche toi, t’es à cent mètres, oh peut-être cent cinquante. »
_ « T’as gueule. »
Lui dit Jack
_ « Oh, Oh, Oh ! Il es colère le Jack, tu sent que ça t’échappe. » _ « Non, non. »
Jack regarde autour de lui, il voit un arrêt de bus a cinquante mètres, il se relève et part dans la direction de l’arrêt de bus, il zigzag pour éviter que l’homme ne l’atteigne avec son arme, le tireur embusqué lance une nouvelle offensive. Il loupe Jack, la voix lui dit
_ « C’est bien Jack, bien éviter. »
Jack continue de courir, l’homme tir encore une fois, la balle effleure son cuire chevelu, une larme de sang coule dans sa tête. Jack na rien senti, peut-être juste le souffle de la balle, mais il continu de courir et a deux mètres de l’arrêt, il saute pour s’y réfugier comme derrière un bouclier. L’homme tire de nouveau, la balle transperce l’arrêt de bus et viens ce loger dans le gras du bide de Jack. La voix lui dit
_ « Houille, houille, houille, ça doit faire mal. »
_ « Ca brûle et ça pique. »
Lui explique Jack.
_ « Plus que sept minutes. »
_ « Ouais et lui plus que trois balles. »
Lui répond Jack avec un peu de mal a respirer, essouffler.
_ « Tu t ‘en sort plutôt pas mal Jack, moi je trouve, tu me fais honneur, c’est bien. »
_ « C’est pas pour toi que je le fait, c’est pour ma femme et ma fille. »
L’homme dit à ce moment là
_ « Tu ne repart plus mon petit gibier, je sais que je t’es toucher, je vois le sang couler d’en dessous. »
Et il se met à rire. Jack regarde la rue et voit qu’il est dans la bonne rue, regarde les numéros sur les portes et s’aperçoit que l’adresse indiquer, est à quarante mètres tout au plus. Une lumière est allumée au-dessus de la porte indiquer, alors Jack demande
_ « C’est là où il y a une lumière ? »
_ « Tout à fait Jack, a toi de jouer, plus que six minutes. »
_ « Minute papillon, je récupère un peu. Si j’y vais maintenant il va me tirer comme un chien. »
_ « Comme tu veux Jack. »
Apres deux minutes de récupération Jack est très concentrer sur ce qu’il doit faire, tous comme l’homme, qui lui sait aussi, qu’il ne lui reste plus que trois balles, pour avoir son magot. Jack se mets debout et tout à coup il court de nouveau. L’homme surpris, a louper le départ de Jack, qui se donne à fond, dépassant sa douleur. Le tireur tente une nouvelle fois, mais rate. Des étincelles se font sur le sol, Jack se dit
_ « Deux, plus que deux. »
A la fin de sa phrase, une autre est tirer, elle lui passe entre les jambes, Jack saute surpris par les étincelles et se dit.
_"Il n’en reste plus qu’une."
Arriver à trois mètres de la porte, jack s’arrête net, la dernière balle viens de lui atterrir dans le fémur, il tombe au sol, L’homme sur le toit dit
_ « Hou, hou, yes, je l’est eu. A moi les euros. »
Et il jette l’arme par-dessus. Jack allonger au sol, regarde la porte qui est si proche, mais pourtant si loin, la voix lui dit
_ « Bas alors Jack, relève toi, tu es si proche, aller, debout. » Jack essais mais la douleur de l’épaule, du bide et du fémur le clou au sol. L’homme descendu de son mirador arrive vers Jack un couteau a la main et lui dit
_ « Je t’es eu enculer, t’es qu’une merde. »
Jack se met sur le dos, le regarde, l’homme se rapproche et lui dit
_ « J’était plus fort que toi, c’est tous, je vais apaiser ta douleur mon gars maintenant, je ne te ferais pas mal. Je fais ça bien. »
Et il s’approche comme pour lui trancher la carotide, le couteau en avant. Mais au dernier moment Jack sort son sabre qu’il avais dissimuler jusque là et lui tranche l’avant bras. Celui-ci tombe au sol avec le couteau et l’homme dit
_ « Merde, mec, j’avais gagner, t’avais pas le droit de faire ça. »
Il s’abaisse pour récupérer son couteau tout hagard et Jack en profite pour lui assener un coup dans la gorge en disant
_ « Ne t’inquiète pas, ça fait pas mal. »
L’homme tombe a la renverse, il suffoque, en quelque seconde il s’étouffe, respirant son propre sang. Pendant ce temps là, la voix dit à Jack
_ « Vite, plus que deux minutes. »
_ « Je sais, je sais. »
Lui répond Jack, qui tente de ramper au sol. Il réussi à parcourir les trois mètres qui le separait de la porte, s’aide de la poigner de porte, pour se relever, ouvre cette dernière et la voix lui dit
