L'antre de Baxter

                        L'accident(s)      

 
 



                                Nous sommes dans les années soixante, soixante neuf pour être plus précis, cette histoire, commence un matin, l’un de ces matins ou tous ce que l'on entreprend, ne ce déroule pas comme on le voudrait. Nous, nous allons nous préoccuper de M. Vilmain, leader de l’association, lutte contre le mouvement des femmes. A l’heure ou commence cette histoire, Jacques, c’est à dire M. Vilmain, est en réunion avec ses collaborateurs et adhérents, M. Vilmain ouvre les débats

_ « Bon, mes chères camarades, il y en a assez, de toutes ces femmes, qui se croient tous permis. Aujourd’hui même, elles manifestent devant le ministère du travaille, elle demande qu’il y aille plus de femme sur le marcher du travaille, plus de femme au travaille, ça feras autant moins de place pour les hommes, sont-elles folle, je leurs en mettrait, moi. Alors, a cette occasion, nous les anti-femmes, nous allons mettre notre grain de sel a cette manif, nous allons nous former comme ça, Fabien et Stéphane, vous prenez la quatre chevaux, Chris, Pascal et Patrick, prenez la deux chevaux et vous adhérant, rejoignez-nous face le ministère du travaille. On va leurs montrés de quel bois on se chauffe, nous les mecs, a ce sexe faible. »

Des cris déterminer ce fait entendre dans la foule, M. Vilmain conclu

_ « Allons-y, ne perdons pas de temps. »

Tous se précipitent sur les ordres de Jacques, qui lui enchaîne

_ « Pascal, viens me voir, s’il te plait. »

_ « Oui, qu’est ce que tu veux ? »

_ « Mon cher Pascal, j’ai remarquer ce matin, quand j’ai mis le nez dans les compte de l’asso. Tu n’as pas encore payer ta cotisation du mois dernier, qu’est ce qu’il se passe, Pascal ? »

_ « Rien, je n’ai pas pu payer la cotisation, parce que ma femme est tomber sur les sous et c’est payer des chaussures avec, mais je vais la payer, ne t’inquiète pas. »

_ « Voilà, c’est ça les femmes, mais ne t’en fait pas, tu payeras le mois prochain, deux mois d’un coup, bon, allons-y, on nous attend. »

Par la suite, ils partent tous à leurs postes. M. Vilmain prend sa voiture, une GS toute neuve, remonté à bloc, pour faire une contre manif, a la manif. Ils partent sur les chapeaux de roues, en tête de cortège, M. Vilmain, suivit de ses sbires et dans un carrefour. M. Vilmain et sa troupes sont bloquer par une voiture, qui elle-même est bloquer par un camion, qui est garer en double file. La voiture de devant a la place de passer, mais hésite, peur qu’il n’y ait pas assez de place. M. Vilmain lui dit en klaxonnant

_ « Hé ! Abrutie, il y a au moins la place pour deux voitures, je n’ai pas que ça a faire. »

Aussitôt, une personne sort de la voiture et cette personne est une femme. Elle lui demande

_ « Je m’excuse M., mais j’ai le permis depuis peu, alors, si vous pensez que je passe, fait passer ma voiture, alors ? Moi, je n’y arrive pas. »

M. Vilmain enchaîne

_ « Tu la voulut ton permis, tu l’as, alors tu passe, tu ne crois pas que je vais jouer, les chauffeurs, pour Mme »

Alors, il fait une marche arrière, mais en se faisant, il se retrouve dans le carrefour, a la vitesse qu'il va, il ne peut éviter la voiture qui lui arrive sur sa droite. D’un coup, un flash vient a ses yeux, il perd connaissance sous le choc. Apres quelques minutes, il revient à lui, il ne peut plus bouger, à cause du choc, une dames est à ses coté et lui dit

_ « Mon cher M., ça vas ? Plus de peur que de mal. »

Sa réponse est sans équivoque

_ « Ne vous occupez pas vous, je ne vous est rien demandez. »

Un attroupement entoure sa voiture, pratiquement que de femme, l’une d’entre elle dit dans la masse

_ « On ne devrais pas laissez les hommes conduire. »

Une autre dit

_ « C’est ça les hommes au volant, toujours des accidents. »

Outrer, parce qu’il viens d’entendre, Jacques dit

_ « On pourrais en dire autant de vous, vous-même, vous ne savez pas conduire. »

Les femmes dans l’attroupement commence à gronder, quand arrive une ambulance, deux femmes en descendent et s’approche de M. Vilmain. Ce dernier désordonné leurs demande

_ « Vous n’avez pas d’homme dans votre service ? »

L’une des deux répliques

_ « Vous êtes un macho, mon garçon ou quoi ? »

_ « Je ne vous permet pas, pour moi, vous serrez toujours que des gronniasses. »

De ces mots, rien n’en ressort de la bouches des femmes, seul trois hommes assistent à la scène, l’un d’eux lui dit

_ « Oh ! Tu es fou de leur parler comme ça ? »

Les femmes de l’assistance se mettent à ricaner, les deux ambulancières, a ce moment là, essayent de le sortir de la voiture, Jacques ne se laisse pas faire et dit

_ « Laissez-moi tranquille, j’ai besoin de l’aide de personne, moi je suis un mec, un vrai. »

En sortant de la voiture, il se rend compte, que ses amis de l’association, ne sont plus là, alors il demande à un des hommes de l’assistance

_ « Ils sont où, les voitures qui était derrière moi ? »

L’homme lui repond

_ « Quel voitures, il n’y avait pas de voiture. »

_ « Les quatre voitures, qu’il y avait derrière moi, elles étaient remplit d’hommes, où sont-ils ? »

_ « Dedans, il y avait que des hommes ? »

_ « Oui. »

_ « A Paris (prononcer à l’Américaine), il doit y avoir qu’une grande dizaines d’homme qui conduise la voiture, y comprit toi. »

_ « Tu es fou, tu sort d’une asile de fou, où tu en fait exprès. »

_ « Regarde autour de toi, regarde dans toutes les voitures, au volant, c’est quoi ? Que des femmes, tu débarque-toi, tu arrive d’où ? »

M. Vilmain regarde les voitures autour de lui et effectivement, que des femmes au volant, leurs voitures lui semble futuriste, elles sont petites et ne ressemble à aucune voiture qu’il a l’habitude de voir, décontenancer, il demande

_ « Mais qu’est ce qu’il se passe ? Je ne comprend plus rien, c’est quoi c’est voiture ? Pourquoi, c’est une femme qui fait la circulation ? »

En montrant du doigt une femme policier, qui fait la circulation, le carrefour n’est plus fluide, depuis l’accident, une autre femme policier s’approche de lui et lui demande

_ « Pourrais-je avoir votre permis, s’il vous plait ? »

_ « Non, a tout le monde, mais pas a vous, je le donnerais qu’à un homme. »

_ « Mais de quoi vous parlez ? Ca n’existe pas. »

Lui repond le policier

_ « Arrêtez de vous foutre de ma gueule, c’est quoi, une camera cachée ? »

_ « Restez correct, je suis correct avec vous, alors restez polis. »

Lui demande le policier, qui continu

_ « Je vais vous reposez la question, votre permis M., s’il vous plait ? »

_ « Ne me faites pas chier, je vous l’ai dit, je ne le donnerais, qu’a un homme. »

Répond Jacques qui s’énerve, le policier conclu

_ « Bon, ça suffit, je vous arrête pour insulte a agent de police et refus d’obtempérer. »

_ « Vous rigolez ? »

_ « Non. »

_ « Et bien vous me faites rire. »

Les femmes de l’assistance son outrer, un homme de cela, lui dit

_ « Arrête garçon, tu va finir en niouf, avec celle-ci, elle ne rigole pas. »

_ « Je m’en fou, je ne vais pas me faire commander par des femelles. »

Le policier, appelle ses collègues, qui se trouvait sur le lieux

_ « Les filles, venez m’aider, j’ai besoin de renfort. »

Quatre femmes arrivent vers Jacques, ce dernier dit

_ « Vous croyez me faire peur ? »

Mais en deux temps trois mouvement, Jacques a les menottes au poignez et très énerver, il leur dit

_ « Enlevez-moi ça tous de suite, espèce, espèce de, espèce de femme ? »

L’une des femme policier lui repond

_ « Hou ! L’insulte, espèce de femme, vous n’aviez pas mieux au magasin, vous n’avez plus rien en stock ? »

Alors il l’emmène dans leur voiture, une fois dedans, Jacques leur demande

_ « On vas où ? Maintenant. »

La conductrice lui repond

_ « On vous emmène au commissariat, tu vas t’expliqué avec le commissaire. »

Ne disant rien, M. Vilmain pense

_ « Au moins, je vais pouvoir voir un homme, qu’est ce que c’est que ce délire ? »

Et en regardant bien les rues, il se rend compte, de ce que lui a dit l’homme, presque, que des femmes aux volants des voitures. Ne sortant aucun mot pendant la route, arriver au commissariat, Jacques demande

_ « Hé ! Les poufs, ramenez-moi au commissaire, j’ai deux mots a lui toucher. »

L’une des femmes lui repond

_ « Ne vous inquiétez pas, c’est ce qu’on avait l’intention de faire. »

Ils entrent dans le commissariat et quel fut ça vision, dans celui-ci, que des femmes, il vois un homme, mais celui-ci fait le ménage. L’une d’entre elle l’emmène dans une pièce ou sur la porte est inscrit

Commissaire Vautier

Alors il lui dit

_ « Attendez que je vois le commissaire Vautier et vous allez voir, ce que vous allez prendre. »

Elle le pose sur une chaise dans le bureaux, lui enlève ses menottes et en sortant, lui dit

_ « Attendez ici, le commissaire vas arriver. »

Et elle referme la porte, M. Vilmain vois une affiche, où est inscrit, La police et l’armée recrute, si vous êtes une femme, vous avez entre dix huit et vingt cinq ans, vous n’avez pas de travaille, rejoignez ces deux corps de métier. Dégoutter par cette affiche, il pense tout haut

_ « Mais qu’est ce que sait ces conneries ? »

Au même moment, une femme entre dans la pièce et il lui demande

_ « C’est quoi cette affiche ? Depuis quand, l’armée de terre et la police recrute t-il des femmes ? »

La femme lui repond

_ « Depuis toujours, les hommes ne sont pas assez intelligent pour le faire, ça se sait depuis toujours. »

_ « Qu’est ce que vous racontez ? Je l’ai fait moi l’armée. »

La femme se met à rire en disant

_ « Ah bon ! Vous, vous avez fait l’armée, vous n'avez rien d’autre pour me faire rire, les hommes sont interdit à l’armée, comme dans la police, seulement les plus intelligent ont le droit de la faire, c’est à dire les femmes. »

_ « Ah! Et depuis quand l’armée et la police cherche des grosses têtes ? »

_ « Vous, vous n’avez pas l’aire très intelligent. »

_ « J’arrête de parler avec vous, vous m’énervez, quand, je vais pouvoir voir le commissaire ? »

_ « Oui, bien sur M., vous l’avez devant vous. »

_ « Non, ne me dites pas, ce n’est pas vous le commissaire ? »

_ « Et bien oui, mon petit M. »

Lui repond la femme

_ « Excusez moi, mais ils sont ou les hommes ici ? »

_ « Mais qu’est ce que vous avez avec les hommes ? Ils n’y en as ni a l’armée, ni dans la police, nul part. »

_ « Comment ça ? »

_ « Nous ne sommes pas là, pour parler de ça, maintenant, vous allez peut-être bien vouloir me pressentez vos papiers ? »

Déconcerter par ce qu’il viens d’entendre, il donne ses papiers, mais dans un sursaut d’orgueil, il se lève très énerver pour dire quelque chose, mais au moment d’ouvrir la bouche, il tombe dans les pommes. Quand il se réveille, il se retrouve dans un cellule, a même le commissariat. Il se lève et demande à la gardienne, poster devant sa porte

_ « Excusez moi, mais qu’est ce que je fou dans cette cellule ? »

_ « On vous a mis la dedans, pour ce que vous avez dit à mes collègues. »

_ « Et je dois faire combien de mois, avant de sortir ? »

_ « Ce n’est pas combien, je doit faire, mais plutot combien je doit payez. »

_ « Comment ça ? »

Demande Jacques

_ « Et bien, si dans les quarante huit heures qui suive, personne n’est venu payez votre caution, vous passerais devant le juge. »

_ « Je paris que c’est une femme ? »

_ « Qui ? »

_ « Le juge. »

_ « Et bien oui, vous voyez un homme comme juge, se serait l’anarchie. »

_ « Moi, je suis en plein rêve. »

Se dit-il, il réfléchit et réplique à la gardienne

_ « Vous avez déteint sur les Américains. »

Constate Jacques, la gardienne lui repond

_ « Quel Américains, c’est quoi ça ? »

_ « Vous ne connaissez pas les ricains ? Christophe Colomb, le découvreur des Amériques, le nouveau continent. »

_ « A vous devez faire erreur, le nouveau continent a été découvert par la merveilleuse navigatrice Carlier, Eugénie Carlier, qui a découvert le nouveau continent en mille huit cent quatre vingt un et ce ne sont pas les Amériques, mais les Carlériques, en hommage a cette merveilleuse femmes. »

_ « Je suis complètement perdu, mais ce qui est dingue, c’est que vous avez mis plus de temps que Christophe, mais vous n’êtes que des femme, après tous. »

_ « Taisez vous. »

Lui demande la gardienne

_ « Ho ! Et nerveuse par-dessus le marcher. »

Alors, il repart s’asseoir sur son lit, d’un coup une femme policier arrive et dit à Jacques

_ « Vous pouvez sortir, le macho, on a payez votre caution. »

_ « Ah bon ! Et qui l’a payer ? »

_ « Sortez, ne posez pas de question par-dessus le marcher. »

Alors M. Vilmain dit à la gardienne en sortant

_ « Au revoir Mme la Carlérique. »

Et il se met à rire, la gardienne ne préfère pas relever le propos de Jacques. M. Vilmain suit le policier, elle lui rend ses affaires personnelles et une petite carte de visite de son asso, elle lui demande

_ « C’est quoi, lutte contre le mouvement des femmes ? »

_ « Ne chercher pas de trop, vous risquerez de vous faire du mal. »

Il prend ses affaires et il sort. Dehors, un homme viens le voir et lui dit

_ « C’est moi qui est payez votre caution. »

_ « Pourquoi, avoir fait ça ? Vous ne me connaissez pas, après tous. »

_ « Parce que j’étais sur le lieu de l’accident, tout à l’heure, comment vous avez parlez au policier et comment vous leur aviez tenu tête ? J’ai décider de vous aider, vous me paressez venir d’un autre temps. »

_ « Tu n’est pas loin, faut leur parler comme ça, a ces femmes, sinon, elles nous mangent. »

_ « Oui, mais elles sont plus fortes que nous. »

_ « Comme ça ? »

_ « Venez voir, on vas allez chez moi, je vais tous vous expliquez, c’est mieux qu’ici, les murs ont des oreilles. »

Ils sont entourée de femme, Jacques demande

_ « Moi, il faut que je passe chez moi, j’ai plus de voiture, vous pouvez m’amener, c’est à deux pas ? »

Par chance l’homme est l’un des rare a avoir une voiture a Paris

_ « Si vous voulez. »

Et les voilà partis, chez M. Vilmain, l’homme lui dit

_ « Au faite, je m’appelle Sébastien Porrel et vous ? »

_ « Moi, je m’appelle Jacques Vilmain, prenez a droite.  »

_ « Vous êtes très courageux, de leurs parler comme ça. »

_ «  A qui ? »

_ « Aux femmes. »

_ « Pourquoi ? »

_ « Je ne sait pas, je n’ai jamais vu personne, avant vous, leur parler comma ça. »

_ « Mais elles ne me font pas peur, a moi, prenez a gauche. »

_ « Ouais, mais quand même, parler au policier, comme ça, faut le faire, je sait que moi, je ne le ferais pas. »

_ « Encore merci, pour m’avoir payer ma caution, tiens c’est là, tu peux t’arrêter. »

La voiture ce gare, M. Vilmain descend de l’auto, va jusqu’au devant de l’appartement très chic. Il sort sa clef, essais d’ouvrir la porte, première stupéfaction, la clef n’entre pas, deuxième stupéfaction, un homme sort par la porte et demande a M. Vilmain

_ « Oui, bonjours M., c’est pourquoi ? »

M. Vilmain ne sachant pas quoi répondre, dit

_ « C’est pour un renseignement ? »

_ « Oui. »

_ « Vous êtes bien chez vous ? »

L’homme surpris par la question, lui repond

_ « Non, je ne suis pas chez moi, je suis chez ma maîtresse, pourquoi ? »

_ « Non, pour rien. »

Et il repart à la voiture. Il ne comprend rien, ce matin, c’était chez lui et maintenant, c’est chez quelqu’un d’autre, il se dit en montant dans le véhicule

_ « C’est quoi, ce délire ? »

M. Porrel lui demande

_ « Vous avez trouver ce que vous voulez ? »

_ « Non, pas vraiment. »

Lui repond Jacques, Sébastien enchaîne

_ « Ah bon ! Et pourquoi, si ce n’est pas discret ? »

_ « Normalement, ça devrais être chez moi et ça ne l’est pas. »

_ « Vous êtes très bizarre, d’où venez vous ? »

_ « Et bien, je voudrais bien le savoir, ou je suis d’abord et en quel année ? »

Sébastien le regarde, comme si, il regardait un extra-terrestre et il lui repond

_ « Vous n’êtes pas à Paris, mais a Paris ( il le prononce à l’Américaine), en France et nous sommes en vingt sous le règne de Béatrice. »

_ « Qu’est ce que ça veut dire, vingt dans le règne de Béatrice et qui est votre président? »

_ « Il n’y a jamais eut de président, que des présidentes et en vingt sous le règne de Béatrice, Béatrice, c’est notre présidente. »

_ « Oui, mais ça veut dire quoi, en vingt ? »

_ « Que sa fait son vingtième mois de présidence. »

_ « Et en général, votre présidente est élue pour combien de temps ? »

_ « Pour quarante huit mois, après, il y a des élections, ou il n’y a que les femmes qui vote. »

_ « C’est ça de ce que je parle, c’est complètement fou, moi, j’ai un président, les hommes travaillent dans la police, pour moi, c’est tout l’inverse, les femmes ne font pratiquement rien, dans la société, d’où je viens. »

_ « Ici, il n’y a que les femmes qui travaillent, nous les hommes, on travaille, mais des boulots sans importance, on as même pas le droit de vote. Depuis que je suis né, il n’y a eut qu’un seul homme, qui c’est présenté au présidentielle, il as fait un pour cent. »

_ « Ce n’est pas vrai, mais le monde est à l’envers, je n’y croit pas, c’est inimaginable, je vais me réveiller. »

_ « Pourquoi ? Qu’est ce que vous voulez dire ? »

_ « Tutoie moi, ne te gêne pas, pour répondre à ta question, d’où je viens, c’est l’inverse, l’homme travaille, la femme reste a la maison, pour s’occupé des enfants, ou,  il y en as qui travaille, alors qu’elles ont des enfants, pendant que les hommes sont au chômage, c’est une honte. »

