L'antre de Baxter

                 Le tombeau caché            

 
 

     

                          En mille neuf cent quatre vingt seize, six étudiants de l’université du Havre, partent en expédition en Egypte. Spécialiser en égyptologie, ses six étudiants partent pour une semaine dans la vallée des rois, pour mettrent en pratique, leurs théories apprit en court. Arriver au Caire, ils louent une petite camionnette, achètent des vivres pour une semaine et partent tous les six pour la vallée. Dans cette camionnette, il y a Chris, Fabienne, Stéphanie, Pascal dix huit ans et Willy dix neuf ans. Tout aller bien, quand sur la route, ils se font arrêter par un barrage de la police militaire Egyptienne, ils se mettent sur le bord de la route, Eric étant au volant du véhicule, un policier lui demande
_ « Eteignez votre véhicule, les papiers de la voiture et vos passeports. »
Ils sortent tous leurs passeports, les papiers du véhicule et les donnes au policier, qui leur demande
_ « Vous allez ou, comme ça ? »
Le conducteur lui repond
_ « On va dans la vallée des rois, étudier. »
Le policier regarde ses compatriotes et enchaîne aux autres occupants du véhicule
_ « Vous ne devriez pas y aller, sans guide. »
Fabienne lui repond de l’arrière et avec le sourire
_ « Il n’y aura aucun problème, on l’étudie depuis des années, on le connaît comme si on y avait vécu. »
Un policier qui est en retrait lui repond
_ « Mais vous ne connaissez pas tous, de la vallée des rois. » Couper par un autre
_ « Tais-toi, c’est bon, vous pouvez y aller, mais faites attention a vous. »
Eric reprend tous les papiers et il dit
_ « Je vous remercie M. »
Et ils partent, un policier dit a ses congénères
_ « Tu n’aurais pas du les laisser passer. »
_ « Je n’ai pas le choix, on ne peut pas les interdire d’aller dans la vallée. »
_ « Oui, mais si, il….. »
Le policier est couper par un ancien, qui lui dit
_ « Qu’Allah les porte en sa protection ! »
Les étudiants arrivent dans la vallée des rois, vers seize heures, aussitôt mis les pieds au sol, ils contemplent le paysage et Stéphanie dit
_ « C’est encore plus beau que sur les photos. »
Fabienne enchaîne
_ « Je sens que cette semaine, vas être bénéfique pour nos études, on va repartir d’ici, avec une connaissance plus grande. »
Pascal lui constate
_ « Peut-être, mais pour l’instant, il va falloir monter le camp, on visitera après, on a une semaine, pour le faire. »
Et tous se mis en marche, le campement est monté en une heure et demis. Vers dix huit heures, tout est fini, Stéphanie et Fabienne font le repas, pendant que les gars font leur itinéraire pour le lendemain. Willy dit aux autres
_ « Et pour faire la commission, on fait comment ? »
Tu fais derrière un arbre et ce sera très bien. »
Lui repond Eric, d’un coup, Fabienne entend un bruit bizarre, alors elle constate
_ « Vous avez entendu ? »
Pascal lui repond
_ « Quoi ? Un bruit, je n’ai rien entendu. »
_ « Ca ressembler à un hurlement. »
Affirme Fabienne
_ « Mais non, c’est la fatigue, une bonne nuit de sommeil, ne nous fera pas de mal, après le voyage et le décalage horaire. » Constate Chris, Fabienne enchaîne
_ « Oui, tu as peut-être raison, bon, moi je n’ai pas faim, je vais me coucher tout de suite. »
Et elle part se coucher avec Stéphanie, qui elle non plus n’a pas faim. Les quatre gars parlent de choses et d’autres. Ils mangent et partent se coucher, vers vingt deux heures. Apres une bonne nuit de repos, Fabienne se réveille la première, alors elle fait le petit déjeuner pour tout le monde, lorsque tout a coup, elle crie en voyant quelque chose. Tous, se lèvent brusquement et Chris demande
_ « Qu’est ce qu’il te prend Fabienne, d’hurlée comme ça ? »
_ « Regardez la bas, regardez c’est quoi ? »