_ « Aller une minutes, cinquante neufs, cinquante huit, c’est la première porte a gauche en haut de l’escalier. » Jack est debout, avachit contre le mur, montant les marches une par une, avec beaucoup de difficulté. La voix continue
_ « Cinquante trois, cinquante deux. »
Jack lui repond
_ « C’est bon, tu me stress plutot qu’autre chose. »
La voix ne dit plus rien, jack est à dix marches du premier étage, du sang suit son passage dans l’escalier, des traces de balles qu’il a reçut. Arriver au haut des marches, la voix lui dit
_ « Jack, quinze, quatorze, treize….. » Jack se dit qu’il a du mentir, comme tout au long de la nuit, donc il ne prendra pas la porte de gauche, il se dirige vers celle de droite
_ « Douze, onze, dix, dépêche-toi Jack, huit, sept…..»
Il reste à Jack, de parcourir deux mètres et son cauchemar sera terminer, un pas après l’autre, il avance avec du mal.
_ « Cinq, quatre, trois…… »
Jack est devant la porte, il enclenche la poigner.
_ « Deux…. » Ouvre la porte. _ « Un….. » Regarde dans la pièce. _ « Zéro….. » Jack ne vois rien, ni personne dans cette pièce.
_ « Tu as perdu Jack. »
La voix rigole et rétorque
_ « La femme….. » Jack entend un coup de feu et dit en s’écroulant au sol
_ « Noooooooon ! »
_ « Maintenant l’enfant. »
_ « Non, s’il vous plait pas la petite. »
Allonger sur le sol, il entend un deuxième coup de feu. Il se met à pleurer, l’émotion, la fatigue, ses blessures, lui font perdre connaissance, mais juste avant que cela lui arrive, il entend la voix lui dire
_ « Tu connaissait les règles du jeu Jack, j’était obliger. »
et Jack lui repond avant de sombrer
_ « Il me restait au moins une heure pour y arriver, c’était ça les règles que tu m’avait donner. »
Et Jack s’évanouis, avec des images souvenir de sa femme et de sa fille plein la tête. Quand il reprend connaissance, ses yeux sont encore fermer, mais il entend une voix familière qui lui dit _ « Ca y est, tu te réveille enfin, Tu nous a fait peur. »
Jack ouvre les yeux, mais les images sont toutes flous, on lui redit alors
_ « Est-ce que tu me voit là, t’as perdu beaucoup de sang, mais tes jour ne sont pas en danger Jack. »
Et quand il entend son nom a la fin de la phrase, il comprend que c’est l’homme, qui a jouer avec lui toute la nuit. Alors il force sur son regard et vois enfin son visage, un homme en costard, plutôt maigre, la cinquantaine, le visage ingrat, Jack regarde autour de lui, voit des militaires, qu’il est dans une pièce propre et qui sent bon. Alors il dit
_ « Où est ce qu’on est ? »
L’homme lui repond
_ « Mais de l’autre coter de la barrière, tu es de retour du coter des vivant et comme promis. C’est messieurs…. »
En pointant les militaires
_ « C’est messieurs, sont là pour tenir ma promesse, tu as jouer à mon jeu, tu as faillit gagner, tu était as deux doigts pourtant, mais ta dernière phrase ma laisser à réfléchir, c’est vrai que si tu avait eut ton temps impartis, tu l’aurait gagner, alors j’ai décider de remettre les règles comme au début. »
_ « Et ma femme….. Et ma fille, vous en faite quoi ? »
Lui repond Jack
_ « Comme je te le disait, j’ai décidé de remettre les règles comme au début du jeu, et tu peux choisir un pays pour recommencer une nouvelle vie. »
L’un des trois militaires qui était la lui demande
_ « Vous avez décidé d’aller dans quel pays, Monsieur ? »
_ « Arrêtez le, il a tuer ma femme et ma fille, c’est un criminel. » Répond Jack, l’homme l’accuse à son tour
_ « Moi criminel, c’est toi le criminel, j’ai plein de vidéo sur toi, tuant, massacrant d’innocente victime. »
_ « Tu te fou de ma gueule ? »
_ « Mais bien sur, je me fou de toi, mais tu ne m’écoute pas. »
_ « Quoi, je ne t’écoute pas ? »
Lui repond Jack en montant sur ses grand chevaux, l’homme lui explique alors
_ « Si j’ai changer les règles et que tu as gagner le jeu, ta femme et ta fille sont encore vivantes, repond moi ? »
_ « Oui, mais je t’es entendu leurs tiré dessus. »
_ « Moi, je suis comme saint Thomas, si je ne vois pas, je ne croit pas. »
répond l’homme, Jack ne comprend plus rien et demande
_ « Je ne comprend rien, ça veut dire quoi ?