_ « Mais, c’est le paradis, ce que tu me dit là, ça existe vraiment ? »

_ « Oui, je te le jure. »

_ « Mais d’où viens-tu ? »

_ « Je suis de la planète terre. »

Et n’arrivant pas a expliquez, ce qu’il ce passe, il lui réplique

_ « En faites, je ne sait pas ce qu’il se passe, ce matin, j’étais avec les membres de mon association, on allait à une manif, pour gêner les femmes dans leurs progression et sur la route en voiture. J’ai eut un accident, j’ai perdu connaissance et franchement quand je me suis réveillé, mes adhérents et collaborateur avaient disparus. Je me suis retrouvez dans ce monde de fou ou les femmes ont tous les pouvoirs. »

_ « Inimaginable, ton histoire, j’ai du mal a y croire. »

_ « Pourtant c’est la pur vérité. »

_ « En tous cas, j’admire ta force avec les femmes, tu ne te laisse pas faire, bon, je t’emmène chez moi, si tu as nul part a aller. »

_ « Je te remercie, je suis un peu perdu, là. »

_ « Mais de rien, je vois bien, que tu es un peu larguer. »

M. Porrel démarre la voiture et en route pour son domicile. Aucun des deux ne dit un mot dans la voiture, perplexe de ce que l’un a dit à l’autre, arriver devant chez M. Porrel, ce dernier dit

_ « On est arriver, vas y vient ? »

Ils descendent de l’auto et montent dans un HLM. Arriver devant la porte du cinquième étage, sans ascenseur, Sébastien demande à Jacques

_ « C’est un petit appartement. »

_ « Ce n’est rien, il n’y a pas de problème. »

Ils entrent et Sébastien fait faire le tour du propriétaire, ensuite Jacques dit

_ « Mais faudrait que tu m’explique ta société ? »

_ « Bien sur, je vais t’expliquer. »

Il prend une encyclopédie et enchaîne

_ « Avec ça, ça vas être plus facile. »

Il tiens une encyclopédie énorme et demande à Jacques

_ « Par quoi, veux tu que je commence ? »

_ « Des rois, vous avez bien eut des rois ? »

_ « Non, que des reines. »

_ « Vous n’avez pas eut de chance, on se croirais dans un monde parallèle au mien, avec tout inverser et plus en retard. »

_ « Pourquoi, plus en retard ? »

_ « Et bien, dans mon monde, les femmes, on le droit de vote, par rapport au hommes d’ici, ici, elles sont ministres, présidentes, il y en as qui sont d’en la police, il y en as même qui sont dans l’armée, je n’arrive pas a y croire, en ce que je suis en train de dire, explique moi l’une de vos reines ? »

_ « La reine Marguerite quatre, elle, elle a fait la constitution en mille sept cent quatre vingt quatre. »

_ « La constitution de quoi ? »

_ « La constitution des droits de la femmes, bien sur. »

_ « Mais vous êtes venu aux présidentes comment ? »

_ « Marguerite sept, n’as pas voulut être une reine, elle voulait que toutes les femmes soit ego, alors, elle se destitua de son blason de reine, pour ce designer présidente et voilà, comment est né la démocratie. »

_ « Ah bon ! Nous c’est venu avec la révolution. »

_ « C’est quoi, une révolution ? »

_ « C’est comme une guerre, mais que dans un seul pays, là, on se battaient contre la royauté et on as gagner. En parlant de révolution, vous les guerres, sa ce passe comment ? »

_ « Quel guerre ? »

_ « Les guerres quoi ? »

_ « On n'as jamais eut de guerres. »

_ « Nous, on en as eut beaucoup de guerre, mais les plus terribles ont été, les deux guerres mondiale. »

_ « Vous avez carrément eut des guerre mondial ? »

_ « Ouais, une en mille neuf cent quatorze a mille neuf cent dix huit et une autre de mille neuf cent trente neuf a mille neuf cent quarante cinq. »

_ « Et toute la planète se battais ? »

_ « Ouais, en quasi partis. »

_ « En fin de compte, je préfère mon monde, il est plus pacifique. »

_ « Tu ne m’étonne pas, avec des femmes comme dirigeant. »

_ « Peut-être, mais c’est mieux comme cela. »

_ « Mais au faite, pourquoi, les femmes font-elle l’armée, si, il n’y a pas de guerre. »

_ « Elles disent, mieux vaut prévenir que guérir. »

_ « Ouais, elles n’on pas tord et sans les guerres, il n’y aurais jamais eut la bombes nucléaire. »

_ « C’est quoi nucléaire ? »

_ « Vous ne connaissez pas le nucléaire ? »

_ « Non. »

_ « Tu vois une bombes ? »

_ « Non. »

_ « Jure le ? »

_ « Si je te le dit. »

Répond Sébastien

_ « Une bombe, c’est, ça ressemble à un suppositoire géant, dedans, tu y met ce que tu veux, des produit chimique, inflammable, ou nucléaire, des tas de choses, tu les accroches à des avions, qui les bombardes, sur ce que tu veux, en temps de guerres, c’est beaucoup utiliser. »

_ « Mais ça tue des gens ? »

_ « Un peu mon neveu, surtout du nucléaire, c’est la bombe de destructions massive, par excellence. »

_ « Mais c’est horrible, votre nucléaire. »

_ « Les premiers a en avoir jeter, on été les Américains, les Carlérique pour toi, ils ont bombardé les Japonais, pendant la deuxième guerres mondial. »

_ « C’est quoi, les Japonais ? »

_ « C’est un pays qui est au large des côtes de la chine. »

_ « C’est quoi, la chine ? »

_ « Lâche l’affaire, ce sont des pays, c’est tous. »

_ « En gros, la bombe nucléaire tue énormément ? »

_ « Oui, plus que tu peux l’imaginer, mais j’y repense, la police n’est pas armée ici ? »

_ « Bien sur que oui, elles ont des matraques. »

_ « Ce ne sont pas des armes pour moi, une arme, c’est un pistolet, un revolver, pour blesser ou tuer. »

_ « Ah ! Non, elles n’ont pas ça. »

_ « Même pas l’armée ? »

_ « Non. »

_ « Ca sert à quoi d’avoir une armée, pour défendre un pays, si il n’y a, ni arme, ni bombe, elles vont vous défendre en griffant ou en tirant les cheveux de vos ennemis, c’est complètement ridicule. »

_ « Non, parce que de toute façon, on n'a pas d’ennemi. »

_ « Ca vaut mieux, au faite, tu fais quoi dans la vie ? »

_ « Moi rien, je suis un homme, alors, je n’ai pas trop le choix, on me donne deux cent cinquante francs par mois et basta. »

_ « Comment ça ce fait ? Tu ne travaille pas et tu as de l’argent. »

_ « Oui, une loi dit, que tout homme au foyer, on le droit de toucher cette ressource. »

_ « C’est bien, tous ça, mais, j’ai une question a te poser, comment ça se fait, que les Amériques, s’appelle Carlérique et que la France, elle s’appelle France ? »

_ « C’est une grâce à, France première, la première reine de ce pays, avant, il n’y avait pas de nom. »

_ « Et pour dieu, Jésus, Allah, les juifs et tous ça ? »

_ « C’est quoi dieu ? »

_ « Vous n’avez pas de religion ? »

_ « Non. »

_ « Ce n’est pas plus mal, ça cause tellement de guerre. »

_ « Bon, il est déjà dix heures et demis, j’ai rendez vous a la banque du sperme. »

_ « Qu’est ce que tu vas faire la bas ? »

_ « Je vais donner mon sperme, pour la reproduction. »

_ « Comment ça, la reproduction, vous ne faites pas d’enfant avec une femme ? »

_ « Oui, mais faut être marié pour le faire, mais ça n’arrive pas souvent, qu’un homme se marie avec une femme, sinon, si tu le fais en dehors du mariage, tu enfreins la loi, c’est un rendez-vous obligatoire. »

_ « Dans quel monde de fou, tu vis, si tu n’y vas pas, tu risque quoi ? »

_ « Je risque d’aller en prison, pour motif, refus de donner la vie. »

_ « Ouas ! Dingue quand même. »

_ « Tu viens avec moi, ou tu reste là ? »

_ « Non, je veux voir ça, je viens. »

Et tous deux partent, pour la banque de sperme. La bas, une queue de quatre personnes, attendent leur tour, ils se mettent dans la queue et Jacques demande à Sébastien

_ « Qu’est ce qu’ils font, de tes spermatozoïdes après ? »

_ « Il les donne à une femme qui attend dans les pièces d’a coter et les engrosses aussitôt. »

_ « Ah bon ! »

_ « Ouais, moi, j’ai déjà trois enfants, mais je n’est pas le droit de les voir, faudrait que je me mari, si j’en veux à moi. »

Arrive le tour de M. Porrel, une femme derrière un guichet lui dit

_ « A vous, aller porte cinq, vous savez comment faire ? »

_ « Oui, oui. »

Et Sébastien part, Jacques arrive devant la femme et cette dernière lui dit

_ « A vous, allez porte six, vous savez comment faire ? »

_ « Non, du tout. »

La femme dit dans un micro

_ « Débutant, a l’accueil, qu’on fasse venir, la démonstratrice. »

Puis elle enchaîne à Jacques

_ « Attendez, une dames arrive, elle va vous montrer. »

Jacques attend donc la dame, une magnifique jeune femme arrive vers lui et lui demande

_ « C’est vous, la personne qui débute ? »

_ « Oui, c’est moi. »

_ « Vous êtes à quel porte ? »

_ « Porte six. »

_ « Suivez-moi. »

Ce qu’il fait de suite, il entre dans la pièce en se disant

_ « C’est cool quand même, elle va me faire une démonstration. »

Une fois a l’intérieur, la femme lui montre l’appareil en lui disant

_ « Voilà, l’appareil, vous mettez votre pénis dedans et la machine fait le reste, bon courage. »

Elle sort de la pièce et referme la porte. Il dit à ce moment là

_ « C’est peut-être bien. »

Il abaisse son pantalon, sort son pénis et le met dans la machine. Cette dernière se met en route automatiquement, le va et viens, commence à l’exciter, mais plus l’expérience avance, plus la machine prend de la vitesse et le plaisir se transforme en douleur. Apres quelque minutes, le sperme coule, comme les gouttes de sueurs sur le front de Jacques, des qu’il a éjaculer, la machine s’arrête, il sort son pénis qui n’est plus bloqué par la machine, ce dernier est tous rouge, il se rhabille, sort de la pièce et dit

_ « Vous êtes complètement conne ou quoi ? Ca fait très mal, votre truc là. »

En s’adressant à la guichetière, cette dernière lui dit

_ « Fini, ce langage avec moi, ou je vais chercher la patronne. »

_ « Ne me prend pas la tête toi, la folle des têtards. »

Un homme qui était derrière lui, lui demande

_ « Excusez-moi, mais j’ai rendez vous et surveillez votre langage avec les femmes. »

_ « Toi, ta gueule, si tu aime baisser ton froc devant les femmes, c’est bien, mais pas moi. »

La femme demande a Jacques

_ « Comment vous appelez-vous ? »

_ « Je n’ai pas peur de vous le dire, je vais vous le dire haut et fort. Je m’appelle M. Vilmain et JE N’AIME PAS LES FEMMES. »

Il finis sa phrase en hurlant. La dames outrer repond

_ « Attendez, je vais chercher la patronne. »

Et elle part, dans un brouhaha pas possible. Sébastien qui est encore dans son box, entend tous, il termine vite fait et sort de la pièce. Il se précipite vers Jacques et lui dit

_ « Jacques, viens maintenant, tu es repéré, viens, on s’en vas. »

Ils sortent de la banque du sperme, au moment ou la femme revenait avec la directrice de l’établissement. Arriver dehors, ils montent dans la voiture et s’en vont. Dans la voiture Sébastien demande

_ « Que c’est-il passer ? »

_ « Rien, je me suis fait broyer le pénis, mais ça vas. »

M. Porrel se met à rire et Jacques lui demande

_ « Ca te fait rire. »

_ « Oui, je ne t’avait rien dit, mais je le savait que ça faisait mal, nous, on as l’habitude, mais je savait que tu ferais un scandale. »

_ « Pauvre con, tu sait, je vais te donner un petit conseil, ne te laisse pas faire par les femmes, sinon ce sont elles qui t’aurons. »

_ « Tu fais quoi dans ton monde, a par détester les femmes ? »

Jacques sort une de ses cartes de visite, de sa poche, la donne a Sébastien  et celui-ci dit

_ « C’est ton métier de ne pas aimer les femmes ? »

_ « Ouais. »

_ « Tu m’étonne, que tu es comme cela avec elle. »

_ « Parce que tu les aimes, elle te commande, elle te chies dessus et tu les aimes ? »

_ « Qu’est ce que tu veux que je fasse ? »

_ « Bat toi, qu’est ce que je fait, je me bat moi dans mon monde. »

_ « Tu te bat contre quoi dans ton monde ? Vu que vous commandez tous, vous les hommes. »

_ « Elles ont voulut le droit de vote, elle l’on eut, le droit de travaille, elle travaille maintenant et elles veulent la libération de la femme, alors si une femme y arrive, on est meurt. »

_ « Mais c’est ce qu’on voudrait nous, le droit de vote, de travailler, la libération de l’homme. »

_ « Battez vous alors. »

_ « En gros, tu me demande de faire, ce que fond , ceux que tu méprise tant, dans ton monde ? »

_ « Ce n’est pas pareil, nous sommes le sexe fort. »

_ « Ouais, mais si dans ton monde, tu te bat contre celle qui fond ça, ici, il y auras des femmes, qui ferons pareils. »

_ « Peut-être, mais il ne faut pas ce laisser aller, faut être combatif dans la vie, si tu veux, tu peux y arriver. »

_ « Ouais peut-être. »

_ « Ne t’inquiète pas, je ne suis peut-être pas là pour longtemps, je ne sait pas, j’espère pas, mais le temps que je serait ici, dans ton monde, je ferais tous pour vous aidez. »

_ « C’est bien gentil, mais comment tu compte faire ça ? »

_ « Ne t’inquiète pas, j’ai mon idée, tu fait comme dans mon monde, tu monte un groupe en cachette et tu le sort, quand il est puissant, tu n’as pas d’amis. »

_ « Oui, des amis, j’en est des dizaines. »

La voiture est devant le HLM de Sébastien et ils continuent de parler , en montant vers l’appartement. Une fois dedans, Jacques lui demande

_ « Appelle tes amis et je vais leurs parler. »

Ce qu’il fait aussitôt, Sébastien pas rassurer lui demande

_ « Qu’est ce que tu compte leurs dire ? »

_ « La vérité, que je viens d’un monde ou l’homme commande et qu’il ne faut pas vous laissez faire, par les femmes. »

Apres une petite demi-heure, les amis de Sébastien arrivent, un par un, les présentation se font et quand tout le monde est là. L’un des amis de Sébastien lui demande

_ « Qu’est ce que tu nous veux, Sébastien ? Moi j’ai dit à ma femme, que j’allait faire les courses, si elle apprend que je suis venu ici, je vais recoucher dehors. »

Sébastien leurs dit

_ « Les gars, je vous est dit de venir chez moi, parce que mon amis Jacques Vilmain, voulait vous dire quelque chose, vas-y Jacques. »

A ce moment là, Jacques leur explique

_ « Bon, comme il vient de vous le dire, je m’appelle Jacques Vilmain et Je voudrais vous dire à tous. Est ce que ça vous plait, comme vous traite les femmes ? »

L’un d’eux dit a Jacques

_ « On n'as pas le choix, tu es marrant. »

Un autre

_ « Pourquoi, ça te dérange toi ? »

_ « Moi, je serais à votre place, oui, ça me dérangerais, regardez l’autre la bas, il rampe devant sa femme, je lui est dit que j’allait faire les courses, tu ne pouvais pas lui dire, que tu allait chez un amis ? »

_ « Non, je ne pouvais pas lui dire, je ne sait pas si tu le sait, une femme sa ce craint. »

Jacques lui rétorque

_ « Pourquoi ? »

_ « Parce que c’est elle qui dirige tous, c’est elle qui fond les lois. »

_ « Moi, je ne sait pas d’où je viens, mais ou j’habite, c’est les hommes qui commande, le président est un homme, les policier sont des hommes, tout est commander par des hommes. Il y a des femmes qui fond certaine chose, mais pas les plus importantes. »

Un homme de l’assistance, se lève et dit

_ « Moi, je n’est pas que ça a faire, j’en est assez entendu, ton idée est bien, mais si on se bat, on vas finir en prison. »

Jacques lui repond

_ « Dans votre monde, vous avez la liberté d’expression, non ? »

_ « Oui, pourquoi ? »

Lui rétorque Sébastien

_ « Parce que, si vous avez la liberté d’expression, vous pouvez vous exprimer, comme vous le souhaitez, vous n’irez pas en prison, parce que vous défendez votre sexe, c’est idiot. »

_ « Qu’est ce que tu compte faire, avec ça ? »

Lui demande un homme, Jacques enchaîne

_ « On vas crée une association, pour défendre votre cause, jusqu'à temps que je retourne chez moi, après vous continuerez seul, votre lutte, si j’y retourne un jour. Si vous voulez vous en sortir, faites passer le message aux hommes autour de vous, que demain matin, une réunion, ce dérouleras ici, a neuf heures et on développeras plus les détails, d’accord. »

Tous étaient d’accord, les hommes repartent chez eux, pour faire passer le messages. Une fois seul, Sébastien demande à Jacques

_ « J’espère que tu sait, ce que tu fait ? »

_ « Ne t’inquiète pas, si ça a marcher pour elles, dans mon monde, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherais pas ici. »

L’heure du midi est arriver, ils déjeunent, pendant le repas, Jacques demande à Sébastien

_ « Tu ne sait pas, si, il loue des salle dans le coin ? »

_ « Il faut aller voir à la mairie, ils en louent peut-être. »

_ « J’irais voir cette après midi, tu pourras m’y accompagner en voiture ? »

_ « Ouais, pas de problème. »

_ « Vous marcher au franc ? »

_ « Oui. »

_ « C’est bon, chez nous aussi, j’ai de la tine, ce matin dans mon monde, j’ai prit les sous de la caisses des adhérents, pour les mettrent a la banque, bon on fait ça dans l’après midi. »

En disant cela, il sort les billets, Sébastien les vois et lui demande

_ « Je peux les voir ? »

_ « Oui, tiens. »

Jacques donne la liasse a Sébastien, qui lui dit, des qu’il les a dans les mains

_ « Tu ne feras rien avec ça ? »

_ « Pourquoi ? »

_ « Parce que se sont des faux billets, les nôtres ne sont pas comme ça. »

Sébastien sort de sa poches un billets et le donne a Jacques, en lui disant

_ « Tiens regarde. »

_ « Merde, il n’y a que des têtes de femmes sur vos billets ? »

_ « Oui. »

_ « Comment je vais faire ? Il me faut des sous pour louer une salle. »