Paniquée, dit Fabienne, Eric part vers la camionnette, car sur le par brise de la camionnette, un mot y est poser, avec une tête de mouton, égorger à coté, Chris lis le mot a haute voix
_ « Partez ou restez, au péril de vos vies. »
Fabienne enchaîne
_ « Moi, je m’en vais, je n’est pas envies de mourir. »
Stéphanie lui dit
_ « Mais non, c’est des conneries, bien vu les gars, vous savez comment Fabienne est, ce n’est pas marrant vos blagues. »
Willy constate
_ « On vous jurent, que ce n’est pas nous. »
Il prend la tête du mouton et le jète loin dans la vallée et enchaîne
_ « C’est juste pour nous faire peur, il ne faut pas le prendre compte, les paysans ici, n’aime pas trop les touristes, mais nous ne sommes pas des touristes, nous sommes des Egyptologues, il faut qu’on reste, coûte que coûte. »
La discutions s’arrête là, Fabienne n’est pas bien, mais part avec les autre petit déjeunés. Apres le petit déjeuné, sans reparler de cette affaire, ils se rafraîchissant et partent, pour leur première journée d’expédition. Ils visitent le tombeau de Toutankhamon et de Ramsès. Le soir en rentrant au camp avec la camionnette, ils découvrent leur nourritures disparues. Eric dit à ses camarades
_ « Là, c’est sur que ce n’est pas nous. »
Pascal enchaîne
_ « On veux nous chasser, c’est sur. »
Fabienne, de moins en moins bien, repond
_ « Moi, je part, sincèrement, les hurlements, la tête et ça maintenant, je m’en vais. »
Eric lui repond
_ « Arrête, Fabienne de flipper comme ça, c’est une blague de mauvais goût, c’est tous. »
Stéphanie lui fait remarquer
_ « De qui ? C’est ça la question, de qui ? »
_ « Je ne sait pas, les paysans du coin, où j’en sait rien, tous ce que je sait, c’est qu’on ne doit pas partir, tous les grands découvreurs, au débuts, tous ont eut des pressions pareil, il ne faut pas renoncer. »
Lui repond Eric, Pascal entre dans la tante et dit
_ « En tous cas, ils nous ont laisser un peu de nourriture, dans la tante. »
Chris enchaîne
_ « Ils ne veulent nous tuer, ils veulent juste qu’on se n’aille, sinon, ils ne nous auraient pas laisser de la nourriture. »
_ « Moi, je m’en fou, demain, je veux partir." 
S’exclame Fabienne, Willy lui repond
_ « On attend pour l’instant, on verras demain ce que l’on feras. »
Ils se préparent donc a manger, avec ce que leurs ont laisser les voleurs, ils utilisent que la moitié de la nourriture et se couchent par la suite, sauf les quatre gars, qui eux discutent entre eux, Willy dit aux autres
_ « On ne vas pas s’en allés maintenant, ça fait que deux jours qu’on est là. »
_ « Mais oui, ça fait près d’un ans, que l’on prévoyait ce voyage, ce serait con de partir maintenant. »
Enchaîne Eric
_ « Ce n’est pas très prudent, quand même, on veux nous chasser, on nous menace de mort. »
Dit pascal, suivit de Chris
_ « Vous savez ce qu’on fait ? Eric vu qu’il nous reste cent cinquante euros, tu prendra la camionnette demain, tu iras acheter de la bouffe, tu refait le plein et on continu le voyage, au moins quelque jours, pour voir, ce qu’il vas ce passer. »
_ « Ouais, tout le monde est d’accord. »
Propose Eric, tous en accord, ils vont se coucher, mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que Fabienne a tout entendu de leurs conversations et pour sa part, le voyage s’arrête là. Alors dans la nuit, tout le monde dort, le calme plat, Fabienne qui faisait mine de dormir, se lève, s’habille, prend les clefs de la camionnette et sort de la tante. Elle monte dans le véhicule, l’allume et part. Le bruit du démarrage de la camionnette, réveille tout le monde, mais le temps d’arriver dehors, Fabienne et la camionnette sont loin. Eric dit à ce moment là
_ « C’est qui ? C’est qui, qui a prit la camionnette ? »
Stéphanie repond
_ « Fabienne n’est plus là, ça ne peut-être qu’elle. »