_ « Ca veux dire que ta femme et ta fille ne sont pas mortes . » Jack n’y crois pas, une lueur lui parvient dans les yeux et l’homme continu
_ « Elles vont bien, elles sont dans la pièce a coter. »
Il fait un signe a un des militaire qui se trouvait près de la porte, celui-ci l’ouvre et Jack entrevois les jambes de sa fille, il s’exclame alors en la voyant arriver vers lui en disant
_ « Papa. »
_ « Merci………Oh ! Ma fille. »
Il pleure et la prend dans ses bras. Lui fait des bisous partout sur le visage, sa femme fait à son tour, son entrée dans la pièce et prend Jack par le cou, elle est en pleure aussi, elle lui fait un bisou, puis avec beaucoup de difficulté elle lui dit
_ « Merci Jack d’être venu, de ne pas nous avoir lâcher, je t’aime. »
Et ils s’embrassent tous trois mutuellement. L’homme en regardant ça, dit à Jack
_ « Alors, vous avez décidé d’aller ou ? »
Jack s’en hésiter repond
_ «  Peu importe, du moment que je suis avec ma famille. » L’homme dit au militaire
_ « Mettez les aux Etats-Unis, c’est bien là bas. »
Le militaire fait un signe de tête et l’homme continu
_ « Bon, Jack c’est pas que je m’ennuis avec toi, mais faut que j’y aille, j’ai un autre projet de jeu télé réalité, du même acabit, ça ne t’intéresse pas Jack ? »
_ « Non-merci, j’ai déjà donner, je passe mon tour cette fois ci. » _ « Tu m’étonne, au faite, on t’as retirer l’émetteur, récepteur et la micro camera, de ce coter la, tu es tranquille. »
Jack vérifie, pour l’oreille il est sur de rien, car la boursouflure est et sera toujours là, mais pour son œil, il ne sent plus la chose dur. L’homme lui demande
_ « Pourquoi, tu ne m’as écouter ? pourquoi tu as prit la porte de droite ? »
_ « Depuis le début du jeu, tu n’as fait que de me mentir, j’ai cru que tu me mentait encore. »
_ « Et non, Jack, c’est la seul fois que je te disait la vérité a ton avantage, je voulais que tu réussisse, pour mon premier jeu, je voulais que le héros gagne et c’est ce que tu as fait Jack. »
_ « Ouais, mais a quel prix. »
_ « Bon, on ne va pas revenir sur le passer, je peux serrer la main de mon héros, ça ne te dérange pas ? »
_ « Non, vas y. »
L’homme s’approche de jack, tend sa main, Jack lui tend la sienne, les deux homme se serrent la main. Quand tout à coup, Jack tire l’homme vers lui et lui décoche un coup de poing dans l’œil, avec son autre main. L’homme est éjecter en arrière, les militaires pointent leurs armes vers Jack, le producteur dit
_ « Maintenant, on est quitte.»
L’homme ordonne au militaire
_« Non, non, ne tirez pas, c’est de bonne guerre, vaut croire que je le méritais, bon Jack, je te souhaite bonne chance pour ta nouvelle vie. "
_ « T’inquiète pas, elle va être bonne. »
L’homme se dirige alors vers la porte, l’ouvre et au moment de la fermer regarde Jack et sa famille, puis il dit alors
_ « Salut Jack. »
Et referme la porte.
Quelque mois plus tard l’émission passa sur toute les télévisions du monde et ce fut un carton général.



                                                                           FIN 

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