_ « Ne t’en fait pas, j’en est moi, sur mon compte, j’ai toujours garder la moitié de ma pension, pour un jour partir d’ici, j’en est marre de cette ville, j’aimerais aller à la campagne, mais bon, si tu en as besoin, je te les donne. »

_ « Je te remercie. »

_ « Mais il n’y a pas de quoi, c’est pour moi, que tu veux faire tous ça. »

Dans l’après midi, il partent à la banque, retiré tous les sous qu’il y avait et a la mairie. Tous deux rentre dans la mairie, Jacques demande à la dames de l’accueil

_ « Pardon, excusez moi, pour louer des salles, faut s’adresser à qui ? »

_ « Premier étage a droite et ses le deuxième guichet sur votre gauche, voilà M.. »

Ils montent les escaliers et Sébastien lui dit

_ « Normalement, ce n’est pas qu’on as pas le droit de venir, mais c’est surtout les femme qui viennent ici. Alors ne t’étonne pas, si elle te défigure. »

_ « Ne t’en fait pas, j’ai l’habitude dans mon monde. »

Arriver au premier étage, ils ouvrent la porte et effectivement, Jacques vois qu’il n’y a que des femmes, qui les regardent. Ils s’avancent sur le deuxième guichet sur la gauche, une femme leur demande

_ « C’est pourquoi ? »

_ « C’est pour louer une salle, demain matin si c’est possible ? »

_ « Excusez moi, demain matin, je ne pourrais pas, plutot après demain, j’ai une salle libre, court de la république et c’est pour faire quoi au juste ? »

Demande la dame, Jacques lui rétorque

_ « Si, on te demande, tu diras que tu ne sait pas, mais de quoi je me mêle. »

_ « Mais vous vous prenez pour qui ? N’oubliez pas que vous ne parler pas a un mesquin. »

_ « Qui vous appelez, un mesquin ? »

_ « Vous les hommes. »

Lui repond la dames

_ « Tu as de la chance, qu’il y a la vitre, entre nous, j’aurais bien voulut te mettre, mes cinq boudins sur ta petite joue, mesquin, je t’en donnerais moi, des mesquins, salope. »

La dame vexer lui dit

_ « Quel vulgarité. »

Sébastien demande à Jacques

_ « Vas m’attendre dehors, j’arrive. »

Jacques s’en vas en marmonnant dans ses moustaches, Sébastien dit à la femme

_ « Excusez le, il paire la tête en ce moment, ça femme veux le quittez. »

_ «  Ce n’est pas une raison, pour être malpolis, achetez lui une laisse, votre amis est dangereux, j’allait appeler la police, vous la prenez la salle ou non ? »

_ « Oui, oui. »

Et lui demande

_ « Sa fait combien ? »

_ « Sa fait cent francs. »

_ « Que pour la matinée ? »

_ « Non, pour la journée. »

_ « Ah bon ! »

Il sort de sa liasse un billet de cent francs, le donne a la femme, celle-ci lui donne les clefs et il part sans dire merci. La femme lui repond

_ « Malpolis, les hommes d’aujourd’hui, faut vraiment faire quelque choses. »

Dès qu’il est sorti de la mairie, Jacques l’attend, dans la voiture, Sébastien rentre dedans et dit

_ « Tu l’as énerver, la petite dames, elle voulais appeler la police, mais faudrait te calmer, le temps de monter l’association. »

_ « Ouais, je sait, mais elle aurais pu les appeler, je n’est pas peur. »

_ « Tiens les clefs, tu l’as toute la journée de d’après demain. »

_ « Toute la journée, c’est très bien, demain réunion chez toi et après demain, on fait le truc, pour, c’est bon. »

_ « Tu veux faire quoi ? »

_ « Tu verras bien demain. »

_ « Je te paye un coup, ça te dit ? »

_ « Si tu veux, mais dans un bar, ou il n’y a pas trop de femme. »

_ « Ca n’existe pas, ce que tu demande. »

_ « Un bar pas trop mal, que tu connais et qui est très bien. »

_ « Ouais, le bar de la marine, elle s’appelle ça, bar de la marine, mais ce n’a rien avoir avec les marins, tu vas voir. »

_ « Roule, on y vas. »

Et ils y partent, arriver devant le bar, Sébastien dit à Jacques

_ « Jacques, si tu veux bien te faire voir, ne commande pas de l’alcool, les femmes sont contre tous ça. »

Je m’en fou, moi de leur gueule, moi je bois un petit coup de Whisky, viens on y vas. »

_ « C’est quoi du whisky ? »

_ « Une alcool, vous n’avez pas ça ? »

_ « Non. »

_ « Du cognac ? »

_ « Non. »

_ « Vous avez quoi comme alcool ? »

_ « Il y en as que deux, liqueur de rose et liqueur de violette, c’est tous. »

_ « C’est incroyable, tous ça. »

Ils descendent du véhicule, rentrent dans le bar, s’assoient à une table et une femme viens vers eux, qui leurs demande

_ « Je vous sert quoi ? »

_ « Pour moi, ce sera une limonade. »

Couper par jacques qui enchaîne à la femme

_ « Non, non, deux liqueur de violette, s’il vous plait. »

Avec un petit sourire moqueur et la femme lui repond

_ « Très bien M.. »

Toutes les femmes et hommes les regardent dans le bar, Sébastien dit à Jacques

_ « Jacques, je n’ai jamais bu de liqueur. »

_ « Et bien, ce sera ton baptême du feu. »

M. Vilmain vois dans le fond du bar, un homme faire la vaisselle, un autre nettoyer les carreaux, il dit à Sébastien

_ « Tu vois chez nous, on vois des hommes faire ça, mais très rarement, c’est plus un boulot de femme, normal quoi. »

La femme reviens avec les deux verres et Sébastien demande

_ « Je vous doit combien ? »

_ « Vingt francs. »

Il lui donne un billets de cents francs et Jacques dit à ce moment là

_ « Gardez la monnaies, vous nous remettrais autant de rincette, qu’il y auras d’argent. »

La femme repart et Jacques continu

_ « Je vais te montrer comment on fait la fête chez moi. »

Sébastien prend son verres, le sent et dit à Jacques

_ « Ca sent fort. »

_ « Sébastien, avec de l’alcool fort, le tous, c’est de le boire cul sec ou par petite gorgée, la, on vas le boire cul sec, aller. »

_ « Non. »

_ « Et oui, Sébastien, aller. »

Ils prennent leurs verres et Jacques dit

_ « Un, deux, trois. »

Et ils boivent leurs verres d’un coup, des qu’ils ont finis, Sébastien, pose son verre violemment et tousse, en disant

_ « C’est fort, sa arrache. »

_ « Tu rigole, c’est une boisson de fillette, j’ai l’impression de boire une limonade. »

_ « C’est normal, que j’aille la tête qui tourne ? »

_ « Oui, c’est normal, ne t’inquiète pas, on pourrais avoir la rincette. »

Que Jacques demande à la serveuse, celle-ci dit

_ « Fabien, tu vas servir les M., au lieu de te tourner les pousses.»

En s’adressant à l’un des hommes, Jacques se lève et dit

_ « Ca ne vous fait rien de lui parler comme a un chien ? »

_ « Non, ce n’est qu’un homme. »

_ « Ca veux dire quoi ? »

Demande Jacques excéder

_ « Vous êtes nés pour ça, faire toutes nos corvées, pour trimées et de toute façon, de quoi je me mêle. C’est bien la première fois que je me fait engueuler par un homme ! »

_ « Oui, parce que moi, je suis un homme, un vrai, livret avec les couilles, alors tu lève ton cul et tu nous sert, toi. Le client est roi, ou sinon ton bar, j’en fait une œuvre de César. »

Lui repond Jacques, qui s’assois calmement, Les femmes de l’assistance sont consterner du langage de cet homme, mais la serveuse s’exécute, Jacques demande

_ « Vous ne devez sûrement pas connaître César ? »

_ « Non, on ne le connaît pas. »

_ « C’est un  homme, qui fait des cultures, avec n’importe quoi, c’est de l’art. »

La patronne arrive énerver, dépose les deux verres sur la table et repart aussi sec derrière son comptoir. Sébastien demande

_ « On refait cul sec, comme tu dit ? »

_ « Oui, Sébastien, cul sec, aller un, deux, trois. »

Ils boivent leur verre et Sébastien en posant son verre dit

_ « Oh ! Moi, ça ne vas pas du tous, j’ai la tête qui tourne trop, mais je dois l’avoué, je me sent bien, c’est marrant la sensation de l’alcool. »

_ « Oui, c’est marrant, tu vas voir, c’est encore mieux, quand tu es complètement bourré, deux autres verres Mme »

Il termine sa phrase en parlant à la patronne, Jacques regarde les deux hommes s’affairés à leurs taches et propose à Sébastien

_ « Ce serais bien, de les invités a venir demain chez toi, les deux la bas. »

_ « Ouais, si tu veux. »

Lui repond Sébastien, qui comment a être pompette.

_ « Hé ! Les gars venez là. »

Dit Jacques en parlant aux deux employés, les deux hommes, n’osent pas venir, il faut que la patronne, leurs face un petit signe de la tête, pour leurs dire qu’ils peuvent y aller, pour qu’ils osent s’approcher. Arriver devant Jacques, ce dernier leurs dit

_ « Ca vous intéresseraient de ne plus vous faire commander par une femme ? »

L’un des deux lui repond

_ « Et bien, oui, on espèrent ça, tous les jours. »

_ « Et bien venez demain a neuf heures, au dix neuf, rue Geneviève Pélican, c’est au cinquième étages a droite, venez là, a neuf heures et on en rediscuteras, d’accord ? »

Ils se regardent et l’autre homme repond

_ « C’est bon, d’accord a demain. »

Et ils retournent à leurs taches. Jacques et Sébastien continus a boire leurs verres, une fois terminer, Sébastien est sur les rotules et Jacques lui dit

_ « Bon, tu es bien fin rond, on retourne chez toi ? »

_ « Si tu veux mon potes. »

Jacques, l’alcool ne lui faisant rien ou presque, constate à Sébastien

_ « Tu me donne les clefs de la voiture, tu n’es pas en état de conduire. »

Sébastien lui donne les clefs, ils sortent du bar et Sébastien lâche en sortant

_ « Les femmes toutes des salopes, on vas tous vous baiser. »

Jacques lui repond

_ « Tais-toi, ça ne te vas pas de boire, tu ne le dirais pas sans avoir bu, ne le dit pas bourrer, ça ne sert à rien. »

Et ils rentrent chez Sébastien, la nuit est là, Sébastien n’étant vraiment pas bien, Jacques le couche direct, pendant que lui mange un morceau et part se coucher. Le lendemain, Sébastien se lève, il a une faim tellement grande, qu’elle équivaut avec son mal de crane. Jacques lui demande

_ « Tu a vue, c’est pas mal, l’alcool, sur le coup, mais tu as vu le lendemain. »

_ « Tu as raison, si j’avait su, je n’aurais pas bu autant que ça, boisson de vrai mec, vous êtes maso, dans votre monde, moi je laisse ça aux femmes, maintenant, je suis content de savoir qu’elles ont mal, le lendemain. »

_ « Mange un bout, vas t’habiller, il est déjà huit heures quarante, prend un cachet pour le mal de tête, sa vas aller mieux. »

_ « Ouais, ouais, c’est bon, pas trop vite, je ne te suis plus là, c’est bon, je prend un cachet, je m’habille et j’arrive. Je mangerais plu tard. »

Il part dans la salle de bain, la sonnette se fait entendre, Jacques vas ouvrir et c’est les deux employer du bar, qui était un peu en avance, Jacques leurs dit

_ « Vous êtes en avance les gars, entrez quand même. »

Ils entrent et l’un des gars, lui dit

_ « On viens plus de bonheur, on prend notre service a dix heure. »

_ « Ne vous en faites pas, ça sera finis. »

L’homme enchaîne

_ « Je ne sais pas comment vous avez fait, mais c’est bien la première fois, que je vois la patronne, fermer sa grande gueule. »

_ « Moi, aussi. »

Répond l’autre gars, Jacques leurs fait constaté

_ « Chez moi, ça sort tout seul. »

Et ils continuent de parler, attendant les autres. Tout le monde est la, il y a une petite cinquantaine de personne, tasser à mort dans l’appartement, Jacques commence à leurs dire

_ « C’est très bien, que vous soyez venus aussi nombreux, comme ça, vous pourrez encore faire passer le mot, si vous êtes tous là aujourd’hui, c’est que j’ai une petite idée derrière la tête, vous vous doutez bien, j’ai l’intention de faire une manifestation, devant le ministère de la justice demain. Pourquoi attendre demain ? Vous, vous demandez. »

Plusieurs hommes lui répondent

_ « Oui, pourquoi ? »

_ « Parce que demain, on a réussi à avoir une salle pour la journée, il faudrait être plus nombreux, cinq cent, voir mille personnes, une cinquantaine de personne, ne serais pas assez crédible, je m’excuse de vous le dire. La journée de demain servira à nous organisez, crée des banderoles de revendication, vous savez tous pourquoi vous êtes là ? »

Un brouhaha lui repond

_ « Oui. »

Alors Jacques continu

_ « On vas défendre notre cause, la cause des hommes, qu’elles ont laisser de coté, qu’elles ne s’occupent pas, vous aimerez avoir le droit de vote, le droit de travaillez, trouvez vous normal de donner votre sperme, sous la contrainte de poursuite judiciaire ? »

_ « Non, c’est injuste. »

Répond l’un d’eux, un autre ajoute

_ « C’est une honte, on nous traite comme du bétail. »

Jacques enchaîne

_ « Moi, je ne croit pas que vous aimez ça, alors moi, je vous le dit, vous avez des droits et demain, nous allons les défendre. Si, il y a des questions, je suis là, pour y répondre. »

Un homme lui demande

_ « Moi, j’ai une question, c’est bien de manifester, mais si ça tourne mal, si, il y en as qui se font arrêter, qu’il vont en prison, qu’est ce que l’on feras, si ce scénario arrive ? »

_ « Ecoutez moi, dans chaque guerre, a c’est vrai, il ne connaisse pas, dans chaque conflit, il y a des morts, il y a des sacrifices, si vous vous faites arrêter, dites- vous que c’est pour la bonne cause et une fois la partie gagner, vous serez libère sur-le-champ. »

_ « Il a raison, faut se battre. »

Rétorque un homme dans le groupe, Jacques enchaîne

_ « Si, il y en as, qui ne veulent pas faire partis du combat, qu’ils se lèvent et partent tous de suite. »

Il attend et s’aperçoit, que personne ne bouge. Il leurs dit alors

_ « Très bien, je vous donne tous rendez-vous demain a huit heures, cour de la république, je serais devant la salle, n’ayez pas peur de vous battre, pour votre cause et faites passez le message aux plus grand nombres. Qu’ils viennent tout demain matin, cour de la république et surtout, n’oubliez pas, c’est pour que votre vie sois meilleur. »

Tous les hommes, qui étaient au rendez-vous, sont remontés à bloc, ils le font aussitôt sortis de l’appartement, ils font passés le message a tous les hommes de leurs entourage, qu’ils rencontre dans la rue. Dans l’appartement, Jacques demande à Sébastien

_ « Tu as la télévision ? »

_ « Oui, vas-y fait comme chez toi, moi je vais manger quelque choses, je meurt de faim. »

Jacques allume la télé, en disant

_ « J’en suis sur, qu’il n’y a pas d’homme, qui présente des émission a la télé ? »

_ « Oui, tu as raison, que des femmes, ne t’inquiète pas, ça ne devrait pas tarder à changer. »

Lui dit Sébastien, Jacques surpris du dialogue que lui tiens son collègue, il lui dit

_ « C’est bien, tu t’extériorise, c’est après midi, on vas aller chercher tout plein de petite chose, qui vont nous aidez, demain, déjà est-ce que tu as des draps. »

_ « Oui. »

_ « Combien ? »

_ « Trois ou quatre. »

_ « Heu ! Appel tes potes, faut qu’ils en ramènent, pour marquer des revendications dessus, il nous faut de la peinture et c’est à peu près tous. »

_ « Je vais les appeler. »

Il petit déjeune, il les appel et il dit à Jacques, qui consterner regarde la télé

_ « Tu vas en avoir une centaines, c’est bon. »

_ « Oui, très bien. »

Lui dit Jacques, dans l’après midi, il partent dans une grande surface, ils achètent ce qu’ils ont besoin pour le lendemain et des vêtements pour Jacques. Lorsqu’ils rencontres des hommes, ils leurs parlent du rassemblement prévu le lendemain. Mais Jacques hallucine dans ce magasin, il demande à Sébastien

_ « Tout vos magasin sont comme celui-là ? »

_ « Oui, en grande partis, pourquoi ? »

_ « Ils osent appeler ça, galerie marchande, il n’y a que des magasins de vêtements pour femmes, ou d’autre qui vends des chaussures de femmes, il y a une boulangerie, un troquet et c’est tous. Pour vous les hommes, vous n’avez rien ? »

_ « Si, on as aussi des magasin pour hommes, mais déjà, ils sont très rare et en plus il n’y a pas beaucoup de choix, tu vas voir. »

Et Jacques s’en rend compte, un tous petit magasin pour homme, coincer entre deux grand, magasin pour femme, en ressortant du magasin, Jacques demande a Sébastien

_ « Il n’y a aucun magasin de sport ? »

_ « C’est quoi, ça le sport ? »

_ « C’est encore plus grave, que ce que je pensais, vous ne connaissez aucun sport ? »

_ « Non, c’est quoi ? »

_ « C’est un obis, quelque chose que tu aimes pratiquer, pour te vider l’esprit, vous ne connaissez pas le football ? »

_ « Non. »

_ « Le tennis ? »

_ « Non. »

_ « Le golf. »

_ « Non. »

_ « Vous devez, rien vous faire chier, si on as le temps, je vous apprendrais à jouer au football, avec d’autres hommes et qu’est ce que vous faites, qui peux s’apparenté a un sport ? »

_ « Les femmes font de la course a pieds, elles aime ça, mais nous les hommes pas trop, on ne vois pas l’intérêt de courir dans le vide. »

_ « Vous n’allez pas aimez le football, il faut courir derrière un ballon. »

_ « Pourquoi faire ? »

_ « Je t’expliquerez plu tard, déjà, on vas ramener tous ça chez toi et on verras. »

Ils rentrent, déjeuné. Une fois le déjeuné terminer, Sébastien demande à Jacques

_ « Tu m’apprend a jouer au foot ? »

_ « Bon, si tu veux, as-tu un ballon ? »

_ « Non, je n’en est pas. »

_ « Passe moi, plusieurs paires de chaussettes. »

_ « Pourquoi faire ? »

_ « Tu verras bien. »

Sébastien part les chercher et reviens avec une dizaines de paires de chaussettes. Jacques en fait une petite balle, de la taille d’un ballon de handball, il fait descendre Sébastien, sur le petit carré d’herbe en bas du HLM et il lui dit

_ « Tu vois, le football, ça consiste à taper dans le ballon pour qu’il aille d’un point A, a un point B. »