Et au loin, ils entendent un énorme bruit sourd de métal, tous se précipite vers le bruit, dans la nuit, éclairer de la pleine lune, qui peux œuvrer sans un nuage dans le ciel Egyptien. C’est la camionnette qui est entrée dans un gros rocher sur le bord du sentier. Une fois arriver sur place Stéphanie demande
_ « Fabienne, ou es-tu ? »
Une voix apeuré lui repond
_ « Je suis ici, en dehors de la camionnette. »
Ils vont tous vers Fabienne, qui a été éjectée du véhicule, la tête en sang, Eric lui demande
_ « Mais qu’est ce qu’il t’a pris, Fabienne ? »
_ « Je ne veux pas rester ici, moi demain, vous prenez les décisions vous-même, sans nous consulter. »
Lui repond Fabienne, Stéphanie enchaîne
_ « Qu’est ce qu’elle veux dire ? »
Pascal lui explique
_ « On a décider de rester, on va acheter de la nourriture avec les sous, qu’il nous reste, c’est tous. »
Chris enchaîne
_ « Ramenons Fabienne au camp, on la soigneras la bas, on verras demain, en plein jours, pour voir ce qu’a la camionnette. »
Les gars portent Fabienne pour la ramené au camp, ils la soignent et décident de retournés se coucher. Le lendemain matin, les quatre gars retournent a la camionnette, il a que des dégâts superficielles, la camionnette est opérationnelle, d’un coup, ou Fabienne a atterrie, quand elle fut éjecter, un morceau de pierre taillé, comme ceux des pyramide est découvert par pascal, qui dit aux autres
_ « Regardez, les gars, ce qu’il y a ici ? »
Ils regardent tout la pierre taillée et Eric dit
_ « Ce n’est rien, c’est juste une roche laissée là depuis des années, c’est tous, bon Chris regarde si la camionnette fonctionne. »
Chris l’allume, malgré un petit bruit bizarre, il dit
_ « C’est bon, elle roule. »
Eric prend la place de Chris au volant et dit
_ « Moi, je part pour le Caire, je vais acheter de la nourriture. » Il retourne au camp, prend l’argent et dit à Fabienne, qui viens de se réveillée, mais est encore coucher
_ « Fabienne, quand tu prend le véhicule, la prochaine fois, allume les feux, c’est mieux la nuit. »
Fabienne lui repond Eric, j’ai du me cogner fortement, je ne peux plus me lever, je ne peux plus me servir de mes jambes. »
_ « Reste coucher, ça iras mieux demain, c’est le choc. »
_ « Tu part pour le Caire ? »
_ « Oui. »
_ « Prend moi, ramène moi a l’aéroport, je veux rentrer. »
_ « Non, on est partis à six, on reviendra à six, ne t’inquiète pas, tous se passera bien. »
Et il remonte dans la camionnette et part. Stéphanie qui est là, dit à Fabienne pour la rassurer
_ « Et puis, ne t’inquiète pas, on est là, on prendra soin de toi. » Pendant ce temps là, sur le lieu de l’accident, Pascal dit a Willy et Chris
_ « Ca me paraît bizarre, cette pierre. »
Willy lui repond
_ « Ouais, moi, je voudrais bien savoir, ce qu’une pierre taillée fait là ? »
_ « Venez, on retourne au camp, on prend le matériel et on reviens faire des fouilles. »
Propose Pascal. Ils retournent au camp, prennent le matériel et Stéphanie leurs demande
_ « Vous faites quoi là ? »
Willy lui repond
_ « On as trouver un truc bizarre la bas, on vas fouilliez. » Stéphanie demande
_ « Attendez, je peux venir avec vous ? »
Fabienne apeuré, qui faisait mine d’être endormis, se réveille et lui demande expressément
_ « Non, Stéphanie, ne me laisse pas seul, s’il te plait. »
Chris lui confirme
_ « Elle a raison, reste avec elle. »
_ « D’accord Fabienne, je reste avec toi. »
Stéphanie s’assois a coté d’elle et les gars repartent. Arriver sur place, ils commencent a déblayer la terre, pendant une heures et demis, ils creusent, jusqu’au moment, ou ils découvrent un os. Pascal dit a ses camarades
_ « Je vous l’avait dit, que ça avait l’air bizarre. »
Ils continuent de creuser, a peu plus loin, sous une autre couche de terre, ils découvrent un bras d’homme squelettique, alors Willy demande
_ « Putain, c’est quoi ce truc ? »
Pascal rétorque
_ « Tu ne vois pas?"
C’est un bras Ils se mettent des gants, Pascal attrape les os et les mets dans un sac, en disant
_ « On retourne au camp, on attend qu’Eric revienne et on en parlera avec le groupe. Willy, qu’est ce que tu crois qu’il y a, après ? »
_ « Une chambre mortuaire, peut-être. »
Lui répond-il, Chris enchaîne
_ « Ouais, d’un pharaon, pas encore découvert. »
_ « On verra, pour l’instant, on retourne au camp. »
Dit pascal, Willy lui propose
_ « Pourquoi faire ? Viens, on continuent. »
_ « Non, on attend d’avoir l’avis de tout le monde, ça se tombe, on a découvert un cimetière, ou autre chose, c’est mieux d’avoir l’avis de tous. »
Ils retournent au camp a pied et en route, Eric reviens du Caire. Ils s’arrête à leurs niveau et leurs demande
_ « Montez, je vais vous ramener. »
Ils montent, vont au campement, arriver là, ils sortent la nourriture de la camionnette et Pascal enchaîne, une fois fini
_ « Venez tous ici, regardez ce qu’on a découvert la bas. »
Pascal sort les os du bras et Eric dit
_ « Vous l’avez trouver ou ? »
_ « On l’a trouver, ou il y avait la pierre taillée. »
Répond Pascal, couper par Chris
_ « Et on voulait avoir l’accord de tous, pour continuer à creuser. »
Fabienne dormais, Stéphanie était la seul a ne pas vouloir, continuer les recherches, pour Fabienne, qui était très mal en point. Mais comme les quatre autres étaient d’accord, ils y retournent et creusent, creusent, pendant des heures, trouvant un os, par ici, un crane, par-là. La nuit tombante, Willy propose _ « On vas rentrer, on as déjà creuser au moins cinq mètres, on continueras demain ? »
Tous d’accord, il rentrent avec les morceaux d’ossements en guise de trophées. Arriver au camp, Stéphanie ayant expliquée à Fabienne ou était partis les gars, Fabienne leurs dit
_ « Mais vous êtes fou, les gars ? Déterrer des ossements, ça porte-malheur ici. »
_ « Et bien, on as trouver, un fémur, un crane, un morceau de colonne vertébrale. »
Lui repond Eric, Willy lui enchaîne
_ « Là, on as arrêter de creuser, mais on y retourne demain. » Fabienne s’exclame
_ « Vous êtes fou, moi je ne dort pas, a coter d’os humain, si ça se trouve, il y a une malédiction sur eux. »
Pascal dédramatise
_ « Et bien, on vas les mettrent la bas, prêt de la voiture. »
Ils met les os, prêt de la camionnette, ils mangent et se couchent. Les gars sont épuiser de leurs journée, mais dans la nuit, ils entendent un bruit de voiture, ils se lèvent tous, sauf Fabienne qui reste au lit. Lorsqu’ils sortent de leurs tante, ils voient un des policiers qui les avaient arrêter, qui leurs demande
_ « Ca vas les étudiants français, vous faites quoi ? »
Eric leurs repond
_ « Là, on dormaient. »
_ « Oui, excusez-nous de passer à cette heures là, mais tout ce passe bien ? »
Pascal lui dit
_ « Oui, Oui, ça vas pas mal. »
Le policier rétorque
_ « Vous n’avez pas découvert de problème ? »
Stéphanie rétorque
_ « Oui, on nous a menacer de mort et on nous as voler presque toute la nourriture. »
_ « C’est très courrant dans ce coin là, il ne faut pas laisser votre camp, sans surveillance, vous avez fait quoi aujourd’hui ? » Demande le policier, tous les étudiants se regardent et Willy repond
_ « Rien, on visite. »
_ « Ne visitez pas n’importe quoi, bon, et bien moi, je vais y allez, bonsoir. »
Il remontent dans sa voiture et se dit en partant
_ « Pauvre étudiants, je fait tous pour qu’ils partent, mais rien y fait. »
Stéphanie dit en regardant la voiture partir
_ « Il a voulut dire quoi, avec son, ne visitez pas n’importe quoi ? »
Eric fatiguer lui repond
_ « On s’en fou, venez, on se recouchent, il est tard, on as du boulot demain. »
Et ils ce re-couchent tous. Le lendemain, Stéphanie fait le petit déjeuner, il petit déjeune tout ensemble, même Fabienne, qui réussi déjà à se relever et a re-marcher, avec difficulté, mais elle marche et c’est encourageant. Apres le petit déjeuner, les gars retourne a l’endroit des fouille et là, qu’est ce qu’il vois, le trou est presque recouvert, alors Chris constate
_ « Putain, c’est quoi se délire ? »
Pascal l’enchaîne
_ « Je vous le dit, on veux nous chasser pour ça. »
Eric, lui demande
_ « Willy, tu as pris ton appareil photo ? »
_ « Bien sur. »
Répond Willy
_ « Tiens prend les ossements en photos. »
Lui demande Eric, Ce qu’il fait, tandis que les deux autres, commencent à creuser sans se décourager, Pascal est remonter à bloc et dit
_ « Faut qu’on creuse, on vas découvrir quelque chose de grand, je le sent. »
Et il est couper, par un bruit bizarre, comme un grattement de chien sur une porte et tous s’arrête. Ces évènements, les pousse a creuser d’arrache pied, toute la journée, ils creusent et d’un coup, Eric met un coup de pelle et dit
_ « Je suis tomber sur un truc dur."