_ « A quoi ça sert ? »

_ « A s’amusez, normalement, il y a des buts. »

_ « C’est quoi ça un but ? »

_ « Regarde entre cet arbre et cette poubelle, moi je vais taper dans le ballon, toi tu vas devoir arrêter le ballon, si, il passe entre les deux, j’ai gagnez un point, c’est à dire un but. »

Jacques frappe dans le ballon, Sébastien ne l’arrête pas, ce dernier lui dit

_ « Donc la, tu a un but ? »

_ « Oui, tu as comprit. »

_ « Toi aussi, il faut que tu aille un but. »

_ « Tu as raison. »

Il prend son pull et le met à cinq mètres, d’un autre arbre et il dit

_ « Moi, mon but, c’est entre cet arbre et mon pull, vas-y tire. »

Sébastien tire, mais loupe le ballon et tombe au sol, Jacques et Sébastien se mettent à rire. Le débutant se relève, frappe, cette fois-ci dans le ballon, que Jacques n’arrive pas a arrêtez, Sébastien lui demande

_ « Comme ça ? »

_ « Très bien. »

Un homme du quartier, les voyant faire, s’approche et demande

_ « Excusez moi, mais vous faites quoi ? »

Sébastien lui repond

_ « On joue au feut balle. »

_ « Non, on joue au football, vous voulez essayer ? »

_ « Pourquoi pas, ça a l’aire marrant. »

Jacques lui explique les règles basique de ce sport. Les voilà maintenant trois a s’amusés, suivit d’un quatrième intrigué, d’un cinquième, au final, ce sont sept hommes qui s’amusent à jouer au football. Pendant près de deux heures, tout en jouant, il les rallies à sa cause, en leurs expliquant sont action du lendemain, les hommes sont conquit. La recréation finis, l’un des homme, demande à Jacques

_ « Et quand s’appelle ce jeu ? »

_ « C’est du football, vous ne savez pas, mais d’où je viens, c’est un sport, mais c’est aussi un métier, il y a des hommes qui sont payer pour jouer au football, il y a plusieurs équipes, qui représente plusieurs villes et ils font des matchs pour savoir qui est l’équipe, qui est la plus forte, c’est un très bon sport. »

_ « Ouais, c’est franchement très bien. »

Lui repond un autre homme, devant plusieurs femmes, qui les regardaient de leurs fenêtres, intriguées de voir ces hommes courir derrière cette boule de chaussette. Ils s’amusaient vraiment bien, mais il est temps de rentré, ils se donne rendez-vous le lendemain au locale, Sébastien et Jacques remontent dans l’appartement, dînent et partent se coucher, fatiguer de leurs après midi foot. Le lendemain, Jacques arrive à la salle, en compagnie de Sébastien et attendent les autres qui ne devraient plus tarder, ils sont dans une pièce de quarante mètre carré, huit heures sonne, des hommes affluent dans le local par dizaines, ils arrivent et des qu’ils mettent un pied dans la salle, Sébastien leurs donne quoi faire, quoi marquer sur les banderoles. Neuf heures trente, des centaines et des centaines d’hommes sont là, il n’y a même pas assez de place pour que tout le monde puissent rentrer, obliger de rester dehors. Heureux de cette première, Jacques dit à Sébastien

_ « Tu y croyais, qu’il y aille autant de monde ? »

_ « Non. »

L’attroupement d’hommes retiens l’attention d’un véhicule de police, qui passe dans le coin, un policier demande a un des homme qui se trouve dehors

_ « Qu’est ce qu’il se passe ? »

_ « On vas manifester. »

Répond l’homme, le policier enchaîne

_ « Une manifestation et pourquoi ? »

_ « Pour qu’on aille les même droit que vous, les femmes. »

_ « Si vous y croyez, c’est bien, qui est le meneur ? »

_ « C’est l’homme qui est la bas, qui est entrain d’expliquer quoi faire. »

L’agent de police entre, s’approche de Jacques et lui dit

_ « Encore vous ! »

c’est le policier qui l’a arrêtez, peu de jours avant, elle poursuit

_ « Ca ne m’étonne pas, macho, mais pourquoi faites-vous ça ? »

Jacques lui repond calmement

_ « Pour que ça ne sois plus toi, qui vienne nous faire chier. »

_ « Vous avez une autorisation d’être là ? »

_ « Oui, ma petite Mme, regardez. »

Et il lui fait voir l’autorisation de la mairie, le policier dégoutté, repart dans sa voiture et finis sa ronde. Toute la matinée les préparatif se font et en début d’après midi Jacques dit aux hommes qui sont là, environs huit cents hommes

_ « Vous êtes près pour le combat ? »

La foule est déchaînée, il poursuit

_ « Prenez chaqu’un une banderole et rendez-vous dans une heure devant le ministère de la justice, pour leurs demander que justice soit faites, allons-y et montrons leurs, comment on est, nous les hommes, lorsqu’on est tous unis. »

La foule s’empare des banderoles revendicatives et ils se dirigent vers le ministère, en voiture ou a pied. Sur la route, Jacques et Sébastien passent devant, ce qui devait être le Trocadéro et Jacques demande

_ « Oh ! Purée, vous n’avez même pas la tour Effel, c’est grave, vous n’avez rien ? »

_ « C’est quoi, la tour Effel ? »

_ « C’est une structure de mental, de, je ne sait plus trois cent mètres de haut, crée par Gustave Effel, au dix neuvième siècles, c’est dommage, c’est beau, vous loupez quelque chose, je suppose que vous n’avez pas l’arc de triomphe, bien sur que non, vous n’avez pas de guerre, laisse tomber, ça me sidère. »

Sébastien ne repond pas, ils continus leur route et arriver devant le ministère, des hommes sont déjà là, mais il faut trois quart d’heure, pour que tous les hommes arrivent sur les lieux, près de huit cent hommes, des banderoles a la main, bloquent la circulation. Le klaxonne de plusieurs femmes dans leurs voiture se font entendrent, les revendications sont simples, sur les banderoles est inscrit

Droit de vote, pour les nôtres

L’homme n’est pas un chien, mais un concitoyen

L’homme l’égal de la femme

Et tous autres slogans, les femmes du ministère et celle dans leurs voitures hurlent par leurs fenêtres

_ « C’est quoi ce bordel. »

_ « Toujours les hommes qui nous font chier. »

_ « Mais que fait la police. »

Personne ne leurs repond, les revendications vont de plus belle. Un brouhaha terrible est maintenant dans la rue, en même pas un quart d’heure, plusieurs véhicules de police arrivent sur les lieux et les policiers commencent à éparpiller les manifestants. Jacques Monte sur le toit de la voiture de Sébastien et hurle dans son mégaphone

_ « Mesdames, pourquoi voulez vous nous virez d’ici ? »

La plus grader lui repond

_ « Vous n’avez pas le droit de manifester. »

_ « Et pourquoi ? Parce que nous sommes des hommes ? »

_ « Oui, Parce que vous êtes des hommes. »

_ « Et le droit d’expression, vous en faites quoi ? »

_ « Je ne veux pas le savoir, j’ai reçut des ordres. »

Et elles continuent de dispersées la foule, pendant ce temps là, la télévision arrive sur place, ils descendent de leur véhicules et une des femmes demande a un homme

_ « Qui est le leader de cette manifestation ? »

L’homme les guide vers Jacques, qui est toujours sur le toit du véhicule, a scander des slogans, la journaliste lui demande, pendant qu’une autre le film, toujours dans un brouhaha indescriptible

_ « M., voulez vous nous consacré quelque minutes pour vous expliquez ? »

_ « Oui, bien sur, j’attendais que ça, allons dans votre camionnette, il y auras moins de bruit. »

Et ils partent dans la camionnette de la télévision, une fois dedans, un entretiens commence, la journaliste lui dicte

_ « Il vas y avoir un flash spécial, dans deux minutes et vous allez passer en direct. »

_ « Pas de problème, j’ai l’habitude. »

Une femme dans la camionnette leurs dit

_ « C’est à vous dans cinq, quatre, trois, deux, un. »

Et elle leurs fait un signe du doigt pour commencer à lui poser des questions, la journaliste enchaîne

_ « Et oui, aujourd’hui, devant le ministère de la justice, se déroule une chose historique, la première manifestation des hommes, ils sont à peu près cinq cent en gros, face le ministère de la justice, j’ai ici, a mes coté, le leader de ce mouvement, M.. »

_ « Vilmain. »

Répond Jacques, la journaliste continue

_ « M. Vilmain, pourquoi cette manifestation ? »

_ « Pour commencer, on n'est pas cinq cent, mais a peu près huit cent, il y a une différence. Je voulais rétablir la vérité, alors pourquoi cette manifestation ? Parce que les hommes revendiques, non, les hommes veulent les même droits que les femmes. »

_ « C’est à dire ? M. Vilmain. »

_ « C’est à dire, avoir le droit de vote, le droit d’avoir le même travaille qu’une femme, que les rendez vous forcer, obliger, a la banque du sperme tous les mois, n’existe plus, a partir d’aujourd’hui, les hommes n’irons plus a la banque du sperme, c’est dégradant, c’est humiliant, pensez à la dignité humaine, c’est à dire en gros que les femmes prennent les hommes, que pour des objets, qui servent à leurs reproduction, aujourd’hui, si vous voulez un enfant, il faudra coucher avec un homme, qu’il y est de l’amour, c’est contre toute ces inégalité que nous nous battons, que nous luttons, aujourd’hui, pour que l’on soient considérer comme vous, comme des humain et surtout pour que justice soit faite. »

_ « Pourquoi soudainement cette révolte ? »

_ « Parce que pendant plusieurs années, on as été manipulés, on nous promènent de tous les coté. »

_ « Espérons pour vous, que votre manifestation, que vos espérance aboutisse. Merci M. Vilmain de nous avoir consacré cet entretiens, c’était Virginie Lematte, en direct du ministère de la justice, je vous rend l’antenne, a vous les studios. »

L’autre dames qui est dans la camionnette dit

_ « C’est bon, vous n’êtes plus a l’antenne. »

La journaliste demande

_ « Vous croyez vraiment a ce que vous demandez ? »

_ « Mais bien sur, je vous remercie de m’avoir donner la chance de m’expliquer, mais je doit y retourner, ils ont des problèmes là, avec la police. »

Jacques sort de la camionnette, il vois plusieurs hommes se faire emmener, dans des fourgons de police, des manifestants déchaîné, scandant leurs revendications avec cœur, Jacques remonte sur le toit de la voiture de Sébastien, celui ci lui demande

_ « Ca a été comment ? »

_ « Je t’expliquerais. »

Et il parle aux hommes dans son mégaphone

_ « Bon, mes amis, retournons cour de la république, rejoignez moi la bas. »

La télévision film Jacques entrain de replié ses troupes, le très grand nombres de manifestant dans la rue, il faut vingt minutes pour vidé cette dernière. Apres deux heures de manifestation et après avoir embêter un plus grand nombre de femmes dans leurs automobiles. De retour au locale, la police les y attend, ils se retrouvent à peu près sept cent, manque ceux qu’ils se sont fait arrêter et ceux qui ont préférer prendre leurs jambes a leurs coup. Jacques demande au reste de la troupe

_ « Personne n'a vu Sébastien Porrel ? »

Personne ne sait où il est, la déduction est claire, il s’est fait arrêter en revenant de la manifestation, devant le locale, Jacques enchaîne donc

_ « Je vous remercie d’être venus aussi nombreux, pour cette première et espérons, que ce ne sois pas la dernière. Maintenant que la France entière sait qu’on existe, on aura moins de mal a ce faire entendre. »

Apres ces quelque mots, tous repartent chez eux, voir à la télévision, leurs combat. Jacques lui pour sa part, décide d’aller au commissariat, il demande à un policier

_ « Pardon, pourrais-je voir Mme le commissaire Vautier ? »

_ « Je vous est vue a la télé, tout à l’heure, ce n’est pas vous qui a fait cette manif ? »

_ « Oui, pourquoi ? Ca vous défrise ? »

_ « Oui, elle est dans son bureau, il est….. »

Elle est couper part Jacques qui lui dit

_ « Ne vous donnez pas cette peine, je sait où il est. »

Et il se dirige vers le bureau, il entre sans frapper et dit sur un ton très contrarier

_ « De quel droit, avez vous arrêter mes manifestants ? »

_ « Mais faites comme chez vous, entrer sans frapper. »

_ « Qu’est ce que vous avez fait ? »

_ « On les a arrêter, parce qu’il faisait du désordre sur la voix publique. »

_ « Vous n’avez pas le droit, d’arrêtez des hommes, parce qu’il manifestes, il avais casser quelque chose, non, je ne crois pas, alors, pourquoi les avoir arrêter ? »

_ « Parce que la loi, c’est moi et je fait ce que je veux. »

_ « Sincèrement, si vous ne les faites pas tous sortir d’ici, dans une demi-heures, je vous taille un costard devant la France tout entière, je dirais tous a la télé et vous finirez à un carrefour a faire la circulation. »

Et il ressort du commissariat et attend. Même pas une demi-heures plu tard, cinquante deux hommes sont libère, c’est à dire la totalité des hommes arrêtés, Sébastien en fait parti et dit à Jacques en le voyant

_ « Je m’en doutais que tu y serais pour quelque chose, dans nos libérations. »

_ « Vous deviez être serrer dans les cellules ? »

Un homme lui repond

_ « Plus d’une dizaine par cellules. »

_ « C’est le seul commissariat de Paris ? »

_ « Bas oui. »

lui repond Sébastien, Jacques enchaîne

_ « Bref, merci les gars, vous pouvez rentrer chez vous, regardez la télé, vous risquerez bien de vous y voir. Si vous le voulez, demain, on refait une manif, au même endroit, il ne faut pas lâcher. »

_ « Pourquoi, faire tous si vite ? »

Demande Sébastien

_ « Parce que, je ne sait pas, si je serrais encore là, la semaine prochaine. »

Et en s’adressant aux autres

_ « Si vous voulez venir, venez demain, faites repasser le message. »

Et ils rentrent tous chez eux. Le lendemain matin, Jacques se rend avec Sébastien, a la télévision, l’unique chaîne de télévision du pays, il fait la demande de pouvoir passer aux actualité du vingt heure, on lui repond 

_ « Vous verrez avec la présidente de la chaîne, elle vas vous recevoir. »

Apres plus de trois heures d’attente, la présidente de la chaîne, les fait entrés dans son bureau, ils s’assoient tous et la femme demande

_ « On ne peux pas répondre favorablement à votre requête. »

_ « Et pourquoi ? »

Lui repond Jacques

_ « Parce que, la moitié de la population est mécomptant, de ce qui sait passer hier, en direct a la télé. »

_ « Ah bon ! Et la moitié de la population, c’est les femmes, moi je vous parle de prendre en considération, l’autre moitié, les hommes. »

_ « Je ne peux pas. »

_ « Excusez Mme, vous êtes présidente de chaîne, vous faites de l’information ? »

_ « Oui. »

_ « C’est votre devoir d’informer les gens de ce qui ce passe ici, un mouvement d’homme prône leurs libération et vous voulez nous étouffé, nous interdire d’en parler, vous n’êtes pas la seul, vous savez, il y a la presse écrite, la radio, j’ai d’autre possibilité pour faire passer mon message, ne soyez pas ridicule, vous avez exclusivité, si je vais le vingt heure, je n’irais nulle part d’autre, je vous accorde toutes les exclusivités de mes entretiens a venir, réfléchissez bien. »

Sébastien est mal a l’aise, la présidente réfléchit longuement et fini par dire

_ « Allez, banco, qu’est ce que je risque de toute façon, c’est d’accord. »

Ils se serrent la main et la femme, lui dit

_ « Vous faites le vingt heures, revenez vers dix neuf heures, le temps que l’on vous prépare. »

Jacques content, ressort du bureau avec Sébastien très en joie. Jacques lui dit

_ « C’est bon, je passe au vingt heure, ce soir. »

_ « Et qu’est ce que tu compte y dire ? »

_ « Tu verras. »

De retour a l’appartement, Jacques demande 

_ « Au faites, tu as garder des banderoles ? »

_ « Oui, j’en est garder dans le coffre de la voiture. »

_ « C’est bon, est ce que tu as une carte de France ? »

Sébastien, chercher et lui sort une carte de France, Jacques la prend, la déplie, il se rend compte d’une chose et dit

_ « Je ne reconnaît pas une ville, Paris est bien là, mais où est Marseille, où est Bordeaux, Lens, il n’y a aucune ville, qui correspond à par Paris. »

_ « Pourquoi, ce n’est pas comme ça chez toi ? »

_ « Non, a la place de Violette, c’est Marseille, Citron a la place de Lyon, Orange remplace Lens, nous aussi, on as une ville qui s’appelle Orange, Raisin pour Bordeaux, là, il ne sont pas tombée loin. »

_ « Pourquoi, tu dit ça ? »

_ « Parce que, Bordeaux, c’est une ville de vin, mais comme vous ne connaissez pas l’alcool, c’est fait avec du raisin, c’était une blague, qui ne fait rire que moi. Bon, on vas faire un tour de France, pour animée encore plus les débats, on vas aller en province, tu peux noter ? »

Sébastien prend une feuille, un stylo et lui dit

_ « C’est bon, je note. »

_ « On vas partir du Nord, alors on vas commencé par Lille, c’est à dire Pomme, le lendemain on passera au Havre, c’est à dire Litchis, après Brest, Mangue, Nantes, c’est Banane, Bordeaux et bien Raisin. Toulouse, c’est Poire, Elles ne se sont pas cassé la nénette, moi je te le dit, bref, après Montpellier, c’est Abricot, Marseille, Violette, Lyon, Citron et on finira par Strasbourg qui est Cerise. Hé bien ! J’ai plus l’impression de regarder la carte des desserts, que la carte de France, mais bon, si c’est comme ça. On feras une dernière manifestation a Paris a notre retour, une énorme normalement, c’est un marathon et il faut le gagner. »

_ « C’est quoi un marathon ? »

_ « Ah ! Oui c’est vrai, vous ne pratiquez pas de sport, c’est une course a pied et il faut courir plus de quarante deux kilomètres, le première arrivé sur la ligne d’arrivé, a gagné. »

_ « Faut être fou, pour faire ce sport. »

_ « Il y en as qui aime, pas moi. »

L’après midi arrive, la deuxième manifestation commence, il y a moins d’hommes que la veille, Sébastien le fait constaté a Jacques

_ « Il y a moins de monde qu’hier, tu ne trouve pas ? »

_ « Oui, c’est sur, mais il y en as qui ont du ce faire engueuler par leurs femmes, d’autre qui n’y croient pas, mais le mouvement est lancer, c’est tous ce qui compte, maintenant, attendons ce soir. »

C’est vrai, il y a moins de monde, ils sont à peu près quatre cent a brandire des banderoles et a ressortirent les même slogans, que la veille. La police est là aussi, mais regarde de loin, si, il n’y a pas de débordement, la télé est là , plusieurs radio aussi, ils demande tous a Jacques de leurs accorder un entretiens, mais il refuse bien sur, il a donner l’exclusivité à la télévision de ce soir. La manifestation continue, tout ce passe bien, la police ont fait des barrages pour deviez la circulation, les femmes du ministère, ne repond pas a leurs détracteurs. Une fois la manifestation finis, Jacques dit aux hommes