Alors, ils déblayent tous, c’est un morceau de bois, qui ressemble a une porte, il libère cette dernière, l’ouvre et découvrent un couloire de cinq mètre de profondeur et en son fond, une autre porte de bois. Les quatre gars se regardent, se congratule
_ « Ouais, on as réussi. »
_ « On a découvert quelque chose. »
_ « On est des découvreurs. »
D’un coup, les grattement reprennent, ils se regardent et les grattement se transforment en tapement. Comme si, on frappait dans une porte, pas avec les doigts, mais avec les poings. Les gars n’osent plus parler, de la peur, peut se lire sur certain visage, Eric rompt le silence et dit
_ « Il y a quoi ? Derrière ces planches. »
Pascal lui repond
_ « Moi, ça me fou les jetons, je me casse. »
Ils commencent à partir et au loin Stéphanie les appelles
_ « Les gars venez, Fabienne veux prendre la camionnette pour partir. »
Aussitôt, ils se mettent tous a courir, vers le camp, la bas Chris dit à Fabienne
_ « Pourquoi, veux-tu partir ? »
_ « J’ai un mauvais pressentiment, j’ai envies de m’en aller. »
En se mettant à pleurer, ils la console tous, la calme et elle se recouche. Stéphanie demande aux gars
_ « Vous avez trouver quelque chose, qu’on puisse partir ? » Willy lui repond
_ « On as trouver quelque chose, mais on ne sait pas ce que sait, c’est pour ça, on vas y retourner ? »
Pascal rétorque
_ « Vous peut-être, pas moi, je reste ici. »
Eric lui dit
_ « Arrête de faire ta pleureuse, tu es avec nous, ou tu reste avec les gonzesses ? »
Pas rassurer, ils y retourne tous, sauf Fabienne qui dort et Stéphanie qui reste avec elle au camp. De retour la bas, il peuvent constater, que la soit disant porte est défoncer. Chris demande
_ « C’est qui, ou quoi, qui a fait ça ? »
Eric rétorque
_ « Je ne sait pas, mais ça fait un sacré baroufle. »
Pascal apeuré demande
_ « Moi, je me barre, les gars venez, je le sent mal ? »
Eric Enchaîne
_ « Pour une fois, je suis d’accord avec toi. »
On peut entendre des gémissements, des hurlements, Chris qui est le près de la sorti, se retourne et là, Pascal, Eric et Willy le suivent pour sortir. Sur la route du retour, ils entendent Stéphanie hurler, alors ils se mettent à courir, une pelle a la main , arriver au camp, ils voient Stéphanie en lutte avec une chose délabrer, avec des lambeau de chaire en décomposition, qui lui pendent de partout et un bras lui manque. Stéphanie voyant les gars revenir, elle leurs demande
_ « Aidez-moi, s’il vous plait. »
Alors Eric, prend son courage a deux mains et lui met un coup de pelle en pleine tête, qui s’arrache de son corps et atterrie a quelque mètres. Un liquide bleuâtre sort de son corps, il se répand sur Stéphanie, la chose tombe sur elle, elle demande aux gars
_ « Enlevez-moi ça de la, dépêchez-vous. »
Les gars lui enlèvent et a ce moment là, Fabienne sort de la tante, en disant
_ « Qu’est ce qu’il se passe ? »
Stéphanie lui repond
_ « Je viens de me faire agresser par un monstre. »
Chris lui demande
_ « Ca vas Stéphanie, tu n’as rien ? »
_ « Non, ça vas, je n’est rien, merci, Eric d’être venu m’aider. » Eric lui repond
_ « Mais, c’est normal, on doit s’aider entre amis. »
Willy fait constater aux autres
_ « Mais, ça doit être la chose, qu’il y avait derrière la porte ? » Pascal leurs dit
_ « Regardez, les bijoux qu’il a sur les doigts et sur le corps, ça doit valoir des millions, tous ça. »
Eric retire tous les bijoux qu’il y a sur le corps et dit
_ « Ca vaut des millions, voir même des milliards. »
Stéphanie se lève et dit
_ « Oh ! C’est dégouttant ce truc bleue, il m’a griffer, bon, je vais me nettoyer. »
Elle part se laver, pendant ce temps là, les gars discutent, de ce qu’ils viennent de découvrir. Eric constate
_ « Si, il y a d’autre truc comme ça, a l’intérieure du trou que l’on viens de trouver, on va devenir milliardaire. »