_ « Merci de vous soutenir, c’est pour vous que vous faites tous ça, regardez la télé ce soir, je passe au information de vingt heures, je donnerais mes directives la bas, a bientôt, les gars. »

Et ils rentrent chez eux, le sentiment du devoir accomplit. Sept heures va bientôt sonner, Jacques et Sébastien vont sur le plateau de télévision, des femmes les accueils, leurs proposent à boire, Jacques passe au maquillage et a cinq minutes du début du direct, une femme lui demande

_ « Si vous voulez bien me suivre, je vous ramène sur le plateau. »

Jacques se lève et la suit. Sébastien est à coté de lui et lui demande

_ « Tu n’as pas le peur ? »

_ « Non, ça m’existe plutot, au contraire. »

_ « Ah bon ! »

_ « Dit toi, que je passer devant toute la France, les hommes de tout le pays vont pouvoir me voir, ça va apporter un élan supplémentaire dans notre lutte. »

Ils arrivent sur la plateau, Sébastien reste dans les coulisses, il n’est pas autorisé à rentrer, la femme lui montre sa place et la présentatrice est à son poste. Elle n’as pas un mot pour Jacques, qui la regarde se préparer, une assistante dit à ce moment là

_ « Direct dans cinq, quatre, trois deux, un. »

Et fait un signe a la présentatrice pour qu’elle débute son journal. Il se déroule comme prévus et vers la fin de celui-ci, la journaliste parle l’action de Jacques, elle dit

_ « Aujourd’hui, comme hier, une manifestation a eut lieu, devant le ministère de la justice, des centaines d’hommes, comme vous pouvez le voir. »

Les images de la manifestation sont montrés pendant le journal, elle continue

_ « Ont proférés des slogans anti-femme, pendant deux heures, ainsi bouchant la circulation dans tout le quartier. Ce soir, je reçoit sur ce plateau, M. Vilmain, porte-parole et leader de ces manifestations, bonsoir M. »

_ « Bonsoir Mme »

Lui repond poliment Jacques, la présentatrice enchaîne

_ « Vous avez manifester pendant près de deux heures, hier et aujourd’hui devant le ministère de la justice. Pourquoi et surtout pour qui faites vous tous ça ? »

_ « Tous d’abord, ce ne sont pas des slogans anti-femme, mais des revendications pro-homme, ce qui n’as rien a voir, tous d’abord, ensuite pourquoi nous manifestons, déjà, nous ne manifestons pas, nous militons, nous sommes des militants, oui, nous militons pour la liberté des hommes dans ce monde complètement vouer aux femmes. »

_ « Que demandez vous M. Vilmain ? »

_ « Nous demandons, que les hommes aillent les même droits que les femmes, le droit de vote, qu’ils aillent tous un travaille, que vous arrêtez toute vos discriminations anti-hommes, voilà, pourquoi nous militons. »

_ « Oui, mais pourquoi devant le ministère de la justice ? »

_ « Pour que justice soit faites, nous voulons la même justice que pour les femmes. »

_ « Et vous militez depuis combien de temps ? »

_ « Depuis trois jours et vous pouvez constater que ça marche plutôt bien. De plus en plus, nous sommes rejoint par d’autre frères, qui souhaitent et veulent se battre, pour notre juste cause. »

_ « Je vous souhaite bonne chance M. Vilmain et merci d’être venu ce soir. Maintenant les brèves……. »

Elle est couper par Jacques qui dit

_ « Je voudrait dire encore une petite chose ? »

La présentatrice regarde la présidente de chaîne, qui se trouve sur place, celle-ci lui fait signe, pour qu’elle laisse parler Jacques, la présentatrice lui repond

_ « Allez-y. »

_ « Je voudrait dire, a vous chers téléspectateurs, que nous allons faire un tour de France, nous invitons tous les hommes et même les femmes qui veulent défendre notre juste cause. »

Il sort un papier de sa poche et lit

_ « Nous passerons dans les villes suivantes dans les jours a venir, nous nous rendrons à Pomme (Lille), ensuite Litchis (Le Havre), peu de jours après Mangue (Brest), il y auras, Banane (Nantes), Raisin (Bordeaux), Poire (Toulouse), Abricot (Montpellier), Violette (Marseille), Citron (Lyon), Cerise (Strasbourg) et nous finirons notre périple par une énormes manifestation a Paris (Dit à l’Américaine) devant le palais de la présidence. Nous espérons que vous serez nombreux et nombreuse au rendez-vous, je remercie la chaîne de m’avoir donner ce temps de parole. »

_ « Mais de rien M. Vilmain, poursuivons notre journal….. »

La présentatrice reprend le cour de son journal, pendant que Jacques sort du plateau, la présidente de la chaîne viens vers lui, Jacques lui dit

_ « Merci encore. »

Ils se serrent la main et la femme lui repond

_ « Mais de rien. »

_ « Vous êtes toujours d’accord pour l’exclusivité ? »

_ « Bien sur. »

_ « Faudrait me donner une équipe de télé, pendant mon tour de France. »

_ « Vous l’aurez. »

_ « Est ce que je peux avoir, la journaliste qui m’a entretenu hier ? Virginie Lematte, je crois qu’elle s’appelle. »

_ « Vous l’aurez. »

_ « Faut lui dire que l’on part demain pour. »

Il regarde sa feuille et continu

_ « Pour Pomme (Lille), qu’elle nous rejoigne avec son équipe demain matin de bonne heures, aux dix neuf rue Geneviève Pélican, on sera la bas. »

_ « Je lui dirais, a bientôt M. Vilmain. »

Ils se resserrent la main et ils s’en vont chaqu’un de leurs coté. Sébastien qui n'est pas loin de Jacques lui dit

_ « Tu as assurer, sur, qu’ils vont êtres des centaines a t’attendre, dans chaque ville. »

_ « Espérons le, on retourne chez toi maintenant, il va falloir se préparer pour notre marathon. »

Ils partent tous les deux chez Sébastien, la bas, ils mangent et après ça, ils discutent, Jacques demande

_ « Pour aller plus vite, on ne vas pas prendre ta voiture, ce n’est pas pour dire du mal, mais elle ce traîne un peu. »

_ « Tu rigole, c’est l’une qui vas le plus vite de tous Paris. »

_ « Tu te fou de ma gueule, tu ne roule pas au super, toi ? »

_ « C’est quoi le super ? »

_ « De l’essence, du carburant. »

_ « Ah, oui, mais nous notre carburant, on l’appelle de l’huile. »

_ « De l’huile ? Vous ne rouler pas au pétrole ? »

_ « Non, je ne sait même pas ce que sait. »

_ « C’est une matière qui se trouve dans des couches, sous la terre, traiter avec d’autre, ça peut donner du fuel, de l’essence, du combustible, sa s’appelle l’or noir, chez nous. »

_ « Nous on as l’or jaune. »

_ « Ah ! C’est bien, vous connaissez l’or, c’est déjà ça et bien oui, au faite, avec des femmes, elles ne pouvais pas louper ça. Mais vous rouler à quoi ? »

_ « A l’huile de tournesol. »

_ « Et vous arrivez à rouler avec de l’huile de tournesol, nous on s’en sert pour faire la cuisine. »

_ « Nous, on as que l’huile d’olive, c’est bon pour la santé et l’huile de tournesol, vu qu’il est plus gras, on s’en sert pour les voitures. »

_ « Même vos voitures, elles sont bizarre, elles ne ressemblent pas du tous a celle de chez moi, elles se ressemblent presque toutes. »

_ « C’est normal, il n’y a qu’une seul société, qui en produit sur la planète, elles viennent de l’Ile fraîche. »

_ « C’est quoi ça encore l’Ile fraîche ? »

_ « C’est un pays qu’il y a, au large de Pomme. »

Jacques regarde encore sont papier pour se repérer et repond

_ « L’Angleterre, vous appeler sa l’Ile fraîche, c’est vrai, qu’il n’y fait pas chaud, mais de là à l’appelée l’Ile fraîche. Ils parlent qu’elle langue a l’Ile fraîche ? »

_ « La même que nous, tout le monde parle la même langues que nous sur la terre. »

_ « Dingue. Revenons à nos moutons, ta voiture, même si c’est l’une des plus rapide, ne vas pas assez vite, on vas prendre l’avion, il te reste encore beaucoup d’argent ? »

_ « Pour l’argent, c’est bon, mais pour l’avion, C’est quoi ? »

_ « Vous ne connaissez pas l’avion ? »

_ « Non. »

_ « Bas, dit donc, vous vivez comme au moyen age, un avion, c’est un appareil volant, qui transporte des passagers par centaines. »

_ « Vous volez, dans ton monde ? »

_ « Oui, ça ne fait pas très longtemps, mais il y a des progrès qui se réalise, qui ne sont pas mal. »

_ « Tu as déjà voler ?

_ « Oui. »

_ « C’est comment ? »

_ « Ca fait peur au décollage et ensuite, tu as l’impression d’être, dans une maison, il faut regarder par les carreaux pour te rendre compte que tu vole, c’est bien. »

_ « J’aimerais bien voler moi, un jour. »

_ « C’est mal barrer avec tes dirigeantes, ce n’est pas étonnant, que vous avez découvert les Amériques en dix huit cent quatre vingt un, avec les avancer technologique que vous avez, elles ont du y aller en radeaux. Bon l’avion, c’est niet, on prendra le train, ce n’est pas grave, ça ne vas pas plus vite que l’avion, mais ce serra toujours plus rapide que ta voiture. »

Sébastien le regarde et n’ose pas lui répondre, Jacques le voyant comme cela, lui demande

_ « Quoi, qu’est ce qu’il y a ? J’ai dit une connerie ? »

_ « Désolez, mais nous n’avons pas de train. »

_ « Ce n’est pas possible, c’est la jungle, vous êtes à l’age de pierre, c’est aberrant. »

Jacques s’énerve et part dans la cuisine, en marmonnant dans ses moustaches. Sébastien qui est toujours dans la salle, n’ose pas bouger et il lui repond au bout de quelques secondes

_ « Jacques, ça ne sert à rien de t’énerver, je n’y suis pour rien. »

Jacques reviens à peu près calmer, après une grande respiration, il répond

_ « Tu as raison, mais c’est quand même aberrant, mais bon, on prendra ta voiture, tout compte fait, c’est quand même l’une des plus rapide de Paris, on as de la chance quelque part. »

Ils se mettent à rigoler, Sébastien dit à Jacques

_ « Bon, moi je vais me coucher, on a de la route demain a faire. »

_ « Tu as raison, faut que l’on se repose, a demain. »

Et ils se couchent. Le lendemain matin, l’équipe de télévision est là et ils prennent la route ensembles. Ils passent par la campagne, les autoroutes n’existant pas, Jacques peut découvrire les champs, un champ sur trois contient du tournesol, pour la production de l’huile, Jacques intrigué demande à Sébastien

_ « Et ça consomme beaucoup, une voiture qui roule à l’huile de tournesol ? »

_ « Non, pas plus que ça, avec un plein, on fait entre mille et milles cinq cent kilomètres. »

_ « Ouas ! Ca ne consomme presque rien et je suppose que ça doit presque pas pollué, mais vous payez combien le litre d’huile ? »

_ « On ne le paye pas, c’est gratuit. »

_ « Ah bon ! Et comment ça ce fait ? »

_ « Chaque année, tout habitant, paye un impôt, qu’il ai une voiture ou pas, avec cet impôt, on paye, les agricultrices, la fabrication de l’huile et à la pompe, c’est gratuit. C’est comme ça que ça ce passe dans tous les pays du monde. »

_ « Pas mal comme procéder, si un jour, je retourne dans mon monde, j’en parlerais. »

Ils continuent leurs route, suivit de la camionnette de télévision. Il faut huit heures de route pour arrivé a Pomme (Lille), Jacques est épuisé par la route fait, arriver sur place, ils prennent des chambres dans un hôtel et Jacques demande à Virginie, la journaliste

_ « Est ce que je peux faire un entretiens, qui passera dans le vingt heures, pour prévenir les hommes de la région de venir demain milités pour notre cause. »

_ « Je vais téléphonée à ma présidente, si elle est d’accord et je vous le redit. »

Elle part téléphoner et reviens pour prévenir Jacques

_ « C’est bon, j’ai eut la présidente, elle veux, un entretiens, la veille de vos manifestations, un reportage sur celle-ci et un entretiens après chaque manifestations, que vous ferez en province. »

_ « Pas de soucis. »

Virginie appelle, la femme qui a la camera et lui dit de tournée. Virginie demande à jacques, une fois la camera en route

_ « M. Vilmain, nous sommes à Pomme et vous voulez nous dire un mot. »

_ « Oui, nous demandons à tous les hommes de la régions et a toutes les femmes, de venir demain, place des Marguerite, pour un rassemblement de militant, venez nombreux pour montrer que nous souhaitons l’égalité entre la femme et l’homme, nous vous remercions d’avance, a demain. »

_ « Voilà, c’était Virginie Lematte en duplex de Pomme, ou M. Vilmain voulais faire une annonce, a vous les studios. »

Répond Virginie, l’entretiens terminer, ils vont tous manger et attendent le journal de vingt heures avec impatience, celui-ci commence, ils voient la présentatrice débuté sont journal part

_ « Mesdames, mesdemoiselles et M. Bonsoir, aujourd’hui troisième jour de manifestation d’homme devant le ministère de la justice, ils étaient une petite centaine a manifester, cette après midi, sans leurs leader M. Vilmain. »

Jacques regarde les autres surpris, en voyant les images de ses camarades qui continuent la luttes sans sa présence, la journaliste continue

_ « Qui est ce soir même, a Pomme (Lille), d’où il a quelque chose a nous dire, en duplex de Pomme (Lille), Virginie Lematte, c’est entretenue avec M. Vilmain. »

Le reportage commence et une fois finis, la présentatrice continue son journal

_ « Poursuivons notre journal avec une nouvelle ligne de vêtements pour femmes….. »

Jacques éteins la télé et dit a Sébastien

_ « Tu sait ce que ça veux dire ? »

_ « Non. »

Lui repond Sébastien

_ « Ca veux dire que l’on est en train de gagner notre paris, les gars a Paris, continuent le mouvement, ils ne craignent plus de se revendiqués en tant qu’homme, c’est merveilleux. »

_ « Tu as raison camarade. »

Et ils s’empoignent fortement, même les femmes de l’équipe de télé, on un petit sourire, en voyant la joie communicative, sur les visages des deux hommes. Satisfait de cette bonne nouvelle, Jacques et Sébastien, n’ont aucun mal a trouver le sommeille. Le lendemain, a l’heure de la manifestation, ils sont des milliers a avoir rejoint les rend des hommes, on peux même voir quelque femmes, certain on fabriquer des banderoles, avec les même slogans qui pouvait voir à la télé, Jacques s’arroge la foule, qui est prête a le suivre jusqu’au bout du monde, dans son combat, qui est le leurs. La police est là, elle surveille les éventuelles débordements, qui ne viendrons pas, les radios sont là, à enregistrer les paroles de Jacques, qui sort de sont mégaphone, la presse écrite aussi. Tous se passe comme Jacques en rêvait, une couverture médiatique assez grande, pour couvrir un plus grand nombreux de concitoyens et voir, pourquoi pas le monde entier. Le soir éreinté, Jacques donne un entretiens a Virginie, qui lui pose cette question

_ « M. Vilmain, êtes vous satisfait de cette journée ? »

_ « Bien sur que oui, on était des milliers. »

Couper par Virginie qui lui repond

_ « Trois milles, d’après la police. »

_ « Vous imaginez, trois milles, on peut dire que le mouvement est partis et bien partis, il faudrait maintenant que le gouvernement face quelque chose, c’est un devoir. »

_ « Votre prochaine manifestation se déroule à Litchis (Le Havre), c’est ça ? »

_ « Non, je ne dirait plus manifestation, mais, rassemblement militant et oui, pour répondre à votre question, nous allons à Litchis (Le Havre), nous nous attendons à plus de mondes, venez nombreux, faut faire plier le gouvernement et changer les meurs actuelles. »

_ « Merci, M. Vilmain et bon courage dans votre combat, c’était Virginie Lematte en duplex de Pomme (Lille), a vous les studios. »

Jacques se met les mains sur le visage et s’étire. La fatigue se fait sentir, Virginie lui demande

_ « Vous pensez pourvoir finir votre tour de France ? »

_ « Oui, ne vous inquiétez pas, c’est un rythme a prendre. »

Sébastien dit à Jacques

_ « On part demain,  pour Litchis (Le Havre) ? »

_ « Non, on mange un bout, on regarde les infos et on part direct, faut battre le fer tant qu’il est chaud. »

Lui repond Jacques, alors ils mangent, regardent les infos, Jacques et Sébastien s’aperçoivent que les manifestations a Paris continuent, ils étaient six cent aujourd’hui a manifestés. Ils font voir des images de Pomme, ou une femmes qui était dans la foule, entrain de milité pour les hommes répondre à cette question

_ « Pourquoi vous en tant que femme, militez-vous pour les droits des hommes ? »

_ « Je considère, que les hommes ont les même droits qu’une femme, ce n’est pas parce qu’un homme, n’est pas une femmes, qu’il n’en reste pas moins, un être humain, ce ne sont pas des bêtes, ils ont le droit a la parole et a l’égalité des sexes. »

Heureux Jacques Paye un coup a Sébastien et a l’équipe de télé, avec les sous de Sébastien, ce dernier ne veux pas d’alcool, il prend juste une limonade, tous les autres, une liqueur de rose. Aussitôt, ils se dirigent pour Litchis (Le havre), la bas le même engouement, la même ferveur, plus d’hommes et surtout plus de femmes sont au rendez-vous, les entretiens d’avant et d’après ce déroule, à Paris, tout comme à Pomme (Lille), les rassemblements militants continuent. Deux jours plu tard, ils se retrouvent à Mangue (Brest), la même folies, le nombre de personne a se rassemblé, a doubler par rapport à Pomme (Lille), ils sont six mille personnes, de plus en plus de femmes osent se montrées et scandées, elle-même les revendications des hommes. Jacques et les autres peuvent s’apercevoir pendant le journal téléviser du soir, que même dans des villes de province, qui ne vont pas êtres traverser par eux, les hommes manifestent, tant tôt, ils sont cent, tant tôt cinq cent, il y a même des villes ou ils sont une dizaines a manifestés. Enjoué de leurs succès, leurs tourner continus, ils passent à Banane (Nantes), le mouvement gonfle, a Raisin (Bordeaux), a Poire (Toulouse), Abricot ( Montpellier), la télévision montre toujours la descente dans les rues de France, de ces hommes qui luttes toujours de plus en plus nombreux, pour leur libération. Ils passent à Violette (Marseille), a Citron (Lyon) et arrivent à Cerise (Strasbourg). Ils leurs a fallut trois semaine, pour aller jusqu'à là, même en pleine nuit, dès leurs arrivés, du monde les attends, des hommes en majorités, Jacques est considéré, comme un sauveur pour la gente masculine. Ils se prennent des chambres d’hôtel et se couchent. Ils sont tout fatigués, ils en peuvent plus, mais la force de Jacques et Sébastien est encore intacte, pour le combat qu’ils mènent. Le lendemain, le rassemblement militant se déroule sous les meilleurs hospice, ils sont treize milles a défilé dans la rue, un quart sont des femmes, qui les soutiennent, qui les comprennent. Les entretient d’avant et d’après rassemblement se font. Il ce dit dans ce dernier, Virginie demande à Jacques

_ « Nous voici a Cerise (Strasbourg) aujourd’hui, pensez vous être sur le point de gagner votre paris ? »

_ « Tout à fait, imaginez, depuis des semaines, nous faisons sortir des hommes et des femmes, dans les rues de France et même a l’étranger. Hier soir, dans votre journal, il commence à y avoir des hommes qui se rassemble à l’Ile fraîche (Angleterre) et au plat pays (L’équivalent de la Belgique et les Pays-Bas réunis), ce mouvement ne sévit plus que sur l’hexagone, mais s’expatries à d’autre pays et nous trouvons ça magnifique. »

Il réfléchit et se dit dans la tête

_ « Je leurs fait ou pas ? Ho ! De toute façon, il ne le connaisse pas. »

Et il enchaîne

_ « C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pour l’humanité. »

Et il continu dans sa tête

_ « Désolez Neil Armstrong, mais c’est de rigueur ta phrase, là. »

Jacques enchaîne

_ « Nous invitons tous les hommes de la France entière à venir à Paris, dans trois jours, face le palais de la présidence, faire un mouvement gigantesque, il faut que se soit une véritable marée humaine, qui soit à Paris ce jour là. »

_ « M. Vilmain je vous remercie, de nous consacrée votre temps, en duplex de Cerise (Strasbourg), c’était Virginie Lematte, a vous les studios. »

La femme qui tiens la camera, lui fait signe que c’est coupé, alors Virginie demande à Jacques

_ « Ca prend des proportions immense, ton rassemblement. »

_ « Oui, mais je n’en doutais pas un instant. »

_ « Je t’offres un dîné ce soir, ça te dit ? »

_ « Ouais pourquoi pas, tu veux m’en menez où ? »

_ « Je ne sait pas, on pourrais prendre le dîné dans ma chambre. »

_ « Si tu veux. »

Sébastien qui a entendu la conversation dit

_ « Et nous on fait quoi ? »

Jacques lui repond

_ « Tu n’as qu’à manger avec Sandrine et Josie. »

Sandrine et Josie sont les deux autres femmes qui sont avec Virginie. Sébastien repond

_ « Toute façon, je n’est pas le choix. »

L’une des deux lui repond

_ « C’est gentille pour nous. »

Sébastien s’approche des deux, les prend par le coup et enchaîne en partant

_ « Mais, non, je vous aime bien les filles. »

Jacques suit Virginie dans sa chambre, ils commandent à manger au service d’étages, le dîné monte et ils discutent pendant celui-ci, assis sur le lit, les assiettes sur les genoux, Jacques demande à Virginie

_ « Comment ce fait-il que tu sois aussi sympa avec moi, depuis le début ? »

_ « Comment ça ? »

_ « Je ne sait pas, tu ne t’oppose pas a moi, tu es d’accord, avec le message que je prône. »

_ « Tu vois, j’y crois moi, a tous ce que tu dit, j’y est toujours cru. »

_ « De quoi ? »

_ « Que l’homme est l’égal de la femme et tous ça, moi, tu sait, je ne suis pas d’accord que les femmes ont tous les droits, que les hommes doivent nous donner leurs semences, pour pouvoir procrée. Regarde moi, j’ai trente neuf ans et j’aimerais avoir un enfant, mais pas dans ces conditions là, j’attend de trouver le vrai amour, le seul, l’unique pour pouvoir donner la vie. »

_ « Chez moi, c’est comme ça que ça ce passe, enfin, chez moi, ça devrait ce passer comme ça. »

_ « En plus dans leur système, elles ne pensent pas aux enfants, par exemple moi, je suis née d’une mère qui a profiter de ce système, je ne connaîtrais jamais mon père, c’est dur, j’aurais tant voulut savoir qui est mon père. »

Elle s’en fondre en larme, dans les bras de Jacques et elle enchaîne

_ « Avec toi, je suis bien, je me sent bien, je me sent réconforter. »

Tout en disant cela, elle approche sa bouche sur celle de Jacques et continue

_ « J’aime cette sensation de bien être. »

Et elle l’embrasse, Jacques lui rend son baisé, mais après quelque secondes, il lui dit

_ « Non, je ne peux pas. »

_ « Et pourquoi donc ? »

_ « Ca serait trop long a t’expliquer, mais je ne peux pas faire ça, je peux partir à tout moment. »

_ « Comment ça ? Qu’est ce que sait que c’est salade ? »

_ « Je ne peux pas, c’est tous. »

_ « Explique toi ? »

Il lui fait un signe de la tête, pour lui dire non, elle lui enchaîne

_ « Non, bien sur que non, en faites tu n’ose pas me dire, que tu ne me trouve pas belle, je ne suis pas ton style de fille. »

Elle se lève et va en direction de la porte, en continuant

_ « Mais ne t’inquiet pas, je ne te dérangerais plus avec tous ça, je vais redevenir, Virginie Lematte, la journaliste pour toi. »

Tout en ouvrant la porte et en sortant. Jacques se retrouve donc seul dans cette chambre, pendant quelque secondes, un silence envahis la pièce. D’un coup Virginie reviens et enchaîne

_ « Au faites c’est ma chambre, c’est à toi de partir. »

Elle lui tiens la porte ouverte, pour qu’il s’en aille. Il prend son manteau, se dirige vers la porte et lui dit en sortant

_ « Ce n’est pas du tout…. »

Elle lui claque la porte au nez et il continu

_ « Ca. »

Dépiter, Jacques va dans sa chambre, tandis que Virginie dans la sienne, est allongée sur son lit, en pleure. Huit heures viens de sonner, Jacques et Virginie dans leurs chambre respectives, regardent les infos, le générique passe et la présentatrice dit

_ « Mesdames, mesdemoiselles et M. bonsoir, nous commençons notre journal, par une allocution de la présidente de la république, c’est à vous Mme Béatrice. »

Jacques est surpris de cette allocution, mais il écoute précieusement, la présidente de la république dit ceci

_ « Mes chères concitoyennes et citoyen, l’heure est grave, un mouvement qui rassemble un nombre important d’hommes et de femmes, depuis quelques jours dans nos rues, nous sembles inquiétant. Je vous dit mes chères concitoyennes, qu’ils ne faut pas avoir peur, ce n’est rien, ces hommes brassent du vide, je ne toucherais en rien, les dispositifs déjà mis en vigueur, le droit de vote, le droit au travaille, la banque du sperme, rien ne serras toucher, je propose que dans deux jours, une contre manifestation, il a beau dire que ce ne sont pas des manifestations, s’en sont, dans deux jours, nous faisions une contre manifestation a Paris, face mon palais présidentielles et ils verrons qu’ils ne sont pas les plus nombreux, que nous aussi, savons défendre nos acquis, je vous attend toute Mme, c’était tous ce que j’avais à dire, bonsoir. »

Sidérer dans sa chambre Jacques dit

_ « Elle crois peut-être me faire peur, attendons que mon message passe, elles verront combien nous serons. »

Le journal ce continu, et vers la fin, la présentatrice dit

_ « Voici la fin de notre journal, tous de suite la météo présenter par Christine Algrés et suivit de votre feuilleton, les Feux de l’amour, bonsoir et a demain. »

Jacques est écœurer, il se précipite dans la chambre de Virginie sans frapper, cette dernière est rester coller, le nez sur la télé, elle non plus, ne comprend pas, Jacques lui dit

_ « C’est quoi ce bordel, ils n’ont rien montrer, ni la manifestation, ni mon entrevue, rien. »

_ « Je ne sait pas ce qu’il se passe, je vais téléphoné à la chaîne. »

Ils descendent à l’accueil et Virginie demande, si, elle peut utilisé le téléphone, on lui repond qui, oui. Elle appelle, pendant ce temps là, Sébastien qui est au restaurant de l’hôtel avec les deux filles, vois Jacques et Virginie a l’accueil. Il part voir ce qu’il y a, arrivé devant Jacques, il lui demande

_ « Il y a quelque chose qui ne va pas ? »

_ « Oui, c’est le cas de le dire. »

_ « Qu’est ce qu’il ce passe ? »

_ « Ta présidente a fait une allocution, pour demandez aux femmes de faire une contre manif, contre nous. »

_ « Non. »

_ « Si, et en plus, on n'as passer aucune image d’aujourd’hui au journal, c’est une honte…… »

Il est couper par Virginie qui était en train de parler avec sa présidente de chaîne, elle lui dit

_ « Elle n’y est pour rien dans tous ça. »

_ « Passe moi là. »

Virginie lui passe le combiner et Jacques dit

_ « C’est quoi ce bordel ? »

La présidente lui repond

_ « Je n’y peut rien, je suis présidente de chaîne, peut-être, mais c’est une chaîne d’état, la présidente de la république a mis son grain de seul la dedans, je m’excuse. »

_ « Et vous ne pouvez rien faire contre ça ? »

_ « Non, malheureusement, je suis désolez. »

_ « Ce n’est pas grave, je vous remercie de nous avoir mis le pied a l’étrier, c’est gentille. »

_ « Mais de rien. »

_ « Au revoir. »

Et il raccroche. Sébastien lui dit

_ « Ce n’est pas grave, ce n’est pas grave, tous de même, ton message n’est pas passer. »

_ « Ce n’est pas le seul point d’information du pays, il y a d’autre médias, faut me trouver, les gens des radios de cette après midi, de la presse écrite aussi. »

La patronne qui écoute par mes gardes, leurs dit

_ « Excusez moi, j’écoutais sans le vouloir, mais pour vous aidez, j’en est dans mon établissement et le reste sont à l’hôtel de la plante sauvage, a coté de la mairie. »

_ « On vous remercie bien Mme, pouvez vous me donner leurs chambres ? »

La dames leurs rend ce service et ils s’afférent tous, à retrouver les médias et a faire une conférence de presse de dernière minutes. Même Virginie et les deux autres femmes, ont été chercher les autres journalistes pour la conférence. A minuit dix, tout était en place pour la conférence, qui se déroule dans le restaurant de l’hôtel, où ils ont leurs quartiers. La conférence commence une journaliste pose cette question

_ « Pourquoi acceptez de nous parlez maintenant, alors que vous avez toujours refusez auparavant ? »

_ « Vous connaissez le terme d’exclusivité, nous étions en exclusivité avec la télé, mais comme nos rapports, on du être interrompu par les plus hautes instances, nous nous tournons vers vous. »

_ « Qu’est ce que vous entendez par plus hautes instances ? »

Demande une autre journaliste

_ « Nous entendons, la présidence de la république, nous avons été censuré du journal télévisé de ce soir, nous avons un message a faire passer de la haute importance. »

La première journaliste lui demande

_ « Dites nous le, nous sommes là, pour ça. »

_ « Nous vous remercions, Nous demandons à toute la population de France, de venir manifesté dans trois jours a Paris, devant le palais de la présidence, montrons que nous sommes plus déterminés que Mme la présidente. C’est tous ce que j’avais à dire, mercie. »

Ils se lève de sa chaise et dit aux femmes journaliste, maintenant, quand vous aurez une question a me posez, je vous répondrez, maintenant je suis fatiguer, je vais me coucher, merci encore d’être venu si tard, a bientôt. »

Et il s’en vas suivit de Sébastien, Les journaliste de télévision qui sont un peu en retrait, regarde tous dégouttés. Jacques fixe Virginie et lui demande

_ « Je paris, que tu va rentrer à Paris et que toute cette histoire sera fini pour toi ? »

_ « J’en est bien peur. »

_ « C’est con, que ce se termine comme ça ? »

_ « Je suis bien d’accord avec toi, mais qu’est ce que tu veux, c’est la vie. »

Elle l’embrasse sur la bouche et s’en vas dans sa chambre. Sandrine et Josie en font de même a Sébastien et une lui dit

_ « Nous j’espère que l’on se reverras à Paris. »

_ « Peut-être bien, sûrement même, vous savez où j’habite. »

Les femmes font leurs valises et partent dans la nuit, direction Paris. Jacques et Sébastien vont se coucher. Le lendemain matin, après un petit déjeuné, ils prennent la route direction Paris, dans la voiture pas un mot, depuis le réveille, Jacques ne dit rien, ou presque rien, un oui par-là, un non, par ici, on dirais que quelque chose le tarabuste, Sébastien lui demande

_ « Qu’est ce qu’il t’arrive Jacques ? Tu ne dit pas un mot depuis ce matin, toi qui d’habitude parle beaucoup. »

_ « Je ne sait pas peut-être la fatigue. »

_ « Elle ne s’appellerais pas Virginie, ta fatigue ? »

_ « Oui, sûrement, ça me fait bizarre qu’elles ne soient plus là, les filles. »

_ « mais qu’est ce qu’il sait passer, entre vous hier ? »

_ « Rien, elle m’a embrasser, moi je n’est pas voulut aller plus loin c’est tous, elle l’as mal pris. »

_ « Mais pourquoi, tu n’as pas voulut continuer la relation ? »

_ « Parce que, je peux partir d’ici a tout moment, je ne veux pas d’une liaison sans lendemain, ça me feras souffrire et elle encore plus. »

Sur c’est parole, plus rien n’est dit, le chemin du retour et très long dans ces conditions. De retour a Paris, en bas de chez Sébastien, beaucoup d’hommes attendent leur retour. Ils sont plébiscité comme des héros, une trentaine d’hommes sont là, a leurs posez des tas de questions, fatiguer du périple qu’ils viennent d’accomplire, Jacques n’hésite pas a répondre favorablement a l’une de ces questions

_ « Jacques, on fait un petit football ?

Jacques lui repond

_ « Allons-y. »

Sébastien n’en pouvant plus lui demande

_ « Pourquoi tu fait un foot ? tu n’est pas fatiguer ? »

_ « Oui, c’est sur, je suis mort de fatigue, mais je leur doit bien ça, un petit foot, vas-y monte, je te rejoint après. »

Jacques joue donc avec ses hommes, l’un d’eux a confectionner un ballon avec des chaussettes, comme l’avais fait Jacques peu de temps avant. Pendant la partie, Jacques demande à un homme

_ « Vous, vous êtes  rassembler tant tôt ? »

_ « Bien sur Jacques. »

_ « Vous étiez combien ? »

_ « Je ne sait pas, mille, deux milles, mais ce n’est pas pareil quand tu n’est pas là. »

_ « Demain, on ne fait rien, on vas juste voir, comment ces dames se débrouillent en manifestantes, nous nous allons casser la baraque après demain. »

Apres avoir jouer une petite heure, il décide de monter se reposer, il donne rendez-vous a ses camarades pour le rassemblement finale. Arriver la haut, Sébastien est au téléphone, il regarde Jacques et lui dit

_ « Ca s’annonce mal, tiens c’est pour toi. »

Il lui tend le combiner, Jacques le prend et demande

_ « Qui est à l’appareil ? »

Une voix lui repond

_ « C’est moi, c’est Virginie, j’ai une mauvaise nouvelle a t’annoncer. »

_ « C’est quoi ? »

_ « Il n’y a aucun journal, ou aucune radio, qui a parler de ton rassemblement d’après demain, ils ont du recevoir des pressions de la part du palais présidentielle, ils ne font que la propagande, de la manif de demain. »

_ « Les chiennes, elles jouent les chiennes de gardes du palais présidentielle. »

_ « Il n’y a qu’un quotidiens, qui en a parler, il ne sort qu’en province, mais en toute petites quantité. »

_ « On verras bien, on verras bien ce qu’il se passe, j’espère que ça va marcher, de toute façon, la télé ne veux pas de nous, la radio et la presse écrite aussi, sauf le journal, qui a bien voulut en parler, je te remercie pour ta nouvelle, ça va toi ? »

_ « On fait aller, on m’a envoyer couvrir l’ouverture d’un nouveau centre de la banque du sperme a Pensée, donc je ne pourrais pas être là, avec toi, pour ton rassemblement. »

_ « Je remercie, de ton appelle. »

_ « Salut Jacques et bonne chance. »

Et il raccroche, aussitôt, il demande à Sébastien, 

_ « C’est où Pensée ? »

Sébastien sort ça carte et lui dit

_ « C’est là. »

Jacques regarde et dit

_ « Ah ! C’est à la place de Nice, ouais, elle ne sera pas revenue. »

Ils décident donc après tous ça ,de manger et d’aller se coucher, une bonne nuit de repos, ne leurs feras pas de mal. Le lendemain, lorsque Jacques allume la télévision, il ne parle que de la manifestation de l’après midi, Jacques excéder décide de l’éteindre et de ne la rallumer que pour le vingt heures. Entre temps, Jacques et Sébastien parlent de choses et d’autres. Jacques lui montre ce qu’est un jeu de carte, sur des feuilles a papier, Sébastien lui montre des jeux de son monde, en faites, ils passent le temps. Arrivé a un moment, Sébastien demande a Jacques

_ « Excuse-moi, de remettre sa sur le tapis, mais tu ne m’as toujours pas dit ce que c’est un train. Tu peux me le dire ? »

_ « Mais bien sur, un train, c’est une machine, ça ressemble à un bus, mais qui ne roule pas sur la route, ça roule sur des raille, c’est obliger de suivre les railles, puis c’est comme-ci plusieurs bus étaient les un derrière les autres, accrochés, avant sa fonctionnés ont la vapeur, mais maintenant ça marche à l’électricité, ça va beaucoup plus vite que la voiture, mais moins que l’avion, bien entendu. »

Satisfait de la réponse, ils passent à autre chose. La soirée arrive, Jacques et Sébastien regardent le journal de vingt heures en mangeant, la présentatrice commence par ce gros titre

_ « La manifestation anti-rassemblement pour les hommes, fut un grand succès, elles étaient descendu en masse dans les rues, près de cinquante mille personnes se sont retrouvées devant le palais de la présidence, en marge de cette manifestation, devant le ministère de la justice, une centaine d’hommes, ont encore manifestés, mais en vain, la présidente de la république a tenu un discours, écoutez-le. »

Jacques s’étonnent de voir autant de femmes, être descendu dans les rues, ils écoutent le discours de la présidente avec attention

_ « Mes chères concitoyenne et citoyen, avec ce rassemblement, nous prouvons, toute la force du pouvoir a place, nous ne pouvons plus supporter ces hommes, qui nous prennent pour des tortionnaires, pour des fanatiques, il faut que cela cesse, j’espère qu’aujourd’hui les hommes de la France entière, aurons comprit notre message. »

Un brouhaha phénoménal envahis la foule.