Pascal lui fait remarquer
_ « Mais si, il y a d’autre monstres, comme celui là, a l’intérieur ? »
Willy lui repond
_ « On feras comme on viens de faire pour celui-ci, on lui tranche la tête avec nos pelle, c’est tous. »
_ « Moi, je suis prêt a tuer quelqu’un, pour devenir milliardaire. »
Dit Chris, Eric demande
_ « On y retourne, prenez les lampes torches, il doit faire noir a l’intérieur. »
_ « Vous allez y retourner ? »
Demande Fabienne, Pascal repond
_ « Moi, je ne veux pas y retourner. »
_ « Arrête Pascal, tu viens avec nous, un point c’est tous. »
Lui dit Eric, Chris enchaîne
_ « Oui, on y retourne, pourquoi tu veux venir ? »
_ « Non, tu es fou, vous êtes fou, vous allez tous vous faire tuez. » Dit Fabienne, Eric lui fait remarquer
_ « Ne dit pas n’importe quoi, Fabienne ? »
Ils prennent les lampes torches, les pelles et retournent à pieds vers le trou. Apres cinq minutes, Stéphanie reviens au camp, propre comme un dessous neuf et elle demande à Fabienne
_ « Ils sont ou là ? »
_ « Ils y sont retourner. »
_ « Mais ils sont fou, ils vont se faire tuer. »
_ « C’est ce que je leurs est dit, mais ils ne m’ont pas cru. »
_ « Regarde, ce qu’il m’a fait, cette enfoiré. »
Elle fais voir à Fabienne, les griffures qu’elle a, c’est des griffures d’une vingtaine de centimètres, avec un liquide bleuâtre comme le sang de la chose, qui sort de la griffures. Fabienne lui dit
_ « Fais-toi un pansement et vas te coucher. »
Ce qu’elle fait, pendant ce temps, les gars arrivent au couloire, tous attendent, qu’un prenne les devant, alors Eric dit
_ « Peureux, je vais y aller. »
Il entre, suivit des autre, les hurlements sont plus fort et plus impressionnant, Pascal qui est le dernier à rentrer dans le couloir, il dit à Eric
_ « Eric, allumons nos lampes ? »
Ils les allument, passent derrière la porte et de même éclair les lieux. Ils peuvent voir des hiéroglyphes sur les murs, des tas d’os un peut partout, là, une de ces choses est pendu par les pieds, mais qui bouge encore, qui hurle et gémit en les regardant. Pascal pris d’une frousse, se retourne pour sortir, mais là, il vois le policier, Pascal dit aux autres
_ « Le policier est là. »
Et continu, en s’adressant au policier
_ « M., il y a des choses bizarres la dedans. »
Le policier lui repond
_ « Je sait, je suis au courant. »
_ « Et puis, vous ne faites rien pour ça ? »
Lui demande Chris
_ « Qu’est ce que vous voulez qu’on y fasse. On essais de les cachées, depuis des années et des années. Mais il y a toujours des hommes comme vous, qui viennent et mettent leurs nez la de dans. »
Pascal commence à revenir dans le couloir et le policier lui dit, en sortant son arme
_ « Ne bougez pas. »
_ « Et pourquoi ? »
Demande Eric, Pascal continu en pleurant
_ « Laissez nous sortir, s’il vous plait. »
_ « Je ne peux pas. » Répond le policier, il se recule, sort du couloir, en pointant toujours son arme sur les étudiants, il sort un bâton de dynamite et la Chris lui dit
_ « Qu’est ce que vous compter faire ? »
Le policier ne repond pas, allume le bâton, le jette au bord de l’entrer et s’en vas très vite en disant
_ « Excusez-moi. »
Eric hurle à ce moment là
_ « Venez vite. »
Et il emmène les autres, derrière la porte. Une explosion fait un baroufle d’enfer, l’entrer s’effondre, un éboulement rend la sorti obsolète, pour les étudiants. Au camp, les deux filles entendent l’explosion, Fabienne dit à Stéphanie, qui est de plus en plus mal
_ « C’est Quoi ? »
_ « Je ne sait pas, mais qu’est ce que j’ai mal. »
Stéphanie a un teint blanchâtre, ses yeux sont jaune, sa peau vire au bleue autour de sa blessure. Fabienne sort de la tante, aperçoit un nuage de poussière vers le lieu de l’accident, elle retourne dans la tante et dit à Stéphanie, qui dort en respirant très lentement