La présentatrice continue son journal

_ « Sans transition, l’ouverture d’une nouveau centre de la banque du sperme a Pensée, nous retrouvons sur place….. »

Sébastien éteint en disant

_ « Elles n’ont même pas parlés de nous et de demain. »

Jacques lui dit très vite

_ « Rallume, on va voir Virginie, c’est elle qui couvre l’ouverture du truc. »

Sébastien rallume la télé et ils voient Virginie faire son bouleau. Jacques se moque du sujet, il est tous simplement heureux de voir Virginie, Sébastien, le voyant, une lueur dans ses yeux lui demande

_ « Oh ! Jacques, tu ne serais pas amoureux ? »

_ « Non, pourquoi ? »

_ « Avoue le, elle te plaît bien, la petite Virginie ? »

_ « Oui, elle est mignonne, mais de là, à dire que je suis amoureux. »

_ « Sa ce vois dans tes yeux. »

_ « A ce point la, oui, je l’aime bien, dommage que je ne soit pas de ce monde là, je ne peux rien construire de solide, si je pouvais l’emmener avec moi dans mon monde, ce serait tellement plus facile. »

_ « On ne fait pas toujours ce que l’on veux, dans la vie. »

_ « Tu as raison. »

Ils finissent de manger, regardent un peu la télé et partent ce coucher, une grosse journée les attends demain. La nuit passée, ils petit déjeune tranquillement, mais plus avance l’heure du rassemblement, plus Jacques est stresser, il n’arrête pas avec ces phrases

_ « J’espère qu’ils vont tous êtres là. »

_ « Pourvu qu’on ne se ramasse pas. »

_ « Qu’est ce que ça passe vite. »

Toute la matinée c’est comme cela, en scrutant la télé, pour voir si, elles vont parler du rassemblement de l’après midi, mais non, rien sur tous ça. Alors pour être sur d’arriver le premier, il demande à Sébastien

_ « Viens, on fait des casse croûtes et on vas la bas, ce sera mieux ? »

_ « Tu rigole, il n’est que onze heures dix. »

Il le regarde et continu

_ « Bon, si tu veux, c’est la première fois que je te vois aussi stresser. »

_ « Il y a de quoi, c’est aujourd’hui, que l’on vas savoir, si notre plan a marcher ou si, il a foiré. »

Ils se prépare donc des casses croûtes et vont sur place. Midi sonne quand ils arrivent sur place, déjà une dizaine d’hommes sont sur place a faire comme eux, ils ont des casse croûtes et attendent l’heures du rassemblement. Plus les minutes avancent, plus le nombres d’hommes augmentent, des femmes sont là, aussi, arrivé l’heure, Jacques contemple, ils sont des dizaines, des centaines, des milliers, Jacques rassurer monte sur un monument qui se trouve la, pour contemplé le nombres de militants et quel surprise, un attroupement d’hommes et de femmes a perte de vue, devant le palais, dans les rues autour du palais, le palais présidentielles est entouré de militants. Un policier qui est la, demande à Jacques

_ « Excusez-moi M., pouvez vous descendre d’ici, c’est interdit. »

_ « Mais bien sur. »

Jacques descend et Sébastien lui dit

_ « Tu vois, toi qui désespérais, on y est arrivés. »

_ « On doit être au moins cent mille. »

_ « C’est magnifique Jacques, c’est magnifique. »

_ « Tu as vue ce que l’on peux faire en un mois. »

_ « Ca ne t’embête pas de ne toujours pas rentrer chez toi ? »

_ « Oui, ça m’embête, mais si je part dans les jours à venir, promet moi, de continuer le combat, jusqu’au bout. »

_ « Je te le promet, pourquoi avoir fait tous ça, si c’est pour s’arrêter, si tu part, je continuerais le combat. »

Une journaliste qui a réussi à ce faire un chemin arrive près de Jacques et lui demande

_ « M. Vilmain, vous passer en direct sur radio Paris, ça a l’aire d’être une grande réussite ? »

_ « Mais je croyais que vous ne voulez pas de mes dires. »

_ « Bien sur, nous avons eut un remaniement dans notre direction, ils veulent bien que l’on vous laisse parler, répondez à ma question M. Vilmain »

Derrière une foule de gens en délire, scandant leurs revendication, Jacques content dit a la journaliste

_ « Ecoutez, posez la question a mon bras droit, M. Porrel. »

La journaliste se tourne vers Sébastien et lui pose la même question

_ « M. Porrel, pensez-vous, que ce rassemblement est une réussite ? »

_ « Complètement, regardez autour de vous, le nombres de personnes qu’il y a dans les rues, bien sur, c’est une grande réussite. »

_ « Que pensez-vous que le gouvernement doit faire, maintenant ? »

_ « Je pense tous déjà, qu’il faut, qu’ils arrêtent de faire pression sur les médias pour nous laisser nous exprimer et que, il connaisse nos revendications. Il ne reste plus qu’au palais de la présidence, de mettre tout en œuvre, pour satisfaire nos revendications. »

_ « Pensez-vous que c’est juste l’action d’une journée ou il peut y avoir d’autre rassemblement monstre comme celui-ci ? »

_ « Penser bien, que la très grande majorité des hommes de cette planète, n’ont pas de travaille, ça leurs laisse tout loisir de faire des rassemblement tous les jours, si, ils le veulent, Mme la présidente, vous avez les cartes en main, c’est à vous de voir. »

_ « Merci, M. Porrel, c’était Alice Dumouchel en direct du rassemblement, devant le palais de la présidence. »

elle coupe sont micro et elle dit à Jacques et Sébastien

_ « Je vous remercie de m’avoir répondu, au revoir. »

Ils lui répondre au revoir et Jacques dit

_ « Tu te débrouille très bien, devant les médias, si j’avais su, je t’y aurais laisser depuis longtemps. »

_ « Je t’ai vu faire, j’est un bon maître. »

Le rassemblement dure longtemps, jusqu'à près de sept heures, la télévision est arrivé entre temps, Jacques remonte sur le monument et dit dans son mégaphone

_ « Merci a tous et a toutes d’êtres venus ici, aujourd’hui, j’espère que nous allons faire changer les choses, Mme la présidente qui est derrière nous, bien au chaud dans son palais, devrais ce méfier de nous, car si nos revendications n’ont pas bouger d’ici demain, on referas un autre rassemblement demain et si ça ne bouge pas, un autre après demain et ainsi de suite. Tenez-vous près camarades, continuez la lutte. »

La foules en délire scande 

_ « Vilmain président, Vilmain président. »

L’agent de police reviens et lui dit

_ « Vous, vous moquez de moi, je vous est dit quoi tout à l’heure, descendez. »

_ « Oui, oui, Mme »

Et il descend, les manifestant se dispersent, les médias rentre dans leurs QG respectif et Jacques et Sébastien rentrent. Sur toute la route, ils entendent des hommes criés

_ « Vilmain président, Vilmain président. »

Arrivés chez Sébastien, ils allument la télé, le journal télévisé commence, la présentatrice commence son journal

_ « Mesdames, mesdemoiselles, M., bonsoir, commençons, aujourd'hui, c'est un jour historique, des manifestations, c’est après midi, on rassemblé plus de six cent mille manifestants dans toute la France, ils étaient trente mille a Mangue (Brest), trente cinq mille a Poire (Toulouse), Abricot (Montpellier), Cerise (Strasbourg), quarante mille a Pomme (Lille), Litchis (Le Havre), quarante cinq mille a Banane (Nantes), Raisin (Bordeaux), Citron (Lyon), cinquante mille a Violette (Marseille) et plus de deux cent mille personne étaient réunis dans Paris. »

Jacques et Sébastien saute de joie, en regardant les images de ces hommes et femmes manifestés, leurs paris avait réussi, la présentatrice continue

_ « Plus tous ceux dans toutes les autres de villes de France, a paris, il y en avait qui venait de toute la France. »

On vois des manifestant, des banderole a la main, répondre

_ « Moi je viens de Litchis. »

Un autre dit

_ « Moi, j’arrive de Violette. »

_ « Moi de Raisin. »

La présentatrice continue

_ « Maintenant, leurs revendications sont simple écoutez ce reportage qui a été pris c’est après midi par nos confrères de radio Paris. »

Et on peux entendre Sébastien dire le discours, qu’il a tenu dans l’après midi, la présentatrice enchaîne

_ « Attendez, on viens de me prévenir, que Mme Béatrice, la présidente de la république veux s’exprimer, écoutons là. »

La présidente de la république arrive sur l’écran, Jacques et Sébastien croisent leurs doit, elle dit

_ « Mes chères concitoyennes, mes chères concitoyens, nous vous avons entendues, ces rassemblements voulaient tous dire, c’est pour cela, que j’ai décidé de provoquer une réunion de ministres d’urgence, des projet de loi vont être revus, discutés et votés. Apres ça, suite a notre défaites cuisante, j’ai décider de démissionner, une nouvelle élection, sera organisez le plus vite possible. Je vous remercie de votre attention, au revoir. »

Jacques et Sébastien se tombent dans les bras, Sébastien dit à Jacques

_ « On as gagner. »

_ « Ne t’excite pas, ce n’est pas encore fait. »

_ « Ouais, mais c’est tout comme. »

_ « On est fatiguer, on vas manger et aller se coucher. Demain est un autre jour, on vas savoir ce qu’elles ont changés comme loi. »

Ils mangent, discutent et vont se coucher. Le lendemain M. Porrel est le premier lever, il allume la télé, le téléphone sonne a ce moment là. Il part y répondre

_ « Oui. »

Une voix au bout du file

_ « Allos, Sébastien, c’est Jean-Marc. »

_ « Oui, qu’est ce que tu veux ? »

Jacques se réveille et demande

_ « C’est qui Sébastien ? »

_ « C’est un copain, qu’est ce que tu veux, Jean-Marc ? »

_ « Tu n’es pas au courrant ? »

_ « Au courrant de quoi ? »

_ « On as gagnés, les lois, elles ont tout été changées. »

_ « Non, c’est vrai. »

Répond Sébastien plein d’enthousiasme, Jean-Marc repond

_ « Si je te le dit. »

_ « Je te laisse, faut que je répande la nouvelle. »

_ « D’accord, salut Sébastien. »

_ « Ouais, Salut Jean-Marc. »

Sébastien raccroche et Jacques tout exciter de savoir, lui demande 

_ « Qu’est ce qu’il se passe ? »

_ « On as gagner. »

Lui repond Sébastien tout heureux

_ « Je te l’avait dit, avec de l’envies, on arrive à tous. »

D’un coup, un flash spécial passe a la télé, Jacques dit

_ « Taisons-nous, on vas savoir, qu’elle loi est passée. »

Le générique du flash s’arrête et on vois Virginie comme présentatrice, Jacques est content de la revoir, elle dit

_ « Cette nuit, les ministres ont parlementé pendant près de quatre heures, sur les revendications des manifestant d’hier, des lois ont été changer, la première, leurs donne le droit de vote. »

Sébastien et Jacques sont comme des fous, Virginie continue

_ « La deuxième, les autorises à faire n’importe qu’elle métier, en ce qui concerne les rendez-vous dans les banques de sperme, ils ne sont plus obligatoires, viennent, que ceux qui veulent donner, contre une rémunération. Les prochaines élections présidentielles aurons lieu dans trois semaines, pour les hommes qui veulent s’inscrire sur les listes électoral, ils faut aller à la mairie de votre ville, en se présentant avec votre pièce d’identité. Voilà tous ce que l’on pouvais dire sur ce sujet a l’heures de maintenant, vous retrouvez vos programmes habituelle, au revoir. »

Et elle fait un clin d’œil, Jacques aussitôt dit

_ « Je suis sur que c’est pour moi, ce clin d’œil. »

Sébastien lui dit

_ « Tu es trop comme mec, tu arrive et tu change nos vies en un mois, je ne sait pas comment te remercier, mon potes. En gros ta mission est finis ici ? »

_ « Oui, pourquoi ? »

_ « Non, je veux me présenté aux élections présidentielles, il faut que tu me donne un coup de main. »

_ « En plus comme les médias ne nous boude plus, tu as de grande chance, il faut sauté sur l’occasion. »

Dans la foulé, ils partent pour la mairie, des centaines d’hommes sont déjà devant, vu le nombre de personnes qui attendent devant les mairies de la France entière. Une directive est appliquer sur-le-champ

Tout homme voulant voté, devras se présenté avec sa carte d’identité leurs de son vote.

Tous les hommes devant les mairies sont contents, Jacques dit à Sébastien

_ « Viens, faut aller à la télé, pour dire à la France que tu te présente. »

_ « Ouais, on y vas. »

Comme la première fois, il demande à voir la présidente de chaîne, en quelques minutes, elle les reçoit

_ « Bonjours M., une grande victoire pour vous, ce matin, non ? »

_ « Oui, c’est sur, mais mon camarades a quelque chose a vous demandez. »

Lui dit Jacques, Sébastien prend le relais

_ « Ecoutez, je voudrais rebondir du succès, des rassemblements, pour me présenté aux présidentielles, je souhaiterais d’un temps d’antenne pour le divulguer à la France et au franciens. »

Jacques le regarde, comme-ci, il voyait un fou, la femme lui repond

_ « Pas de problème, vous l’aurez. »

Sébastien vois que Jacques le regarde et lui demande

_ « Quoi ? Qu’est ce que j’ai dit ? »

_ « Non, rien, on s’expliqueras après. »

Sébastien enchaîne

_ « Donc vous voulez bien ? »

_ « Oui, pour moi, sans les pressions du gouvernement, je peux tous, ce soir, si vous voulez ? »

_ « Ca m’iras très bien. »

_ « Donc a ce soir M. Porrel. »

Elle lui sert la main et dit à M. Vilmain

_ « Ce fut un plaisir de vous revoir. »

Et lui sert la main. Ils sortent du bureau et Jacques se retrouve nez a nez avec Virginie, ils se regardent et Sébastien dit à Jacques

_ « Bon, je t’attend dehors, je crois que vous avez des choses a vous dire. »

En partant, il regarde Jacques et lui fait un sourire. Ce dernier est gêner et ne sait quoi dire, Virginie le devance

_ « Mes félicitations pour votre victoire. »

_ « Je te remercies. »

_ « Tu compte faire quoi, maintenant ? »

_ « Moi rien, mais Sébastien, veux se présenté aux élections présidentielles. »

_ « Je lui souhaite bonne chance, il a toutes les chances de gagner. »

_ « C’est ce que je lui est dit. »

_ « Au faites, vous faites quoi, ici ? »

_ « Sébastien a demandé une tribune dans votre vingt heures et ça a été accepter. »

_ « Il passe quand ? »

_ « Ils passe ce soir. »

_ « C’est moi, qui présente le journal ce soir, la présentatrice habituelle, viens de tombée malade. »

_ « Oui, je t’ai vue ce matin. »

_ « Ah ! Tu m’as vue ? »

_ « Oui, il était destiner à qui, ton clin d’œil ? »

_ « A personne en particulier. »

_ « Arrête de mentir. »

_ « Non, c’est vrai, a personne. »

_ « Ah bon ! Bon je te dit à ce soir. »

_ « Oui, c’est ça, a ce soir. »

Et ils partent chacun de leurs coté, la journée passe, Sébastien part s’acheter un costard, pour un présidentiable, c’est mieux de bien paraître. Le rendez-vous sur le plateau de télévision approche a grand pas, pour passer la fin d’après midi, ils vont dans un bar, où par rapport à la première fois, il y avait beaucoup plus d’hommes, cette fois-ci. Jacques en profite pour poser une question a Sébastien

_ « Au faite, comment as-tu appeler, les habitants de la France, tout à l’heure ? »

_ « Les Franciens. »

_ « C’est quoi ça, chez moi, c’est les Français. »

_ « Les Français, non, nous c’est Francien et Francienne. »

_ « Bizarre, quand même, Tu n’as pas le traques pour tout à l’heure ? »

_ « Non, même pas, j’y vais sereins. »

_ « Tu as bien raison. »

L’après midi passer, ils se rendent sur le plateau de télé, où il maquille Sébastien, une femme vient le chercher et l’amène a la place, qu’occupais Jacques la première fois, Virginie regarde Jacques qui est derrière les cameras. Le journal commence, elle fait ses rubriques et en fin de journal, elle présente Sébastien

_ « Maintenant, je reçois M. Porrel, tous d’abord, je souhaite vous félicité, de votre belle victoire, que vous avez obtenu, après les rassemblements d’hier. »

_ « Je vous remercie. »

_ « M. Porrel, expliquez nous, ce que vous êtes venu nous dire ? »

_ « Apres le succès éclatant, que nous avons obtenu hier dans toute la France,

Je tiens profité de cet élan masculin, bien qu’aider par des femmes aussi, que nous tenons à remercier ce soir, je tien en profité pour me présenté, pour les prochaines présidentielles. »

_ « Et pourquoi vous, pourquoi pas M. Vilmain ? Qui est quand même, l’investigateur du mouvement. »

_ « Parce qu’il ne veut pas se présenté et comme étant son second, je me dois de me présenté. »

_ « Quel sont vos directives de campagne, votre programme ? »

_ « Tous d’abord, je ne ferais pas campagne, mon programme est d’amélioré la vie entre les hommes et les femmes, voilà mon programme, si vous croyez en moi, vous voterez pour moi, c’est tous. »

_ « Je vous remercie M. Porrel d’être venus sur notre plateau, bonne soirée et a demain. »

Le journal est fini, Virginie regarde Sébastien et lui dit

_ « Bonne chance, vous allez gagner. »

_ « Merci. »

Sébastien part, Virginie range ces notes, Jacques arrive vers elle et lui dit

_ « Tu n’as pas fait de clin d’œil ce soir, pourquoi ? »

_ « Si tu veux savoir, c’était pour toi, il t’était destiné le clin d’œil de ce matin, mais quand je l’ai fait, je me suis dit que j’avais fait une connerie, tu ne veux pas de moi, tu me l’as dit et bien fait comprendre. »

_ « J’en meurs d’envies, mais je ne peux pas. »

_ « Qu’est ce que tu me raconte, ça veux dire quoi ? »

_ « Si, je t’explique, tu ne me croiras pas, tu me prendras pour un fou. »

_ « Vas-y essais quand même ? »

_ « Comment t’expliquez, je ne suis pas de ton monde. »

_ « Qu’est ce que tu me raconte, tu me dis que tu es un extra-terrestre ? »

_ « Non, du tous, il n’y a qu’un mois que je suis dans ton monde. »

_ « Développe ? »

_ « Ecoute, il y a un mois, j’étais en voiture, j’ai eut un accident et je me suis retrouver dans ton monde. »

_ « Qu’est ce que tu me raconte, je préférais ton ancienne excuse, la, tu me déçois beaucoup. »

Elle commence à partir, Jacques la prend par le bras et lui dit

_ « Dans mon monde, les hommes dirigent, ils gouvernent, dans mon monde, il y a la guerre, la famine, du sport, des alcools d’hommes, les villes ne s’appelle pas Orange, Raisin ou Violette, mais Lyon, Bordeaux, Marseille, dans mon monde on appelle les habitants de la France, les Français et surtout dans mon monde, je me bats contre la lutte pour la liberté de la femme, tous l’inverse d’ici. »