_ « C’est sûrement un éboulement, la nuit est entrain de tombée, on vas attendre les gars et on vas manger. »
Elle as juste un petit hochement de la tête, de la part de Stéphanie. Fabienne allume une lampes et attend les gars. Mais ils sont enfermer dans le sanctuaire, sans paniquer, Eric dit aux autre
_ « Tout le monde va bien ? »
Tout le monde repond que oui, aucun blesser, ils attendent que la poussière retombe, avec les hurlements de la choses, une fois tomber, Eric continu
_ « Regardez, vous sentez le courrant d’aire ? »
Pascal lui repond
_ « Je m’en fou de ton courrant d’aire, on vas tous crever. »
Eric s’approche de lui, lui met une baffe, en lui disant
_ « On ne vas pas crever, si je vous demande, si vous sentez le courrant d’aire, c’est qu’il y a une sortie quelque part, le courrant d’aire n’est pas la tout seul, venez, on vas la chercher. »
Chris constate
_ « Il ne faut, sous aucun prétexte, qu’on se sépare, ok. »
Tous en masse, ils éclairent devant eux, pour voir, si, il y a une sortie, ils passent devant la chose, qui essais de les attraper au passage, Chris de peur qu’il ne l’attrape, lui met un coup de pelle en pleine tête, cela ne suffit pas, alors il lui en met un deuxième. Avec celui-ci, son crane éclate, du liquide bleue en ressort et la chose ne bouge plus. Pascal qui est toujours dernier fait constater
_ « Je te remercie, je ne serais jamais passer, j’ai les fois. »
Eric devant aperçoit sur sa gauche un escalier descendant, il dit _ « Il y a un escalier qui descend, on y vas ? »
Pascal lui repond
_ « Je suis en train de chier dans mon froc. »
_ « Ne t’en fait pas, tu es avec nous. »
Lui repond Willy, Chris tout en descendant l’escalier demande
_ « C’est quoi, c’est trucs en vrai ? »
_ « Des morts-vivants. »
Repond Willy, Eric leur dit
_ « Ne dites pas de conneries. »
_ « Non et bien, c’est quoi alors pour toi, ça ressemble à des zombies, on se croirais dans un film de George A. Roméro, le jour des morts-vivants, ont se croiraient dedans. »
Ils descendent en éclairant bien devant eux, plus ils descendent, plus des cris, leur vienne dans les oreilles, en bas des escaliers, deux sarcophages sont sur leurs droites, Eric leurs dit
_ « Vous, vous imaginez, deux sarcophages, que peut-être personne n’a eut l’occasion de voir. »
Les sarcophages s’ouvrent, des horreur en sortent, Pascal dans une peur dit
_ « Remontons, on vas crever. »
Eric réplique
_ « Mais, non, il faut les tuer. »
Il court sur un et lui met des coups de pelle dans la tête, Chris et Willy vont sur l’autre et en font de même. En quelque secondes, les deux monstres sont tuer, Pascal s’effondre au sol, les trois autres sont remplis de cette substance bleuâtre, Eric dit
_ « Merci, Pascal d’être venus nous aidés, c’est très courageux. » _ « J’ai peur, je n’y peut rien, j’ai peur. »
Répond Pascal, Eric rétorque
_ « Et tu crois que nous, nous avons pas peur, on as peur, mais il faut bien qu’on les tues, espèce de connard. »
Chris arrête la discutions
_ « N’en parlons plus, continuons, faut qu’on sortent d’ici." Alors, Eric continu dans ce long couloir, suivi de Chris, Pascal et Willy. Ils continuent et voient sur leurs droite, une porte avec derrière des cris, des hurlements et des grattements. Pascal dit aux autres
_ « Faut pas l’ouvrir. »
Eric repond
_ « Mais non, le courrant d’aire ne passe pas par-là, il va tout droit. »
Ils continuent leurs chemin, là, ils voient un escalier qui monte et Eric dit
_ « On vas monter, c’est de par-là, que viens le courrant d’aire. » Les cris sont de plus en plus fort, des tapements sur la porte, qui viennent d’en bas, son vraiment impressionnant, en haut des marches, un mur s’y poste, avec un trou gros comme une main. Chris regardant, il dit
_ « Regardez, c’est des briques réfractaires, ça ne fait pas longtemps, qu’il a été fait. »
Willy s’approche du trou, regarde dedans et dit
_ « Je vois la lune et les étoiles. La sortie est derrière. »
Tout a coup, Pascal dit
_ « Laissez moi passer, il faut le casser ce mur. »
En bousculant tout le monde. Pendant ce temps là, au camp, Fabienne parle toujours avec Stéphanie, elle lui dit
_ « Qu’est ce qu’il font les gars ? »
Elle ouvre la tante, regarde si, ils n’arrivent pas, elle se retourne et elle vois Stéphanie se lever. Elle se dirige vers Fabienne en hurlant et criant, mais dehors, le policier qui regarde la scène, Stéphanie saute sur Fabienne, il lui tire dessus, de la cervelle bleuâtre, éclabousse le visage de Fabienne. Cette dernière se met à pleurer, vois le policier, le revolver a la main et elle lui dit
_ « Pourquoi avez vous fait ça ? »
_ « Si je ne l’avais pas tuer, c’est elle qui vous aurez tuer. » Constate le policier, Fabienne continue
_ « Mais qu’est ce que vous raconter ? »
_ « Elle était devenue un zombie. »
_ « Comment ça ? Un zombie, vous vous moquez de moi ? »
_ « Non. »
_ « Mes amis sont pas encore rentrer, vous pouvez m’aidez à les retrouver ? »
_ « Vous ne les retrouverez jamais. »
_ « Et pourquoi ? »
_ « Parce qu’ils ont découvert, quelque chose qu’ils n’auraient jamais du trouver. »
_ « De quoi ? »
_ « Ils ont découvert un grand secret depuis des millénaires. »
_ « Arrêtez de mentir. »
_ « Il y a des années et des années, au temps de pharaons, un pharaons aux idylles maléfique, pratiquait la magie noir, mais tellement qu’il l’a pratiquait, qu’il c’est lui-même transformer, lui es ses sujets de son entourage, en bête du malin. Mi-mort mi-vivant, ils tuaient tout le monde, un jours un groupe de rebelle, les ont enfermer dans ce sanctuaire et vos amis allez les refaire sortirent. Alors j’ai été obliger de faire sauter l’entrer à la dynamite, avec eux a l’intérieur. J’ai essayer de vous faire partir, mais vous ne l’avez pas fait, partez ou restez au péril de vos vies, vous êtes rester. »
_ « Moi, je voulait partir. »
_ « Fallez, vous en allez. »
_ « Vous êtes entrain de me dire, que vous avez enfermer, mes amis dans cette chose de l’horreur. »
Le policier lui repond désoler
_ « Oui, mais je n’avait pas le choix. »
Fabienne dépiter lui demande
_ « Mais qu’est ce qu’ils vont devenir, ils vont se faire tuer la dedans ? »
_ « Et bien oui, mais fallait partir. »
Fabienne redouble ses pleures et là, elle entend un hurlement, c’est le hurlement de Pascal qui en voyant la porte céder devant ces monstres. Une cinquantaine de zombies sortent de la pièce, il y en a des tas, des grands, des petits, des gros, des maigres, ils s’approchent des étudiants. Qui se défendent t'en bien que mal, sauf Pascal qui lui se fait dévorer, par cinq monstres, sans se défendre. Chris est le suivant, enchaîner par Willy, Eric est le plus combatif, il se bat jusqu'à la fin, même quand il se fait manger, il tape sur ses morts-vivants, jusqu'à ce qu’il meurt. Dans le tombeau ont vois les pauvres étudiants se faire dévorer, par c’est bêtes, assoiffées de chaire fraîche. Dehors le policier dit a Fabienne, a la fin des cris de douleur des ses quatre amis
_ « Vos amis sont mort. »
_ « Non, ce n’est pas possible. »
_ « Croyez-moi. »
Le policier regarde le ciel et enchaîne, en regardant Fabienne
_ « Désolé, je suis obliger, il ne faut aucun survivant, vous connaissez l’histoire, vous pourrez la raconter partout. »
Il sort son arme et Fabienne lui dit
_ « Non, je vous jure que je n’en parlerait à personne. »
Il lui tire une balle dans la tête, le corps de Fabienne touche le sol, du sang gicle de partout, le policier s’en vas tranquillement en disant
_ « Qu’Allah me pardonne. »

                                                                   FIN 

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