Virginie reste bouche bée, elle ne sait quoi dire, Jacques lui repond

_ « Maintenant, tu me crois ou tu ne me crois pas, mais je peux à tout moment partir pour mon monde, c’est pour cela, que je ne veux construire aucune histoire d’amour ici. »

_ « Si, ce que tu dis est vrai, moi j’en veux la preuve. »

Jacques fouille dans ses poches et en sort un billet de son monde, puis dit

_ « Regarde, ça, c’est un billet de chez moi, regarde l’homme sur le billet, ça veut tout dire. »

_ « Ouais, tu aurais très bien pu le crée. »

Sébastien qui espionnait Jacques et Virginie sort de derrière le décor et dit à Virginie

_ « Je t’assure, il raconte la vérité, je le connais depuis un mois, il me raconte comment est son monde, toute est vrai, il m’a appris un sport, le feut boule, avec ses règles et son fonctionnement, il n’a pas pu l’inventé tout seul. »

Jacques le reprend

_ « Football, Sébastien. »

_ « Et ça veut dire quoi ça ? »

Demande Virginie, Jacques lui repond

_ « C’est de l’Anglais. »

_ « C’est quoi ? »

Lui demande Virginie

_ « L’Anglais, c’est l’habitant de l’Angleterre, votre Ile fraîche a vous et il ne parle pas comme nous, il parle l’Anglais, nous, on parle le Français et sa veux dire foot, pied et Ball, balle, le jeu de la balle au pied. »

_ « C’est vrai ce qu’il dit, ça se joue avec les pieds et avec une balle. »

Répond Sébastien, Virginie rétorque

_ « Admettons que ce soit vrai, moi je m’en fou que tu puisses partir demain ou après demain, je veux vivre le moment présent, en ce moment en face de toi, j’ai le cœur qui s’emballe. »

_ « Bon, moi je vais vous laisser tout seul. »

Et Sébastien s’en va. Virginie dit à Jacques

_ « Je suis prête a regrettez ton départ quand tu t’en iras, je veux vivre quelque chose de fort et intense avec toi. »

Jacques ne repond pas et l’embrasse tendrement, Virginie a la larme a l’œil. Jacques s’arrête de l’embrasser et lui fait constater

_ « Si tu es prête a l’éventualité de mon départ, moi aussi je veux vivre le moment présent, je ressens quelque chose de fort pour toi. »

Ils s’embrassent de nouveau et Virginie lui propose

_ « Tu viens, on s’en vas d’ici, on serait mieux chez toi ? »

_ « Je n’est pas de chez moi, j’habite chez Sébastien. »

_ « Et bien, on vas chez moi, aller , on est parti. »

Et ils sortent du plateau. Dans la régis, pendant ce temps là, la présidente de chaîne regarde son écran de contrôle, la camera du journal, n’est pas couper, elle peux suivre l’entrevue des deux amoureux, une fois finis, elle s’exprime tout seul

_ « Le menteur, puis elle le crois, mais bon, si elle l’aime. »

Lorsque Virginie et Jacques sortent du plateau, Sébastien les attend pas très loin, lorsqu’ils arrivent près de lui, Jacques lui dit

_ « Tu vas pouvoir y aller, je ne rentre pas avec toi. »

_ « Bon, bonne soirée et bonne nuit, alors, a la prochaine. »

Sébastien s’en vas, Virginie fait constater à Jacques

_ « J’espère que tu aime marcher ? »

_ « Pourquoi ? »

_ « Je n’est pas de voiture, je n’habite pas loin, mais faut-y aller à pied. »

_ « J’irais jusqu’au bout du monde, le temps que tu es à mes cotés. »

Ils partent en amoureux, main dans la main, leurs yeux pétillent de bonheur, ils batifolent, les amoureux, sur le chemins du retour. Arriver chez Virginie, dès qu’ils passent la porte d’entrée, ils s’enlacent tout en se déshabillant, Virginie, dans ce mouvement, l’amène dans son lit, ils passent une nuit de câlins, de baisés, ils peuvent montrer pleinement leur sentiments a l’autre, durant cette nuit, les deux sont radieux. La nuit se passe sous les meilleurs hospice, au petit matin, sans dormir de la nuit, leurs yeux sont lourds, mais sans équivalent, en rapport a leurs bonheurs. Au petit matin, ils dédaignent s’en dormir dans les bras, l’un de l’autre. Les jours de bonheur passent pour nos amoureux, la passion prend les devant sur la raison, du au départ potentielle de Jacques. Sébastien de son coté est assaillit par les journalistes, les questions qui fustigent ne lui font pas peur, il y repond sans détour, faisant mouche à chaque coup, il prend une dimension autre, que celle du petit Sébastien du début. Jacques peut s’en rendre compte, dès qu’il passe à la télé, lui qui ne voulait pas faire campagne, il y est obliger par les journalistes. A quelque jours de l’élection, un sondage donne Sébastien en tête, a quarante cinq pour cent, loin devant les deux candidate femmes, qui se sont présentées. Jacques rend visite à Sébastien, qu’il n’a pas revu, depuis le passage de ce dernier sur les plateau de télé. Il va dans son siège de campagne et dès qu’il le vois, Jacques lui dit

_ « Bonjours M. le président. »

_ « Ca va Jacques, pendant un moment je me suis dit, je ne le vois plus, il a du partir chez lui. »

_ « Non, je profite un maximum de Virginie et de notre couple, on veux vivre notre relation a fond. »

_ « Tu as bien raison, mais pour M. le président, il n’y a rien de fait. »

_ « Tu rigole ? »

_ « Non, ils sont entrain de parlementés pour faire une alliance entre les deux autres candidates, pour me contré. »

_ « Ca vas foiré, tu vas voir, ce n’est jamais bon, les alliances de dernière minutes, les militants n’aiment pas ça. »

_ « J’espère et toi ça se passe bien avec Virginie ? »

_ « Je marche avec Virginie, sur un sentier de pétales de roses, c’est fou, on s’aiment tellement, je crois, que je ne veux plus partir, je préfère reste dans ton monde, surtout si tu deviens président de la république. »

_ « Ne t’inquiète pas, je pense que si tu a trouver le bonheur, ici, ils ne te ramèneraient pas chez toi, j’en suis sur. »

_ « Je l’espère fortement. »

_ « Bon, je suis désolé, faut que j’y aille, on m’attend, j’ai un entretien avec mes militants là. »

_ « Bon, a la prochaine Sébastien et bonne chance. »

_ « Merci Jacques, a la prochaine. »

Et Jacques repart. Quelque jours plu tard, Sébastien s’arroge la présidence, il gagne les élections, malgré l’alliance des deux partis féminins. Jacques ne reverras plus Sébastien, il a tant responsabilité et Jacques passe tout son temps en compagnie de Virginie. Le mouvement organiser par les hommes en France, donne des idées dans les pays étranger, Plusieurs pays d’Europe changent de gouvernement, suite au soulèvement des hommes dans leurs pays. Un ans maintenant a passé, Jacques et Virginie ont déménagé, Jacques n’est toujours pas partis, pour son plus grand bonheur, Sébastien, a maintenant beaucoup de confrères dans le monde entier, la révolution t’en espéré des hommes, a bien eut lieu. Jacques et Virginie se sont mariés et attendent un heureuse évènement, Virginie est enfin enceinte, un enfant construit sur l’amour, ce qu’elle a toujours rêver. Jacques de son coté, c’est trouvé un petit travaille dans le bâtiment, Virginie est en congé parentale, elle attend le jour de l’accouchement avec impatience. Un jour alors que Jacques est sur un chantier, son chef viens de recevoir un coup de téléphone et dit à Jacques

_ « Jacques, ta femme est à l’hôpital, elle est sur le point d’accoucher. »

_ « Je peux partir ? »

_ « Bien sur idiot, vas accompagné ta femme, surtout dans un moment comme celui là. »

_ « Merci, Jean-Marc. »

Et Jacques part sans se changer. Il monte dans sa voiture, l’allume et s’en vas sur les chapeaux de roues. Direction l’hôpital, il s’imagine déjà avec son enfant, le prendre dans ses bras, s’amusé avec lui ou avec elle, il se moque de son sexe, il l’aimeras cette enfant vue que c’est celui de Virginie, lui donner son biberon, lui changer ses couches, le laver, l’habiller. Mais, il est couper dans ses pensées, n'étant pas concentré sur sa route, il grille un feu rouge et est percuté sur son coté droit par une autre voiture, arrivant à toute vitesse. Jacques est projeté partout dans la voiture, la ceinture de sécurité n’existant pas encore, il se cogne à plusieurs endroits et pour lui, le trou noir. Lorsqu’il se réveille, il se retrouve à l’hôpital, une perfusion au bras, une infirmière est à ses cotés, la première choses qu’il demande est

_ « Excusez moi, mon enfant, comment vas t-il ? »

_ « Désolez, je ne vois pas de quoi vous parlez. »

Lui repond l’infirmière, Jacques insiste

_ « Mon enfant, ma femme devait accoucher aujourd’hui, comment vont-ils ? »

_ « Donnez moi, leurs nom, je vais aller voir. »

_ « Ma femme s’appelle Virginie Vilmain, l’enfant, je ne sait pas, on avais pas prédéfinis de prénom, on ne savait pas le sexe, mais normalement, il s’appelle Vilmain aussi. »

Lui dit Jacques inquiet de ne pas avoir de nouvelle de sa famille, l’infirmière lui repond

_ « Calmez-vous, je vais voir dans l’hôpital et dans les autres de la ville, d’accord. »

_ « D’accord merci. »

_ « Je reviens. »

L’infirmière sort de la pièce, Jacques lui regarde autour de lui, il essais de se lever, mais sans succès, une douleur lui parviens de ses reins. Alors il attend, dix minutes plu tard, l’infirmière reviens, Jacques lui saute dessus, en lui posant cette question, dès qu’elle ouvre la porte

_ « Alors, mon enfant et ma femme vont bien ? »

_ « Je suis désolez M. Vilmain. »

Jacques la regarde et est vraiment inquiet, ses yeux s’humidifient. Il enchaîne

_ « Qu’est ce qu’il se passe ? »

_ « Je suis désolez, il n’y a aucune Mme Vilmain ici, ni dans les autres hôpitaux, je suis désolez. »

A ce moment là, un médecin entre et dit

_ « Alors M. Vilmain, comment allez vous, après votre accident, nous avons cru à un comas, mais ce n’était qu’un petit malaise. »

Jacques regarde le médecin, sans écouté ce qu’il lui dit et enchaîne

_ « Mais Sébastien, qu’est ce que tu fait en médecin, tu n’es plus président ? »

_ « Excusez moi, je ne m’appelle pas Sébastien, mais Sylvain. »

_ « Mais qu’est ce qu’il se passe ? »

Le médecin lui repond très calmement

_ « M. Vilmain, vous avez eut un accident, ce matin, vous vous souvenez ? »

_ « Oui, j’allais à l’hôpital voir ma femme, elle allée accoucher. »

_ « M. Vilmain, nous avons fouiller vos vêtements, pour chercher quelqu’un a joindre, pour les provenir de votre accident, il n’y avait rien, juste des billets et une carte de visite. Alors, nous avons prévenu votre association et il nous dit que vous n’avez pas de famille, ni parents, ni femme, ni enfant, je suis désolez, vous avez du rêvé. »

Jacques réfléchit et se dit dans sa tête

_ « Ce n’était pas un monde parallèle, ce n’était qu’un rêve. »

Le médecin enchaîne

_ « Vous aller rester à l’hôpital en observation encore vingt quatre heures et vous pourrez sortir demain matin, si tous vas bien. »

_ « Est ce normal, que je ne puisse pas bouger mes jambes ? »

_ « C’est du au choc, vous n’avez rien au niveau osseux, musculaire, ou cérébrale, ça vas revenir tout seul dans les heures à venir. Reposez vous M. Vilmain. »

_ « Merci. »

L’infirmière sort de la pièce, suivit du médecin, Jacques se retrouve seul, une pensée pour son rêve, lui traverse la tête

_ « J’aurais tout inventé, ce monde de fou, Sébastien, la lutte, Virginie, notre belle histoire d’amour. »

Jacques craques et se met à pleurer. La journée passe, Sébastien a retrouver ses jambes, il peut se lever et il part voir à la fenêtre, il peux voir, son soit disant monde, ou les monument sont à leur place, ou les voitures sont divers et variées, ou l’homme domine le monde, ou la guerre existe, la pollution, les religions et ses guerres sont là. Il se met à regretter le monde qu’il a visité dans son rêve, ce n’était peut-être le monde idéal, mais c’était celui de l’amour, l’amour entre lui et Virginie, puis il se ressaisi et dit

_ « Bon, Jacques arrête de dérailler, il n’existe pas, ça n’existe pas, elle n’existe pas, tu l’as inventé dans ton  esprit, tous ça c’est faux, passe à autre chose. »

Il retourne dans son lit, s’allonge et s’endort. Le lendemain, le médecin reviens et lui dit

_ « Bon, M. Vilmain, vous allez pouvoir sortir, tous vos examens sont bon, vous êtes en pleine forme. »

_ « Mercie docteur. »

_ « Vous pouvez partir, quand vous voulez. »

Et le médecin part. Jacques prend ses affaires, sort de l’hôpital, cherche sa voiture, mais en vain, il se dit

_ « Elle doit être à la casse. »

Il décide donc de partir à pied, il aire dans les rues de Paris, ne sachant pas ou aller, il décide d’aller voir à son association, vu que c’est là, qu’il passait la grande partis de son temps, avant l’accident. Arrivé la bas, il entre dans les locaux, tout ses collaborateurs et adhérents sont là. L’un de ceux là lui dit dès son arrivé

_ « Tu nous as fait peur hier, tu le sait ? »

_ « Non. »

Lui repond Jacques sans conviction. Un autre lui dit

_ « On y a été quand même, hier. »

_ « De quoi, tu me parle ? »

Répond Jacques, l’homme enchaîne

_ « Aux pâquerettes, mais non, a la manif, on les a bien fait chier, ses connasses. »

_ « A ouais, c’est bien. »

Jacques n’as plus la force, qui faisait de lui, le militant impulsif, le militant qui voulais se battre coûte que coûte. L’homme lui demande

_ « Ca vas Jacques, tu a l’aire. »

Il cherche son mot et enchaîne

_ « Changer. »

Jacques lui rétorque

_ « Non, je ne suis pas bien, c’est tous. »

Pascal, l’homme au la cotisation de retard, s’approche de lui et lui dit

_ « Tiens, j’ai priver ma femme, pour te les ramener, mais je les est. »

_ « Et qu’est ce que tu as fait pour avoir l’argent ? »

Lui demande Jacques

_ « J’ai revendu sa voiture, sa ne sert à rien d’avoir deux voitures, elle peut sortir à pied a ou prendre le bus, on ne devrais pas laisser les femmes conduire, elles sont dangereuse et ça me fait des sous en plus. »

Lui repond Pascal, Jacques enchaîne

_ « Exactement l’inverse, de ce que la femmes m’a dit après mon accident, en faites je suis comme elle, je me degoutte. »

_ « De quoi tu parle ? »

Lui demande un homme qui se trouve là, Jacques prend l’argent de Pascal, s’assois et réfléchit, il se dit dans sa tête

_ « On est exactement, ce que les femmes étaient avec nous dans mon rêve. »

En les écoutant parler entre eux, il entend

_ « Ouais, les femmes sont culottées, elles ont eut le droit de vote, le droit de travaille, qu’est qu’elles veulent de plus ? »

Jacques se lève et dit

_ « Moi, je sait ce que les femmes veulent. »

Il se dirige vers Pascal, et lui dit en tendant ses billets

_ « Tiens, rachète une voiture a ta femme, vous devriez tous être au près de vos femmes, qu’est ce que vous faites là, les femmes sont précieuse, se sont la prunelle de vos yeux, vos filles, vos mamans, vos maîtresses, si, on se les met à dos, tous ça c’est finis. »

Pascal lui reprend l’argent et lui rétorque

_ « Le choc a été plus fort que prévu les gars, Jacques pète un câble. »

Jacques le regarde et lui repond

_ « Non, justement, j’ai bien la tête sur les épaule, je démission de mon statue, si quelqu’un veux ma place, je lui laisse avec plaisir. »

Et il part, il sort des locaux de l’association. Jacques rentre chef lui, sa clef cette fois-ci ouvre la porte, il attrape tous ses papiers de l’association et les jètent a la poubelle, il dit à ce moment là

_ « Une nouvelle vie s’offre à moi, qu’est ce que je pourrais faire maintenant. »

Il réfléchit et dit

_ « Qu’est ce que j’ai aimer dans ma vie ? La lutte, même si ce n’était qu’un rêve, la lutte me fait vivre, même, si c’est un changement radicale, mon interlude cérébrale me l’a prouver, rien ne vaut la haine entre une femme et un homme. »

Il décide de ressortir de chez lui et dès qu’il vois une femme, il lui demande

_ « Vous ne savez pas ou se trouve la manifestation pour la libération de la femme ? »

Il essuies plusieurs revers, jusqu’au moment ou une femme dédaignent bien l’y accompagnée. Arrivée sur place, une foule d’une centaine de femme scande des revendications, il retrouve l’enthousiasme, l’envie, la fougue, la même détermination, qu’il a ressentit lors des manifestations dans son rêve. Il se sent revivre, a un moment, une femme monte sur un monument et commence son discours. Jacques dès qu’il la vois, son cœur s’emballe, ses oreilles se vide de tous les bruits extérieures, il est obnubilé par cette femme, il n’entend rien de son discours, mais il s’en approche, en dessous d’elle, un policier arrive et dit à la femme

_ « Excusez moi madame, pourriez vous descendre c’est interdit de monter la haut. »

la femme lui repond

_ « Oui, oui, je descend. »

Ce qu’elle fait, une fois descendu, elle vois Jacques et lui dit

_ « Je vous connais, vous êtes le connard de président de l’association qui nous met des bâtons dans les roues. »

_ « Oui, Non, j’ai démissionné ce matin. »

_ « Qu’est ce que vous faites ici ? »

_ « Je viens me battre avec vous, j’ai bien réfléchit et c’est idiot de se faire la guerre, je revendique avec vous maintenant. »

La femme lui tend une banderole et Jacques la prend en lui demandant

_ « Vous, vous appelez comment ? »

La femme lui repond

_ « Je m’appelle Stéphanie et vous ? »

_ « Je m’appelle Jacques. »

Jacques se retrouve face à face avec l’incarnation de Virginie, qui s’appelle donc Stéphanie, cette dernière lui demande

_ « Et qu’est ce qu’il vous est arriver pour changer d’avis comme cela ? »

_ « Ce serais trop long a vous expliquez, mais moi je dit qu’il n’y a que les cons qui ne change pas d’avis. »

Jacques et Stéphanie se retrouve main dans la main pour luttés dans une cause, ou ils se retrouvent tous les deux. 

                                                             

                                                       FIN

 
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